Premier épisode
Je pousse donc la porte du numéro 1, après cet épisode plus qu'intéressant, mais je baisse la tête pour qu'on ne me " reconnaisse " pas (bien que pas de cette ville, et que personne dans la rue ne sait ce qui vient de se passer dans le cabanon, mais c'est une sorte de réflexe de discrétion).
Mon tél. dans la main, je suis en train de le déverrouiller pour tenir André au courant que j'ai réussi à déchiffrer son énigme.
Les quelques pas que je fais pour juste traverser la rue (étroite) m'excitent gentiment : quelques personnes dans la rue, je les vois du coin de l'oeil, et aucun qui se doute de quoi que ce soit. Je suis le seul à savoir, et à sentir mes fesses glissant l'une sur l'autre, le gel donnant cette sensation que le mouvement est grand, et cette impression que le gars a laissé un morceau de lui dans mon petit trou...
Je suis adossé au mur, portable débloqué, sms à André " Merci pour l'énigme, le dragon bleu était un bon trésor ! "
30 secondes pour sa réponse " je sais, il me l'a dit ! Mais tu as oublié quelque chose dans le cabanon ".
" Quoi ? "
Je viens à peine de répondre. Du coin de l'oeil je vois une masse sombre s'adosser au mur à côté de moi, et je sursaute quand elle s'approche de mon oreille pour me susurrer " Ma bite ! ".
Encore une peur pour ce soir, encore un sursaut.
C'est André bien sûr, j'aurais dû m'en douter, mais je dois être encore un peu secoué...
Pas de bise ou de poignée de main.
Il traverse la rue et entre au numéro 1.
OK, compris. Je le suis donc. Le hall, la porte au bout est ouverte.
Le cabanon, idem porte ouverte.
J'y entre, il est en face de moi.
Le peu de lumière qu'il y a suffit pour que je constate que son pantalon est à ses chevilles.
Je vais à lui, déboutonne mon pantacourt, et m'accroupis. Belle position, qui a pour première conséquence que je sens mes fesses s'écarter et mon trou s'ouvrir un peu.
Et pour seconde conséquence qu'il profite de ma bouche entrouverte pour y mettre sa queue, qui passe très vite de demi-molle à bien dure. Il prend son temps, joue avec mes lèvres, entre lentement cm par cm.
Je savoure, mais pas si longtemps que ça.
" Debout ! Et mets-toi à poil, tu gardes que les baskets. "
Je m'exécute. Mon tshirt tombe, mon pantacourt et boxer disparaissent à mes pieds. Pendant que je les ramasse, sa main claque ma fesse, glisse entre les deux, et un doigt entre direct.
Petit " ah ! " de surprise, mais je ne dis plus rien et pose mes fringues sur la table, et y prends appui. Un peu de gel vient permettre au doigt de glisser sereinement. Un second le rejoint.
" Tu as gardé quelque chose, donne le moi "
Les deux doigts m'empêchent de me concentrer. Je balbutie que je ne comprends pas.
Claque sur le cul, suivie d'une seconde. Les doigts sont sortis, ma fesse pique un peu, mon cerveau réagit : le bâillon ? Je le sors de la poche de mon pantacourt, et le lui donne.
Il me le met directement, et m'appuie sur les épaules pour me plaquer à la table.
Sensation de déjà vu, mais je suis à nouveau excité, et le bruit d'emballage de capote ne me calme pas.
Gel, doigt qui le pousse dans mon trou, bref moment de répit, et son gland se pose, entre doucement, suivi d'un coup par toute la longueur de son sexe.
Petit râle dans le bâillon, qui joue son rôle à merveille.
Variante de tout à l'heure, mes mains sont libres. Je les pose sur mes fesses pour les écarter et profiter du maximum de sa queue, mais il accélère, tape sur mes fesses, ses couilles tapent les miennes, et j'ai l'impression que je vais me vautrer de la table, tomber.
Alors je m'agrippe à elle, devant moi, une main de chaque côté, et me retiens, essayant d'aller en arrière quand lui me pilonne et m'envoie en avant...
Il gagne finalement, je crois. Je suis plaqué à la table, mon sexe et mes cuisses sont contre le bois (pas agréable de se sentir bloqué comme ca). Il donne de grands coups, sortant en ne laissant que le gland pour rentrer d'un coup jusqu'à la garde, me faisant pousser à chaque fois un petit cri étouffé, qui a l'air de le faire rire et lui donne envie d'en donner un nouveau...
D'un coup il accélère en râlant un peu, je couine, il sort d'un coup, enlève la capote, pose sa queue entre le haut de mes fesses, et je sens son jet arriver jusqu'au milieu de mon dos.
" Ne bouge pas, reste comme ça, et écarte tes fesses "
J'obéis, je sens mon trou s'ouvrir et se fermer, " respirer ".
Il a reculé et me regarde. Petit rire satisfait. Il m'éponge le dos, enlevant son sperme, puis m'enlève mon bâillon et me redresse. Il me retient quand mes jambes lâchent un peu, et je suis à moitié assis sur la table.
" Eh bien, tu as eu ton compte on dirait "
Je fais oui de la tête, il rigole.
" Pourtant tu as déjà eu plus. "
Il rigole à nouveau, je souris (effectivement).
Il attrape mes habits, me donne mon tshirt que je passe.
Puis il sort mon boxer qui est resté coincé dans mon pantacourt et me le donne.
Malgré le gel que je sens encore sur mon petit trou, je passe mon boxer en me tortillant.
Il n'en manque pas une miette et souris.
Mais là, tout en gardant mon pantacourt, il recule un peu, me dit d'approcher.
Je lâche la table, et vais à lui. Il met son bras autour de moi, pose sa main sur ma fesse, la glisse dans mon boxer, me mets un doigt, et me dit doucement :
" l'endroit t'a plu ? Cette rue, ce n'est pas par hasard. " Il enlève sa main, et sort du cabanon.
Je le suis, et dans le hall lui fait remarquer en lui montrant ma tenue qu'il me manque quelque chose, et je lui montre mon pantacourt qu'il tient dans la main.
Il sourit encore, rigole, me dit de venir, et qu'on va juste à côté, que je n'en ai pas besoin.
Je le suis donc, mais ne fais vraiment pas le fier quand nous poussons la porte. Je n'ose croiser aucun regard... mais il me fait lever la tête. Comme tout à l'heure, je sens mes fesses glisser l'une sur l'autre, mais cette fois, je ne suis qu'en boxer en pleine rue, au centre-ville de Montpellier... Que des mecs ou presque dans cette rue, je rougis en en voyant me regarder fixement.
Il me tient le bras, nous faisons juste quelques pas, effectivement. Nous nous arrêtons devant une porte, et entrons.
Nous sommes dans un sauna gay, deux maisons à côté de là où nous étions. Je pense qu'il n'en a pas fini avec moi. Deux entrées; nous prenons les deux serviettes qu'on nous donne; vestiaire; un seul casier pour nos affaires; André passe sa serviette autour de la taille, prend la mienne, la met sur son épaule et sort des vestiaires.
Je le suis, entièrement nu.
Dans le sauna, "dragon bleu" nous attendait, le sourire large quand il m'a vu arriver.
La douche a fait du bien, le repos dans le hammam aussi. Ça m'a permis de récupérer un peu.
La suite? Il y a des cabines; j'ai revu "dragon bleu" de près, André et lui se sont amusés un moment avec moi, me prenant à tour de rôle en cabine, les deux en même temps, me mettant quelques coups de queue au milieu d'un couloir devant d'autres clients excités, avant de finir en cabine ...
Le sauna a fermé, nous avons fini la nuit chez André.
Je suis arrivé en retard au stage le lendemain, et m'assoir a été "compliqué".
Jh30du11
jh30du11@hotmail.fr
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