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Sea, sex and sun

15 Aout, le jour idéal pour couper la semaine et tenter l’aventure. Depuis quelques jours, j’avais l’idée de profiter de cette journée pour reprendre contact avec les joies de la plage naturiste et des dunes coquines.

Bien que j’enchaine les plans sans lendemain depuis quelque temps, j’ai envie de me déchainer. Je n’ai de comptes à rendre à personne. J’ai les couilles en état de marche. Une queue qui réagit au quart de tour. Et une bouche et un cul accueillants et en demande.

Comme un jour de boulot, je me réveille à 5 h, le soleil se lève à peine, je suis déjà en forme, très motivé pour une journée à poil à la plage.

6 h, je quitte la maison et je prends la route. J’en ai pour 2 h de route. Je m’en fous, l’objectif est clair, j’y vais la queue en avant.

À l’arrivée, je paie l’entrée du parking. Tiens, la dernière fois que j’étais venu, le péage ne commençait qu’à 9 h. Pas de problème. C’est le prix forfaitaire à payer pour une journée d’éclate.

Il y a déjà pas mal de voitures, mais ce n’est pas encore la foule. Je me stationne, je repère plus ou moins l’endroit, pour retrouver facilement ma voiture ce soir, je verrouille les portières, mon sac est sur le dos et en route pour la plage.

Un peu de marche à pied sur le sable. Quelques couples hétéros sont déjà en tenue, mais restent bien sages. C’est la partie de la plage familiale, donc, même plus tard dans la journée, il ne se passera rien d’intéressant ici. Je longe donc le bord de l’eau d’un pas décidé pour rejoindre la partie réservée aux mecs. Même si cela fait plusieurs années que je ne suis pas venu, ma mémoire et mon instinct de chasseur m’indiquent le lieu qui m’intéresse. Pas trop près, mais pas trop loin non plus.

Je m’installe à proximité d’un jeune couple de mecs, qui s’amusent à s’embraser et à se tripoter gentiment en me jetant des regards de temps en temps. Ça les amuse que je les regarde. Mais dès que je commence à me caresser pour leur faire comprendre que je pourrais participer à leurs jeux, ils tournent la tête et font semblant de dormir. Ils sont trop sages pour moi. Ils ont voulu me provoquer ou me choquer, mais je ne suis pas facile à choquer, mais ça, ils ne le savent pas… Je suis encore calme et détendu. Il est trop tôt. Je ne vais pas épuiser mes réserves pour 2 petits joueurs, surement au début de leur histoire et qui n’ont clairement aucune idée du plaisir à plusieurs. Provocateurs, peut-être, mais petits bras, c’est certain.

L’eau est un peu fraiche, mais limpide. Un vent léger me fait frissonner. Ce n’est pas grave, le soleil se chargera de me sécher. Je m’allonge sur ma serviette et commence ma lecture. J’attends que les promeneurs arrivent, il est encore très tôt.

Quelques mecs s’installent dans mon champ de vision. Joli spectacle. Beaux mecs. Inaccessibles. Les playboys du matin, qui veulent un bronzage intégral et attendent leur prince charmant. Pour le bronzage intégral, je suis là, pour le prince charmant, j’ai quelques lacunes, enfin… pas tant que ça. Tant pis.

Mon livre est très certainement passionnant, mais je n’arrive pas à tourner les pages. La plage commence à se remplir et il y a surement un mec avec lequel je vais pouvoir conclure quelque chose. Je passe très rapidement en mode chasseur. Il faut que je me vide les burnes et il faut absolument que je trouve quelqu’un pour ça.

Comme un crocodile à l’affut, je mate à 360 degrés. Chaque mec fait pareil. Personne ne bouge. Je me lève et retourne dans l’eau, histoire de prendre de la hauteur et élargir mon champ de vision. J’en profite pour me mettre un doigt dans le cul, histoire de préparer le terrain. Normalement, si la vie est bien faite, aucun mec de la plage n’aura manqué ce geste discret. Tout le monde épie tout le monde, c’est le jeu. Manque de chance, le vent se fait plus violent et des rafales se succèdent. Mon épisode maritime est passé inaperçu. À la limite, ce n’est pas grave, je reviendrai. Le plus important c’est que le vent ne se calme pas et, sur une plage de sable bordée de dunes, ça ne pardonne pas. Il n’est pas 10 h du matin, que certains se rhabillent et remballent leurs affaires. Les parasols se ferment. La plage se vide. Quelle poisse ! Mauvaise journée. Certains, au lieu de repartir vers le parking, se dirigent vers les dunes. Tiens, un repli stratégique vers le lieu des délices ? Et si ce vent était tout compte fait une chance…

Quelques stars du culturisme sont aux aguets. Intouchables. J’ai beau proposer mes services par force gestes démonstratifs, c’est refus sur refus. J’ai perdu la main on dirait…

Quelques allers et retours dans les dunes à proximité pour trouver un coin abrité du vent. Je m’installe à côté d’un mec de mon âge, la clope au bec. Salut, salut. Il me répond, c’est le bon. Je ne vais pas laisser passer ma chance. Je m’approche, pose ma serviette et commence à me caresser la queue. Il ne me quitte pas des yeux. Je prends sa queue en main, il fait pareil avec la mienne. Tu suces ? Il se met donc à pattes entre mes jambes et commence à me sucer. Ouf, enfin, la journée commence. Je veux gouter sa queue. Je change de position et je tends le cou pour m’approprier sa bite, mais il m’oppose un refus catégorique. Il me suce et c’est tout. Bon, je ne vais pas refuser sa gâterie, même si je n’ai pas le plaisir de le sucer. Il sait y faire. Je jouis, il avale et se retourne. L’histoire et finie, je gêne. Dommage, je ne suis plus habitué aux plans express. Même si j’ai joui, il manque quelque chose, que lui, visiblement, ne tient pas à me donner. Je retourne dans l’eau pour me rincer la queue et je repars en chasse.

Le vent a fait des ravages, il n’y a quasiment plus personne sur le sable, si ce n’est des touristes emmitouflés dans leurs serviettes et qui ne veulent pas partir parce que c’est les vacances et au prix où ils ont dû payer leur location, il faut rentabiliser la dépense.

Je remets mon short et je repars donc en direction des dunes. Je sais que parmi ces dunes, un groupe d’arbres est équipé de petites alcôves pour moments chauds. Je marche, je tourne, je vire. Rien à faire, je ne retrouve pas l’endroit. Ce n’est pas grave, au moins, je suis à l’abri du vent. Je continue à chercher ce paradis pour mecs. Quelques mecs cherchent aussi, c’est clair. Aucun doute sur leurs intentions. Très vite on apprend à reconnaitre un mec en manque de sexe d’un mec qui vient de se vider les couilles, de celui qui mate et qui ne passera jamais à l’acte ou de celui qui s’est trompé d’endroit, mais qui n’est pas contre profiter de l’occasion. Tiens, justement en voilà un qui passe. Il est bien foutu. Je le suis, on ne sait jamais… Mais c’est visiblement un mateur. Il ne fera jamais rien. Il a même pris peur parce que je le suivais. Il s’éloigne rapidement. Tant pis. Je continue ma promenade. Je suis seul, au soleil et à l’abri du vent. À quoi ça sert de garder mon short ? Je retire donc mon short et sens le soleil sur ma queue et mes fesses. J’aurais au moins eu cette caresse, faute de mieux.

J’en suis là de me réflexions quand tout à coup je me rends compte que mes pas m’ont dirigé, je ne comprends pas comment, au niveau de cette zone de plaisir. Je la reconnais. Je retrouve ses chemins de sable entre les bosquets. Je devine les lieux de baise. Ma queue prend du volume rien que de savoir que je suis arrivé à destination. Mes intentions sont claires. Pas de doute possible. Tout promeneur pourra apprécier la situation en un clin d’œil. Je parcours les sentiers, en long, en large et en travers, à l’affut du moindre mec, de la moindre queue. Mais il faut que je me fasse une raison, il n’y a personne. Le soleil chauffe tout de même à l’abri du vent. Je m’installe donc dans une des alcôves à l’abri du soleil, queue en avant et j’attends le chaland. Ma pose de chasseur est la meilleure. Je sors mon livre, que j’essaie de tenir à l’endroit. Très vite, des garçons se succèdent devant l’entrée de mon coin abrité. Certains, que je me permets de refuser, je suis en manque, mais je me suis déjà vidé les couilles une fois, il n’y a plus urgence. D’autres, qui passent furtivement et ne veulent que regarder en se branlant. La faune habituelle est revenue. Je patiente. Un très beau mec, mince, musclé, bite demi-molle de 20 cm à l’air, les couilles ornées d’un cockring, entre et s’approche. Lui, c’est un mâle dominant. Pas besoin de présentation. Je me touche la queue, il se touche la queue. Le code est correct. Je me suis redressé. Il s’arrête près de ma bouche, que j’ouvre instantanément. Sa bite se raidit à vue d’œil, même si elle ne grossit pas tant que ça. Ça m’arrange, je peux la prendre en bouche. Il me pilonne comme un mâle alpha. Je me régale, mais je ne tiens pas à en rester là. Je lâche son membre dressé, me lève et lui demande de se baisser pour me sucer. Il accepte volontiers et se met à me pomper avec un vrai plaisir. Plaisir partagé. Alors elle te plait ma queue ? Oui, elle est bonne. Bien qu’il ait la bouche pleine, sa voix est toute douce, en totale contradiction avec son gabarit. Mon mâle alpha serait-il versatile ? Il y a surement une ouverture pour plus qu’une pipe. J’enroule mon corps au-dessus de sa tête et mes mains caressent son dos jusqu’à ses fesses, que je lui écarte doucement. Il pousse de petits gémissements. Ça lui plait. Tant mieux. Mes lèvres embrassent son crâne, son dos, ses épaules. Mes mains pétrissent ses fesses et viennent caresser sa rondelle. Elle vibre sous mes doigts. Tu te fais prendre ? Oui, si je peux te prendre aussi. Super. Je lui propose un 69, pour profiter de sa queue et me rapprocher de son trou et pour qu’il puisse faire pareil avec moi. Son membre me fait envie. Pas uniquement dans la bouche. Je lâche sa queue pour lécher sa rosette et commencer à l’ouvrir. Il inonde mon cul de salive et introduit un doigt. Je lui propose du gel et très vite, il en insère un deuxième. J’écarte mes jambes pour lui donner entièrement accès à fesses. Je suis prêt à l’accueillir. Comment veux-tu me prendre ? Debout contre un arbre. Je me place donc face à un arbre, les mains sur le tronc, cambré au maximum pour lui offrir mon cul. Il met une capote que sa queue, la badigeonne de gel et présente son gland sur mon orifice. J’en ai tellement envie, que c’est moi qui recule pour engloutir son membre. Il n’a pas d’efforts à faire. Je commence un petit va-et-vient de plus en plus profond jusqu’à l’accueillir entièrement en moi. Aucune douleur. C’est vrai que ma première sodomie remonte à longtemps, mais il a tout de même un sacré morceau raide entre les jambes. Il est doux, il n’ose pas accélérer. Qu’à cela ne tienne, je vais me servir de lui comme d’un gode. Il n’est plus qu’une queue sur pattes. C’est moi qui bourrine et m’ouvre le cul. C’est moi qui fais claquer mes fesses sur ses couilles. Je l’invite à bouger, à me pilonner. Mon cul est ouvert. Il peut y aller. Ce n’est pas un débutant, mais il est encore tout intimidé. Sa queue vibre en moi. Il apprécie mes ondulations. Je me lâche sur son membre qui nage en moi. Son pieu aurait-il diminué de volume ? Non, mon cul est ouvert en grand. Mon bonhomme prend de l’assurance. Il avait peur de me faire mal. Maintenant, il est à l’aise, il peut commencer sa besogne. Il ne se prive pas de me labourer le cul et j’en redemande. Je lui crie mon plaisir, surtout que les promeneurs commencent à se masser devant l’entrée de notre chambre improvisée et se branlent ou se sucent sans gêne. Ce qui redouble mon excitation. Les playboys du matin passent aussi par là. Mes gémissements ont dû leur donner des idées. Moi, le mec transparent, je vous montre à tous ce que vous avez raté en vous refusant à moi. Vous auriez pu m’enculer et vous envoler. Dommage… C’est moi qui mène la danse à présent. C’est moi qui vous refuse mon accès. Restez loin. Vous pouvez regarder, mais pas toucher. Mon amant de passage se retire. Il n’a pas joui, mais mes gémissements lui ont donné l’envie de se faire enculer à son tour. Chose promise, chose due. Il retire sa capote et s’allonge sur le dos les jambes relevées, la tête vers l’entrée de notre antre. Il me regarder et m’attend. Nos mateurs continuent à observer notre séance, comme si nous étions des amants réguliers en mal d’exhibition alors que nous ne nous connaissons que depuis quelques minutes. Nous en sommes à la scène 2. J’ai la queue raide depuis le début, sa bite dans mon cul m’a fait encore durcir, mais je ne me suis pas touché la queue. Je veux son cul et il m’est offert. J’en enfile une capote et la lubrifie. Je m’agenouille entre ses jambes et remplis son cul de gel. Je lui soulève un peu les fesses et m’introduis en douceur. Mon gland est en lui. Les mateurs se branlent de plus belle. Je pousse ma queue lentement et commente la progression pour que tous profitent de la scène. Je les regarde du coin de l’œil, mais je ne lâche pas mon amant du regard pour autant. Ça y est, mes couilles touchent son cul, je suis au fond. Je me penche en avant et l’embrasse. Nous ne baisons plus, nous faisons l’amour. Les mateurs n’existent plus. Ils font partie du décor. Qu’ils se branlent, qu’ils se sucent ou s’enculent à proximité n’a plus aucune importance. Je commence mes vas et vient, qui s’accélèrent. Il gémit de plaisir, comme moi tout à l’heure. Son cul est bien ouvert, je suis bien dedans. Ma queue coulisse, il y a assez de gel pour que les frottements ne nous provoquent que du plaisir. Je suis bien en lui. Je tape contre sa prostate, sa queue fait des bonds. Du pecum sort de son gland. Je l’utilise pour le branler. D’abord doucement, puis vigoureusement. Je veux qu’il éjacule par ma main sous mes coups de queue. Il se contracte, son cul enserre ma queue, il lance 3 jets de sperme qui s’étalent sur son torse. Je continue à le branler lentement, son corps a des soubresauts. Comme tous les mecs, il est sensible du gland après la jouissance. Je n’insiste pas. Je me retire de son fondement, son cul s’est refermé. J’enlève la capote et utilise son sperme comme lubrifiant pour me finir à la main. Je lui jouis sur le torse. Nous sommes cuits. Heureux, mais crevés. Je m’assois à côté de lui. Nos spectateurs ont joui aussi… ou pas, de toute façon ils ne nous apportent rien. Nous nous essuyons sommairement. Nous nous rhabillons. Je voudrais bien faire plus ample connaissance, il n’y tient pas. Nous nous séparons donc, chacun de son côté. Je file dans l’eau me rincer. Même si le vent est toujours présent et que l’eau s’est rafraichie, il faut tout de même que je sois propre, je ne peux pas rester avec du sperme et du gel sur moi. On ne sait jamais, la journée n’est pas finie…

Il y a un peu plus de monde sur le sable au bord de l’eau. Je pose mes affaires en vrac et je rentre dans l’eau. Sans aucune gêne, je me lave la queue et le trou du cul. Que les plagistes me regardent, je ne les vois même plus, quoi que je croie reconnaitre quelques mateurs. J’ai un sourire accroché à mes lèvres. Après la scène de baise que je leur ai offerte, je leur offre une scène érotique de caresses dans l’eau de mer. Ça me fait plaisir de les exciter. Ils ne me voient plus tout à fait comme en début de matinée…

Je sors de l’eau, je reprends mes affaires et retourne dans les dunes, pour trouver un endroit où me reposer un peu, tout en profitant du spectacle qui pourrait s’offrir à ma vue. Après avoir été acteur, j’aimerais être spectateur. Nous sommes en plein après-mdi et l’heure de pointe approche…

Ma séance d’exhibition m’a donné des ailes, je n’ai plus envie de me cacher. Je m’installe donc à la croisée des chemins de ronde, au milieu de la zone active, la queue bien en évidence. Je ne bande plus, mais je suis détendu et prêt pour de nouvelles aventures. Les mecs passent, faussement indifférents. Les uns se caressent ouvertement, les autres me regardent comme un morceau de viande. Aucune importance, je ne fais pareil avec eux. Ils ne sont que des bites et des culs sur pattes. Je suis rassasié, je peux mater en toute sérénité. Tiens, en voilà un qui est déjà passé plusieurs fois et qui repasse encore. Il a un bronzage intégral, il est mince, sa bite tapote ses cuisses au rythme de ses pas. Nos regards se croisent. Je lui souris et touche ma queue, c’est une invitation claire à me rejoindre. Il me sourit et s’approche. Salut. Salut. Il s’assoit près de moi et prend directement ma queue en bouche. C’est délicieux. Voici un expert. Ma bite prend du volume. Je me penche pour prendre sa bite en bouche et nous nous lançons dans un 69 avec un naturel et une simplicité qui me laissent rêveur encore aujourd’hui. Car nous sommes complètement à découvert, à la vue de tous les passants. Je demande à mon partenaire si ça le gêne tous ces regards sur nous. Absolument pas. Ça tombe bien, moi non plus. À tel point que nous ne nous apercevons que tardivement que 2 mecs se sont arrêtés devant nous et commencent à s’enculer tout à fait naturellement. C’est surréaliste. Nous avons lancé l’action en plein air. Un troisième se place devant la bouche de l’enculé, qui lui gobe la queue. L’enculeur, un mâle alpha de toute beauté m’appelle du regard pour que je vienne m’empaler sur sa queue. Je n’en ai pas envie. Je reste avec mon suceur. Mon suceur refuse aussi l’invitation et nous continuons notre plan à 2 avec 3 mecs qui jouent pour nous une scène particulièrement excitante. D’autres mecs se succèdent dans la bouche de l’enculé. Les uns déchargent, les autres se branlent. Nous assistons à un vrai film de cul en direct, à nos pieds. Nous arrêtons notre 69 et nous nous embrassons à bouche que veux-tu. Le mâle alpha change de capote et enfile les mecs les uns après les autres, une file d’attente s’est créée devant nous. Il les encule tout en nous regardant. Il veut nous exciter, mais en même temps il ne comprend pas que nous nous refusions à lui. Il réitère son invitation que nous déclinons à nouveau. Nous continuons nos caresses, qui suffisent à notre envie du moment. La file de passifs continue à grossir. C’est complètement fou. Les mecs se succèdent, se font enculer avec une facilité et une rapidité déconcertante. Ils peuvent gouter la queue du mâle alpha, qui ne les regarde même pas. Il n’a d’yeux que pour nous. Le lieu de plans chauds est devant nous. Les buissons ont été désertés. L’action aujourd’hui est en plein soleil.

Mais qui arrive ? Un black magnifique, musclé, pas un gramme de graisse, une queue de 30 cm. Je n’en ai jamais vu de cette taille. Je pensais que les réalisateurs de films trafiquaient les images, ça n’existe pas un truc pareil. Il s’approche. Cette fois, le mâle alpha, avec ses 20 cm, a trouvé son maitre. Le black va lui mettre un sacré coup de queue. Il est puissant et va le dominer en 2 temps 3 mouvements. Ça ne peut être qu’un dominateur avec un outil pareil. La grande scène de notre film de cul en direct est sur le point de se dérouler devant nous. Il double tous les autres mecs qui attendent. Il vire le passif du moment, qui lui laisse la priorité en espérant gouter à ce chibre démesuré. Va-t-il dominer le mâle alpha ? Va-t-il se placer à côté de lui pour dédoubler la file d’attente ? … Non, il s’agenouille devant le besogneux, lui retire la capote et le suce goulument. Nous sommes tous en arrêt. Le suce-t-il pour que l’autre le suce ? Sa queue devient raide. Il va forcément se relever et le retourner. Il a une force et une majesté qui rendraient le plus macho des mecs une lope de première catégorie. Pas du tout. Il s’enduit la raie de gel, sniffe un coup de poppers, enfile une nouvelle capote au mâle dominant, se retourne, se cambre et s’empale sans autre préparation. Nous sommes tous étonnés d’un tel spectacle. Le black commence sa danse du cul, les yeux fermés. Il se sait regardé, il se sait admiré. Sa queue bandée lui arrive à mi-cuisse, il ne se touche pas. Le spectacle est magnifique. Un des mecs approche sa queue de sa bouche, qui s’ouvre et l’engloutit. On croit tous rêver. Le scénario est improbable. Le mâle alpha le besogne sans conviction, simplement pour se donner en spectacle. Il procède à un vrai abattage. Rien ne compte que les regards que nous lui envoyons. Il ne nous fait pas envie. Nous ne nous jetterons pas sur sa queue, ça gâcherait son plaisir. Des mecs sont offerts. Ils attendent leur tour. Nous, par notre résistance, lui redonnons envie de la conquête. Nous nous embrassons de plus belle. Le black éjacule de longues rasades. La scène est réalisée sans trucage, sans doublage. Il est impressionnant. Il sort la queue de son cul, sans un regard pour le mâle, qu’il n’a utilisé que comme un sextoy. Celui qu’il suçait décharge aussi. Pour eux deux, la scène est finie. Le mâle se retrouve la queue à l’air toujours bandée. Il n’a toujours pas joui. Le pourra-t-il ? Il n’a pas eu ce qu’il voulait : nous soumettre à son désir. Indifférent aux passifs qui attendent, il remballe son matos, nous adresse un baiser, nous remercie de l’avoir excité, nous souhaite bonne chance et s’en va. Il doit croire que nous sommes un couple, fidèle, par-dessus le marché. Les passifs se dispersent à leur tour, ils n’ont pas eu ce qu’ils voulaient. Aucune importance, ils trouveront leur bonheur dans les buissons. La journée n’est pas finie.

Mon partenaire et moi continuons tranquillement nos jeux de mains et de langues. Nous apprécions notre compagnie mutuelle et rions de la scène qui vient de se dérouler devant nous. Tout est possible aujourd’hui. Mais le temps passe, il est bientôt 18 h. Quoi ? Ça fait 2 h que nous jouons ensemble. Lui avait laissé ses potes pour aller pisser et se dégourdir les jambes, soi-disant. Ils doivent commencer à s’inquiéter ou à se douter qu’il a trouvé à s’occuper. Nous nous séparons en nous remerciant mutuellement du moment partagé.

Je retourne plonger, il fait tout de même chaud. Le vent s’est calmé. Il est temps pour moi de rentrer. J’ai tout de même 2 h de route. La journée a été riche en évènements. J’ai adoré ces imprévus.

Je quitte la plage, je retrouve ma voiture. Je prends la route pour rentrer à la maison. Il me reste 2 h pour reprendre ma vie officielle.

Erox

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