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Une voiture à tout faire

Voilà plusieurs jours que je discute avec un mec sur un site de rencontres. Il est libre, je ne le suis pas. Je suis libre, il n’est pas disponible. Les jours passent. Irons-nous jusqu’à la rencontre ? Il se dit timide, mais intéressé pour passer à l’action. Plusieurs rendez-vous ont été annulés à la dernière minute pour empêchement intempestif. Je suis chaud bouillant, il me plait bien, je le veux. Je réserve habituellement mes plans pour le weekend, mais là, plus rien ne m’arrête. Je veux le rencontrer, quels que soient l’endroit, le jour et l’heure.

Un jour, il m’envoie un texto pour fixer un rendez-vous express, lundi de la semaine prochaine, dispo vers 18 h. Où ? Sur un parking au bord de l’étang, à l’entrée de la plage. D’accord. Mais on va où après ? Je ne sais pas, c’est l’hiver, à 18 h il fait nuit, on trouvera bien un endroit discret. Ma voiture est grande. Ah bon ? Oui, elle a un grand coffre permettant de s’allonger. On devrait y arriver. Et pour ne pas perdre de temps, je viendrai en survêtement sans rien en dessous. Rien qu’à lire cette phrase, ma queue se tend. Lui qui était timide… Trop beau pour être vrai. Ok, je ferai pareil. Mais tu seras là ? Oui. Et si tu as un empêchement de dernière minute, tu me préviens que je n’attende pas pour rien. Ça marche. Je reste méfiant. Plusieurs mecs m’ont déjà chauffé et ne sont pas venus au rendez-vous. Je me prépare à le rencontrer, mais je me prépare aussi à ne pas le voir, pour ne pas être trop déçu.

Le weekend, je pars en reconnaissance des lieux. Le parking près de l’étang est vraiment à découvert. Impossible de faire quoi que ce soit, même s’il fera nuit, le jour J, à l’heure H.

Je dépasse le parking et longe la plage. Au bout de 500 m, la route goudronnée s’arrête et donne sur un autre parking pour le début d’une balade piétonnière le long de l’étang, à la découverte de la faune et de la flore locale. A cette heure de l’après-midi, 2-3 voitures sont stationnées. Une en particulier, garée dans un coin et protégée par des arbres, attire mon attention. On dirait qu’elle n’est pas vide. Bingo, 2 personnes se font du bien. Je les laisse tranquilles, mais j’ai trouvé l’endroit idéal pour lundi soir.

Le dimanche soir, je préviens que je rentrerai tard, j’ai du boulot à finir… Ça ne trompe personne, mais les apparences sont sauves…

La journée de lundi s’éternise. Je ne suis absolument pas concerné par ce qui se passe autour de moi. 17 h 30, je quitte le boulot, j’ai eu ma dose et surtout j’ai reçu il y a 1 h un texto me confirmant le rendez-vous de ce soir. Dans ma voiture, je confirme par SMS que je quitte le boulot et je démarre. J’entends mon téléphone biper, il doit accuser réception du message. Sur la route, arrêté à un feu, je jette au téléphone, il accuse réception du message et m’indique qu’il sera en retard, il y a un accident sur l’autoroute. Cette autoroute est bouchée un jour sur deux à cause des accidents. J’écoute les infos locales pour le trafic et en effet, il y a bien un accident sur cette satanée autoroute… pour l’instant, rien d’alarmant. Il me précise que son GPS lui indique 1/2 h de retard. D’accord, je t’attendrai au lieu prévu. 18 h 15, nouveau texto, le bouchon vient de se résorber, mais j’espère arriver vers 18 h 45. Surtout, attends-moi. Pas de problème, je t’attends. Plusieurs voitures sont garées sur le parking, à croire qu’il sert de lieu de rendez-vous ou de promenade hivernale en amoureux. Il n’est donc vraiment pas question de rester là pour passer à l’action. Ma voiture est plongée dans le noir. J’en profite pour retirer mes chaussures, mon pantalon et mon caleçon et mettre mon survêtement. Ma bite s’allonge d’excitation, surtout que les voitures stationnées ne sont pas loin et leurs passagers peuvent distinguer, avec un peu d’imagination, que je suis en train de me déshabiller.

18 h 45, une voiture entre sur le parking. Nouveau SMS, mets tes warnings que je te repère. J’actionne mes warnings. Il me fait des appels de phare et se gare près de moi. J’enlève mes warnings et ouvre ma portière passagère avant. Il me plat avec sa barbe et ses petites lunettes. Il a un petit sourire coquin et se confond en excuses.

– Désolé, je suis en retard. Il y avait un accident sur la route, je n’ai même pas eu le temps de mettre mon survêtement.

– Ben moi, si, tu vois. Pas de problème, enlève ton pantalon, ton slip et mets-le maintenant.

– Maintenant ? Ici ?

– Tu as peur de quoi ? Que je voie ta bite ? Si tu es timide, tiens, je te présente la mienne. Je descends donc mon survêtement et lui expose ma queue raide ;

– Quelle queue, tu n’avais pas menti.

– A toi de te désaper et montre-moi ce que tu enfermes dans ton caleçon.

Il commence à retirer ses chaussures, son pantalon, son slip, mais cache un peu sa queue. Il est timide.

– Euh… Je peux la voir maintenant ? Tu sais, si tu veux que je te suce, il va falloir me la montrer…

À ces mots, il écarte les jambes et me montre sa queue qui prend du volume, puis enfile son survêtement

Je démarre en direction du deuxième parking, ma queue à l’air et je lui caresse la queue à travers son survêtement.

– Ça te plait cette caresse ?

– Oui, beaucoup.

– Tu peux toucher la mienne, tu sais, elle aime être cajolée.

Il avance sa main et caresse ma bite. Je roule à 20 km/h et d’un coup, il penche sa tête et me gobe la queue jusqu’à la garde. Je suis soufflé.

– Pour un mec timide, tu m’as épaté, là.

– j’en avais trop envie. Elle me plait ta queue, alors je n’ai pas pu attendre le parking.

Et il repart de plus belle sur ma tige. Heureusement qu’il fait nuit et que c’est l’hiver. Pas âme qui vive sur cette route en cul-de-sac.

C’est très excitant de conduire en se faisant sucer. J’avais raison d’accepter de le voir, c’est un plan qui promet.

J’arrive sur le deuxième parking, il est désert. Je me gare, j’éteins les lumières. On peut commencer les choses sérieuses. Il n’a toujours pas lâché ma bite qui est raide comme jamais.

– A mon tour de gouter ta queue, je t’ai dit que j’adorais ça, donc je la veux.

Il se redresse, je lui baisse son pantalon et commence à le sucer. Sa bite est plus fine que la mienne et moins longue. Je peux l’avaler en gorge profonde sans difficulté. Il mouille, j’avale. Il gémit sous mes coups de langue.

Je lui propose de retirer complètement son pantalon, pour pouvoir jouer avec sa rondelle.

– Et s’il y a quelqu’un qui arrive ?

– On le verra et l’entendra arriver, on se rhabillera.

Sur cet argument rassurant, il retire son pantalon. Je continue ma pipe et commence l’exploration de son cul. Très facilement, une phalange se glisse dans son trou. Puis 2, puis un doigt entier, avec simplement un peu de salive.

Je prends le gel dans mon sac à dos et je lui tartine l’anus.

– Hum c’est bon, continue. Fouille-moi le cul.

– Tu apprécies, tant mieux, car j’ai envie de t’enculer.

– Euh, je n’avais pas prévu, je ne me suis pas fait de lavement.

– Pas grave, j’ai trop envie.

Sur ce, je lui enfonce trois doigts et je lui dévore la queue en même temps. Il ne sait plus où il est. Son corps est offert complètement.

Je me redresse, retire mes mains et je prends une capote que je place sur ma queue. Je la badigeonne de gel et lui propose de l’enculer.

– Mais comment ? On est assis côte à côte.

Je recule au maximum mon siège et lui demande de venir s’accroupir sur ma queue. Il est tellement excité, que plus rien ne le dérange. Il n’a plus de peur ni de tabou. Sans réfléchir, il se soulève, passe un pied près de ma portière et le second près du changement de vitesse, pour avoir ses fesses, collées au volant et au-dessus de ma bite. Je lui retiens les fesses, que j’écarte ne douceur et le guide jusqu’à mon gland. A son rythme, très rapide à mon avis, mais il connait ses capacités d’accueil mieux que moi, il s’empale sur ma queue. Ouf, ses fesses tapent sur mes cuisses. Nous nous roulons des patins d’enfer. Je ne tiens pas à bouger, tellement je suis bien. Lui commence une danse du cul sur ma bite. C’est délicieux. Quelques va-et-vient et il se relève. Ses genoux lui font mal. Une légère odeur de fond de cul se dégage de ma capote. C’était attendu, puisqu’il s’est empalé à fond. Il est gêné et tout confus. Je le rassure. Je ne pensais pas trouver autre chose, rien d’alarmant. J’enlève la capote, la retourne et la jette par terre à mes pieds. Le ménage sera pour plus tard.

Mais je n’ai pas joui et lui non plus. Nous avons les deux la queue encore bien raide et il n’est pas question de se séparer comme ça.

Il se rassoit sur le siège du passager avant le cul à l’air et la queue dressée.

– Ta queue me plait, je n’ai pas trop l’habitude de faire ça, mais j’en ai trop envie. À mon tour de m’empaler sur toi.

Je lui enfile une capote, la recouvre de gel, m’envoie une rasade de gel dans l’anus et je prends la même position que celle qu’il avait 5 minutes avant.

– Tu t’es fait un lavement, toi ?

– Ben non, j’étais au boulot et je suis venu directement.

– Mais il va y avoir de la merde sur ma queue…

– Tu as une capote, ça lubrifiera…

Je me mets en position, guide sa queue et m’assois dessus. Grâce à mon excitation, mon cul s’est ouvert tout seul. C’est vrai que sa bite est plus fine que celles que j’ai déjà engouffrées, mais quand même, je ne suis pas un garage à bites.

Je monte et descends sur lui et lui demande de me branler. C’est le bonheur complet. J’accélère, sur son membre et lui demande d’accélérer son mouvement du poigner.

– Surtout, ne t’arrête pas, je vais jouir. Et même quand j’ai joui, ne t’arrête pas.

La jouissance n’est pas loin. Je soulève sa chemise pour ne pas la salir, j’en profite pour caresser ses poils et je me lâche en poussant des cris étouffés. 4 jets de sperme se partagent entre ses poils et sa main. Il continue à me branler, comme je lui avais demandé. C’est trop bon. Je vis un moment exceptionnel, à califourchon sur une queue d’un mec que je ne connais pas, dans ma voiture, avec du sperme partout. Je reprends mes esprits et me dégage de sa queue. En effet, sa capote est couverte d’une substance marron. Je m’en fous, j’ai joui. Ça le dégoute un peu, mais nous avons dépassé le stade de la gêne entre nous. Je lui retire la capote et l’envoie rejoindre sa jumelle. Il bande toujours. Je m’approche de son gland et le gobe. Je suis en extase devant cette queue qui m’a fait jouir et je veux remercier son propriétaire. Il se laisse faire et apprécie ma pipe.

– Ahhh, je vais jouir.

Je recule ma bouche de sa bite, mais continue à le branler. Il se libère et m’arrose le visage. Je lui purge les couilles à la main. Il est cuit.

Nous nous nettoyons, nous rhabillons, nous rechaussons. Nous ramassons tous les mouchoirs et les capotes.

Je démarre pour rejoindre le premier parking.

Je me stationne près de sa voiture. Nous échangeons un baiser plein de fougue. Nous nous promettons de nous revoir bientôt. Je n’aurais jamais cru avoir autant de plaisir avec lui.

Il descend de ma voiture et remonte dans la sienne. Chacun part de son côté. Je reçois un message sur mon tél. pour me remercier du moment, je lui réponds que ce moment était magique et qu’il faut vraiment qu’on se revoie…. A reprogrammer.

Je roule jusqu’à la maison et reprends ma vie officielle.

Erox

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