Premier épisode | Épisode précédent
Sur le chemin du retour, je faisais mon possible pour refouler mes larmes (mêlant chagrin et colère).
Après l'heure de route nécessaire pour arriver chez moi, je trouvais un message de S me disant qu'il était désolé et autres conneries du même style. Je ne répondais pas.
C'est en retournant dans ma chambre que je craquais.
De voir mon lit et de me dire que je ne m'y allongerais plus dans ses bras. De sentir encore son odeur. De trouver le petit mot qu'il avait laissé sur ma table de chevet.
"Merci... pour tout. S ♥"
D'un geste rageur, je jetais son mot et quittait la pièce, je n'avais aucune envie de me laisser aller à mes sentiments. Pas alors que je devais me montrer froid.
Et je le fut.
Bizarrement, c'est alors qu'il comptait me quitter qu'il m'a le plus écrit.
Pendant trois jours, je trouvais un petit mot à mon réveil, des messages dans la journée pour prendre de mes nouvelles, toujours en évitant soigneusement le sujet dangereux. Bref tout ce qu'il ne faisait plus lorsque nous étions encore ensemble et que tout ça n'avait pas commencé...
Pour ma part je répondais le strict minimum, toujours très froidement. Et le troisième jour, il m'appelait pour me dire que j'avais raison, qu'il fallait qu'on teste, qu'il m'aimait...
Je trouvais à ses mots comme une impression de déjà vu.
Nous devions nous voir à la fin de l'été, j'étais un peu limite niveau budget, mais c'était à moi d'aller le voir. Le problème c'est qu'il allait commencer son année de prof et n'avait pas beaucoup de temps libre. J'ai quand même réussi à nous trouver trois jours fin août.
J'avais trouvé un logement (ses parents ne sachant pas pour lui, impossible d'aller là bas) un bus, j'avais calé tous les horaires aller et retour. Pourtant je ne pouvais pas m'empêcher de penser qu'il allait se passer un truc. Qu'il allait me refaire une crise existentielle.
Le premier jour je suis arrivé, il était là pour me récupérer, nickel. Nous sommes allé récupérer les clés du logement (un airbnb super sympa d'ailleurs) et il y a eu un petit malaise quand nous avons discuté avec nos hôtes. Ils n'ont pas été étonné que je vienne de Lyon, mais on fait une drôle de tête en apprenant que S venait du village où se trouvait le logement.
Quand nous sommes entrés dans la chambre très bien décorée et accueillante à souhait, S m'a demandé.
-A ton avis ils nous ont grillé ?
Je l'ai regardé avant de lever les yeux.
-A ton avis ? J'ai réservé une chambre pour deux avec un lit double au lieu de deux lits simples...
-Ah oui mdr...
J'avais bien envie d'un câlin, mais S voulait absolument que nous fassions un pique nique sur la plage pour voir le coucher de soleil. Je ne le savais pas romantique mais pourquoi pas.
Nous sommes rentrés assez tard, après une longue balade sur le bord de mer pour discuter de ce qui nous était arrivé et de comment envisager l'avenir.
En arrivant dans la chambre, je l'ai poussé sur le lit en lui disant :
-Maintenant je vais te montrer que t'es à moi.
Il m'a lancé un regard provoquant comme pour me dire "Essaie toujours".
Je me suis allongé sur lui et je l'ai embrassé, caressant sa langue de la mienne, tandis que mes mains déboutonnaient sa chemise. Puis je suis descendu dans son cou, mordillant légèrement sa peau que je savais sensible à cet endroit, avant de descendre sur son torse. Il poussa un soupir de bonheur lorsque je commencais à jouer avec ses tétons. Mordant, suçant, pinçant... Il commença à se trémousser et je distinguais clairement la bosse au niveau de son entrejambe. Serviable, je m'empressais de le libérer et lui retirais d'un geste son pantalon et son boxer. Sa bite était tendue à bloc, une petite quantité de précum perlant au bout.
Je me penchais et étalait le liquide autour de son gland avec ma langue avant de la prendre direct en gorge profonde. Il lâcha un gémissement et appuya sur ma tête pour m'encourager et m'enfoncer encore. Bien que je n'aime pas ce genre de geste, je laissais couler et m'appliquais à lui faire prendre son pied. Lorsque je le sentais se tendre, j'accelérais encore jusqu'à sentir les jets chauds et épais dans ma bouche. Une fois n'est pas coutume, j'avalais et continuais ma caresse buccale jusqu'à ce qu'il cesse de trembler.
-Eh ben... t'es chaud ce soir, me dit-il essouflé.
-T'as pas idée, aller tourne toi !
-Je sais pas trop je viens de jouir ça va peut-être me chauffer...
-C'est le but, aller viens par là.
Malgré ses protestations, il s'était mis en position et j'entrais dans son cul lentement mais d'une traite. Une fois au fond, je m'immobilisais un instant pour savourer la sensation sur ma queue, puis je commençais à bouger en tapant bien dans le fond, ce qui avait pour effet de le faire couiner.
-Ah putain... gémit-il.
-T'as mal ? demandais-je en connaissant parfaitement la réponse.
-Surtout t'arrêtes pas !
Satisfait, je continuais à le pilonner jusqu'à sentir son cul se resserrer sur ma queue tandis qu'il s'efforçait de ne pas faire trop de bruit. Satisfait de l'avoir fait juter une deuxième fois, j'accélérais et ne tardais pas à jouir bien planté au fond de son cul.
Le séjour commençait plutôt bien...
Comme toujours, je remercie ceux qui m'écrivent pour me donner leur avis et j'encourage les autres à le faire, c'est toujours un plaisir ! Si vous êtes de la région de Lyon, n'hésitez pas non plus !
Pseudo: RenartSur le chemin du retour, je faisais mon possible pour refouler mes larmes (mêlant chagrin et colère).
Après l'heure de route nécessaire pour arriver chez moi, je trouvais un message de S me disant qu'il était désolé et autres conneries du même style. Je ne répondais pas.
C'est en retournant dans ma chambre que je craquais.
De voir mon lit et de me dire que je ne m'y allongerais plus dans ses bras. De sentir encore son odeur. De trouver le petit mot qu'il avait laissé sur ma table de chevet.
"Merci... pour tout. S ♥"
D'un geste rageur, je jetais son mot et quittait la pièce, je n'avais aucune envie de me laisser aller à mes sentiments. Pas alors que je devais me montrer froid.
Et je le fut.
Bizarrement, c'est alors qu'il comptait me quitter qu'il m'a le plus écrit.
Pendant trois jours, je trouvais un petit mot à mon réveil, des messages dans la journée pour prendre de mes nouvelles, toujours en évitant soigneusement le sujet dangereux. Bref tout ce qu'il ne faisait plus lorsque nous étions encore ensemble et que tout ça n'avait pas commencé...
Pour ma part je répondais le strict minimum, toujours très froidement. Et le troisième jour, il m'appelait pour me dire que j'avais raison, qu'il fallait qu'on teste, qu'il m'aimait...
Je trouvais à ses mots comme une impression de déjà vu.
Nous devions nous voir à la fin de l'été, j'étais un peu limite niveau budget, mais c'était à moi d'aller le voir. Le problème c'est qu'il allait commencer son année de prof et n'avait pas beaucoup de temps libre. J'ai quand même réussi à nous trouver trois jours fin août.
J'avais trouvé un logement (ses parents ne sachant pas pour lui, impossible d'aller là bas) un bus, j'avais calé tous les horaires aller et retour. Pourtant je ne pouvais pas m'empêcher de penser qu'il allait se passer un truc. Qu'il allait me refaire une crise existentielle.
Le premier jour je suis arrivé, il était là pour me récupérer, nickel. Nous sommes allé récupérer les clés du logement (un airbnb super sympa d'ailleurs) et il y a eu un petit malaise quand nous avons discuté avec nos hôtes. Ils n'ont pas été étonné que je vienne de Lyon, mais on fait une drôle de tête en apprenant que S venait du village où se trouvait le logement.
Quand nous sommes entrés dans la chambre très bien décorée et accueillante à souhait, S m'a demandé.
-A ton avis ils nous ont grillé ?
Je l'ai regardé avant de lever les yeux.
-A ton avis ? J'ai réservé une chambre pour deux avec un lit double au lieu de deux lits simples...
-Ah oui mdr...
J'avais bien envie d'un câlin, mais S voulait absolument que nous fassions un pique nique sur la plage pour voir le coucher de soleil. Je ne le savais pas romantique mais pourquoi pas.
Nous sommes rentrés assez tard, après une longue balade sur le bord de mer pour discuter de ce qui nous était arrivé et de comment envisager l'avenir.
En arrivant dans la chambre, je l'ai poussé sur le lit en lui disant :
-Maintenant je vais te montrer que t'es à moi.
Il m'a lancé un regard provoquant comme pour me dire "Essaie toujours".
Je me suis allongé sur lui et je l'ai embrassé, caressant sa langue de la mienne, tandis que mes mains déboutonnaient sa chemise. Puis je suis descendu dans son cou, mordillant légèrement sa peau que je savais sensible à cet endroit, avant de descendre sur son torse. Il poussa un soupir de bonheur lorsque je commencais à jouer avec ses tétons. Mordant, suçant, pinçant... Il commença à se trémousser et je distinguais clairement la bosse au niveau de son entrejambe. Serviable, je m'empressais de le libérer et lui retirais d'un geste son pantalon et son boxer. Sa bite était tendue à bloc, une petite quantité de précum perlant au bout.
Je me penchais et étalait le liquide autour de son gland avec ma langue avant de la prendre direct en gorge profonde. Il lâcha un gémissement et appuya sur ma tête pour m'encourager et m'enfoncer encore. Bien que je n'aime pas ce genre de geste, je laissais couler et m'appliquais à lui faire prendre son pied. Lorsque je le sentais se tendre, j'accelérais encore jusqu'à sentir les jets chauds et épais dans ma bouche. Une fois n'est pas coutume, j'avalais et continuais ma caresse buccale jusqu'à ce qu'il cesse de trembler.
-Eh ben... t'es chaud ce soir, me dit-il essouflé.
-T'as pas idée, aller tourne toi !
-Je sais pas trop je viens de jouir ça va peut-être me chauffer...
-C'est le but, aller viens par là.
Malgré ses protestations, il s'était mis en position et j'entrais dans son cul lentement mais d'une traite. Une fois au fond, je m'immobilisais un instant pour savourer la sensation sur ma queue, puis je commençais à bouger en tapant bien dans le fond, ce qui avait pour effet de le faire couiner.
-Ah putain... gémit-il.
-T'as mal ? demandais-je en connaissant parfaitement la réponse.
-Surtout t'arrêtes pas !
Satisfait, je continuais à le pilonner jusqu'à sentir son cul se resserrer sur ma queue tandis qu'il s'efforçait de ne pas faire trop de bruit. Satisfait de l'avoir fait juter une deuxième fois, j'accélérais et ne tardais pas à jouir bien planté au fond de son cul.
Le séjour commençait plutôt bien...
Comme toujours, je remercie ceux qui m'écrivent pour me donner leur avis et j'encourage les autres à le faire, c'est toujours un plaisir ! Si vous êtes de la région de Lyon, n'hésitez pas non plus !
Pseudo: RenartSur le chemin du retour, je faisais mon possible pour refouler mes larmes (mêlant chagrin et colère).
Après l'heure de route nécessaire pour arriver chez moi, je trouvais un message de S me disant qu'il était désolé et autres conneries du même style. Je ne répondais pas.
C'est en retournant dans ma chambre que je craquais.
De voir mon lit et de me dire que je ne m'y allongerais plus dans ses bras. De sentir encore son odeur. De trouver le petit mot qu'il avait laissé sur ma table de chevet.
"Merci... pour tout. S ♥"
D'un geste rageur, je jetais son mot et quittait la pièce, je n'avais aucune envie de me laisser aller à mes sentiments. Pas alors que je devais me montrer froid.
Et je le fut.
Bizarrement, c'est alors qu'il comptait me quitter qu'il m'a le plus écrit.
Pendant trois jours, je trouvais un petit mot à mon réveil, des messages dans la journée pour prendre de mes nouvelles, toujours en évitant soigneusement le sujet dangereux. Bref tout ce qu'il ne faisait plus lorsque nous étions encore ensemble et que tout ça n'avait pas commencé...
Pour ma part je répondais le strict minimum, toujours très froidement. Et le troisième jour, il m'appelait pour me dire que j'avais raison, qu'il fallait qu'on teste, qu'il m'aimait...
Je trouvais à ses mots comme une impression de déjà vu.
Nous devions nous voir à la fin de l'été, j'étais un peu limite niveau budget, mais c'était à moi d'aller le voir. Le problème c'est qu'il allait commencer son année de prof et n'avait pas beaucoup de temps libre. J'ai quand même réussi à nous trouver trois jours fin août.
J'avais trouvé un logement (ses parents ne sachant pas pour lui, impossible d'aller là bas) un bus, j'avais calé tous les horaires aller et retour. Pourtant je ne pouvais pas m'empêcher de penser qu'il allait se passer un truc. Qu'il allait me refaire une crise existentielle.
Le premier jour je suis arrivé, il était là pour me récupérer, nickel. Nous sommes allé récupérer les clés du logement (un airbnb super sympa d'ailleurs) et il y a eu un petit malaise quand nous avons discuté avec nos hôtes. Ils n'ont pas été étonné que je vienne de Lyon, mais on fait une drôle de tête en apprenant que S venait du village où se trouvait le logement.
Quand nous sommes entrés dans la chambre très bien décorée et accueillante à souhait, S m'a demandé.
-A ton avis ils nous ont grillé ?
Je l'ai regardé avant de lever les yeux.
-A ton avis ? J'ai réservé une chambre pour deux avec un lit double au lieu de deux lits simples...
-Ah oui mdr...
J'avais bien envie d'un câlin, mais S voulait absolument que nous fassions un pique nique sur la plage pour voir le coucher de soleil. Je ne le savais pas romantique mais pourquoi pas.
Nous sommes rentrés assez tard, après une longue balade sur le bord de mer pour discuter de ce qui nous était arrivé et de comment envisager l'avenir.
En arrivant dans la chambre, je l'ai poussé sur le lit en lui disant :
-Maintenant je vais te montrer que t'es à moi.
Il m'a lancé un regard provoquant comme pour me dire "Essaie toujours".
Je me suis allongé sur lui et je l'ai embrassé, caressant sa langue de la mienne, tandis que mes mains déboutonnaient sa chemise. Puis je suis descendu dans son cou, mordillant légèrement sa peau que je savais sensible à cet endroit, avant de descendre sur son torse. Il poussa un soupir de bonheur lorsque je commencais à jouer avec ses tétons. Mordant, suçant, pinçant... Il commença à se trémousser et je distinguais clairement la bosse au niveau de son entrejambe. Serviable, je m'empressais de le libérer et lui retirais d'un geste son pantalon et son boxer. Sa bite était tendue à bloc, une petite quantité de précum perlant au bout.
Je me penchais et étalait le liquide autour de son gland avec ma langue avant de la prendre direct en gorge profonde. Il lâcha un gémissement et appuya sur ma tête pour m'encourager et m'enfoncer encore. Bien que je n'aime pas ce genre de geste, je laissais couler et m'appliquais à lui faire prendre son pied. Lorsque je le sentais se tendre, j'accelérais encore jusqu'à sentir les jets chauds et épais dans ma bouche. Une fois n'est pas coutume, j'avalais et continuais ma caresse buccale jusqu'à ce qu'il cesse de trembler.
-Eh ben... t'es chaud ce soir, me dit-il essouflé.
-T'as pas idée, aller tourne toi !
-Je sais pas trop je viens de jouir ça va peut-être me chauffer...
-C'est le but, aller viens par là.
Malgré ses protestations, il s'était mis en position et j'entrais dans son cul lentement mais d'une traite. Une fois au fond, je m'immobilisais un instant pour savourer la sensation sur ma queue, puis je commençais à bouger en tapant bien dans le fond, ce qui avait pour effet de le faire couiner.
-Ah putain... gémit-il.
-T'as mal ? demandais-je en connaissant parfaitement la réponse.
-Surtout t'arrêtes pas !
Satisfait, je continuais à le pilonner jusqu'à sentir son cul se resserrer sur ma queue tandis qu'il s'efforçait de ne pas faire trop de bruit. Satisfait de l'avoir fait juter une deuxième fois, j'accélérais et ne tardais pas à jouir bien planté au fond de son cul.
Le séjour commençait plutôt bien...
Comme toujours, je remercie ceux qui m'écrivent pour me donner leur avis et j'encourage les autres à le faire, c'est toujours un plaisir ! Si vous êtes de la région de Lyon, n'hésitez pas non plus !
Renart
renartraner@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : M | Incipit | L'éveil du Renart | Nils | Gabriel | Tony | Détente au Sun City