Ca m'apprendra à être trop gentil. Pour permettre à mes collègues de passer les vacances de Noël en famille, j'ai accepté de bosser pendant toutes les vacances scolaires. J'assure donc l'intérim sur les chantiers, au bureau et à l'atelier de fabrication. De toute façon, quel intérêt de rester à la maison ? Les gamins s'occupent avec leurs PC et leurs tablettes ou devant la télé et ma femme a plein de choses à faire, qui l'empêchent de partager du temps avec moi ou de s'occuper du quotidien. Au lieu de faire l'homme à tout faire, autant que je bosse. Je ne serai donc à la maison que le 25/12 et le 01/01. Impossible d'y échapper.
Comme d'habitude, il fait un temps superbe. C'est tout de même agréable d'habiter dans une région où il fait beau et lumineux en hiver. Et il n'y a pas de vent. Pourquoi noter ces points ? Parce que le chantier que je suis est… au bord d'une plage naturiste. Et ce n'est pas parce que je ne peux pas me tremper les pieds que je ne peux pas me rincer l'œil, et plus si affinités…. Et je fais ce que je veux pendant ma pause déjeuner…
A cette époque de l'année, la plage est quasiment déserte et seuls des mecs en recherche de plaisirs entre mecs font leur ronde.
Je n'ai que peu de temps, même si je pars un peu avant l'heure et que je reviens un peu après l'heure, c'est Noël tout de même, je dois donc agir très vite. Pas le temps d'attendre qu'on s'intéresse à moi ou que l'autre ou les autres se décident. Il faut donc que je passe à l'action.
Dès la fin de la matinée, je laisse mes collègues du chantier car je dois retourner à l'atelier. Comme il y a une grande distance entre le chantier et l'atelier, personne ne peut contrôler le temps qu'il me faut entre les deux. Et qui pourrait me soupçonner d'un écart de conduite ? Je vis pour l'entreprise, j'ai sacrifié mes vacances pour l'entreprise. Les 2-3 chats qui restent sont bien trop occupés pour avoir envie de me surveiller.
Seul écart de ma part par rapport aux périodes hors vacances, je ne me rase plus et une petite barbe de rebelle mange mon visage habituellement imberbe. Les ouvriers du chantier me trouvent plus abordable et moins distant du coup. Eux aussi ont décidé de ne plus se raser pendant cette période. Ils sont obligés de travailler alors que leurs enfants sont en vacances, comme moi. Mais eux aussi sont mieux au boulot qu'à la maison. Ces hétéros machos ne baisent plus leur femme depuis longtemps, c'est écrit sur leur figure. La grève du rasoir est un acte de rébellion, qui n'a aucune importance, en fait.
Je troque vite ma tenue de chantier pour une tenue passe-partout et je reprends ma voiture. Très vite, je change de route et bifurque vers … la plage naturiste.
Très peu de voitures, nous sommes tout de même fin décembre. La plage est constituée de rochers plats et les habitués ont aménagé des petits blocs de pierres autour de chaque emplacement, pour être à l'abri du vent et … des regards indiscrets. A croire qu'il n'y a pas que des naturistes puristes… Mais mon œil de prédateur en mal de sexe repère très vite les éventuels beaux mecs. J'avance à pas de loup, je fais le tour des emplacements. J'entends chuchoter et à travers 2 blocs de pierres, je découvre un super beau mec entièrement nu, ce qui est normal sur cette plage, en train de se faire sucer une magnifique queue bien raide. Il est allongé sur le dos, les yeux fermés. Il ne me voit pas. Je ne l'ai jamais vu, mais je goûterais bien son outil. Il est taillé comme un dieu et légèrement poilu comme j'aime. Mais d'où sort-il ? Je suis un habitué du lieu et c'est la première fois que je le vois.
Je connais le suceur, nous avons déjà joué souvent ensemble. Il m'a déjà sucé et fait jouir plusieurs fois. Il lève les yeux à mon passage et me fait un clin d'œil. Je le laisse œuvrer à procurer du plaisir au beau mec, qui ne peut s'empêcher de gémir. La jouissance n'est pas loin. Il se croit seul avec son suceur. Le spectacle fait se tendre ma queue, mais par courtoisie, je m'éloigne et je vais m'installer un peu plus loin. Je me déshabille rapidement et je garde ma queue raide. Je commence à manger mon sandwich. C'est tout de même ma pause déjeuner. Je suis allongé au soleil, offert aux regards des éventuels promeneurs. J'aime montrer ma bite, c'est sûrement un vilain défaut, je serai peut-être puni pour ça… ou pas. On ne sait jamais….
Avant même d'avoir fini de manger, je vois arriver devant moi le suceur tout sourire.
- Bonjour, tu vas bien ?
- Bonjour. Oui très bien, comme tu peux le constater.
- Tu es en forme dis donc.
- Le gars que tu as sucé est magnifique, je serais bien venu t'aider à le faire jouir.
- C'est un mec que je suce souvent.
- Bizarre, je ne l'avais jamais vu.
- Il travaille en horaires décalés d'habitude mais là, il travaille en journée. Il est marié mais il aime se faire sucer et se faire enculer. Alors je l'ai sucé.
- Il faudra que je revienne alors. Tu sais quand il repasse ?
- Il doit revenir demain. Mais je peux déjà m'occuper de ta queue aujourd'hui.
- Elle t'attend. Fais-moi jouir.
Et voilà mon suceur à genoux entre mes jambes, ma bite dans sa bouche. Je suis encore très excité par ce que j'ai vu tout à l'heure et je sais que la même bouche avait une superbe queue dans la bouche quelques minutes plus tôt. Je le préviens que je vais jouir, mais il ne veut pas lâcher ma queue. Je ne suis pas long à éjaculer. Mon suceur me nettoie de sa langue. Je suis un peu sonné par ce plaisir rapide.
Je finis mon déjeuner, je me rhabille et je repars au boulot, avec mon air de monsieur tout le monde, victime du système. Pas de chance, je travaille…
Je n'avais pas prévu de revenir sur le chantier le lendemain, mais là, c'est un cas de force majeure. Il faut absolument que je trouve une raison valable… Un outil ou du matériel à apporter. Un plan à mettre à jour, une réunion à programmer. Tout sera bon pour que j'organise une visite. Ce sera une coïncidence bien sûr mais ce sera en fin de matinée…
Le soir, je rentre à la maison, comme d'habitude, après une journée banale. Rien ne transparait de mes émotions du déjeuner. Je suis rôdé à la dissimulation et mon jardin secret ne regarde que moi.
Avant de me coucher, sous la douche, je ne peux m'empêcher de me branler au souvenir de ce corps offert à une gâterie buccale et que je pourrais peut-être goûter le lendemain. Qui sait ? Demain c'est le réveillon. Peut-être que le Père Noël existe tout compte fait …
Le lendemain, je reprends la route du boulot alors que toute la maisonnée est endormie. Je vais durement gagner ma vie et de quoi faire vivre ma famille. Ce qu'il y a de dur, c'est surtout ce qu'il y a dans mon caleçon. J'ai trouvé mon prétexte pour aller sur le chantier, à midi, je franchis le pas et je vais goûter à mon beau mâle, enfin, s'il vient à la plage bien sûr.
Je suis un peu fébrile toute la matinée, mais comme je suis transparent aux yeux de mes collègues, personne ne remarque rien. Tant mieux. A la pause déjeuner, je pars du chantier et je rejoins la plage. Les 2 mêmes voitures sont sur le parking. C'est bon signe.
Je me dirige directement sur l'emplacement des 2 naturistes de la veille, je les salue et commence à me déshabiller. Je salive d'avance, mais il faut y mettre un minimum de formes. Ils sont tranquillement en train de papoter, sans rien laisser paraitre d'une éventuelle envie de plaisir sexuel.
Je sors mon pique-nique et commence à manger. Nous parlons tous les trois et juste au moment où j'allais aborder le sujet qui m'occupe l'esprit, un habitué naturiste arrive et vient nous saluer. On parle de tout et de rien mais surtout pas de sexe. C'est un vrai naturiste, pur et dur, qui fait la chasse aux homos en plus. Si seulement il savait….
Au bout de 10 minutes, il n'a plus aucun sujet de conversation important à passer en revue avec nous. Tous les sujets d'actualité sont épuisés. Oui, il fait beau pour la saison, oui, c'est agréable de pouvoir être nu. Non, on ne peut pas se baigner, l'eau est trop fraiche. Oui, ils ont prévu de la pluie pour la fin de la semaine. Oui, le lieu est très calme. Non, les pervers ne sont pas là, pour déranger la quiétude des vrais naturistes. Ouf, il s'en va. J'ai eu le temps de finir de déjeuner, mais l'heure tourne. Il faut que je retourne au boulot. Je ne peux pas prendre le risque de ne rien faire. Je m'adresse donc à l'objet de mes désirs de façon très directe.
- C'était sympa hier tes petits gémissements pendant que tu te faisais tailler une pipe. J'aimerais bien te procurer le même plaisir aujourd'hui.
- Vas-y, elle est à toi.
Ni une ni deux, je m'approche de l'objet tant convoité, qui commence à prendre du volume et je commence à le sucer. De mes mains, je lui caresse les couilles et titille avec un doigt sa raie. Ses gémissements augmentent de façon prodigieuse. Il écarte les cuisses pour que je puisse enfoncer un doigt, puis 2, tout en inondant sa queue de salive. Ma bite est bien raide aussi, mais je ne tiens pas à éjaculer en me branlant. J'espère mieux. Surtout que son œillet s'ouvre très facilement.
- J'ai très envie de t'enculer.
- Alors vas-y.
- Mais je n'ai pas de capote.
- Moi, j'en ai, dit le suceur devenu spectateur.
Je prends la capote et l'enfile sur ma queue. Mon fantasme sur pattes, se retourne, enduit sa raie de salive et m'offre son cul.
J'y entre très facilement, tout en douceur. D'abord le gland. Léger retrait, puis le gland et le début de ma queue. Léger retrait à nouveau, puis ma bite en entier jusqu'à ce que mes couilles tapent sur ses fesses.
J'accélère mes vas et viens et lui caresse les fesses, les cuisses et le dos. Lui se branle frénétiquement. Il est viril, il est musclé, il est poilu à souhait. Il est superbe. Il sort de mon imagination ? Non, il est très réel. Et savoir que je suis regardé par un mec qui ne participe pas ajoute à mon plaisir.
Je continue à le limer et lui jouit dans sa main. De façon naturelle, son cul se referme et m'éjecte. Il se retourne et s'assoit, nu, la queue encore demie molle et dégoulinante de sperme. Il me plait vraiment ce mec.
- Tu m'as bien rempli le cul, j'ai adoré. Tu me bourres à nouveau quand tu veux. Mais là, je suis vidé.
- Je reviendrai, sois en sûr, mais pour l'instant, j'ai encore les couilles pleines.
Je n'ai pas encore joui. Je retire la capote et mon suceur de la veille se propose de me finir avec sa bouche. Impossible de refuser.
Et pendant que celui qui a déjà joui reprend ses esprits tout en nous regardant, je me vide dans la bouche de mon suceur, en poussant quelques petits cris incontrôlables de plaisir.
Très vite après avoir joui, je me rhabille. Je suis en retard pour le boulot.
- Merci les mecs pour ce moment et … joyeux Noël !
- Merci à toi de m'avoir rempli le cul. Joyeux Noël à toi aussi.
- Je viens d'avoir mon cadeau, avec un peu d'avance….
Sur ces paroles, je reprends ma voiture et retourne au bureau. Personne n'a remarqué mon absence, personne n'a eu besoin de moi. Chacun attend avec impatience la fin de la journée pour rentrer chez soi.
Je ne traine pas à la fin de la journée de boulot. Je rentre à la maison. J'ai 10 personnes à diner pour le réveillon et c'est moi qui cuisine… Je reprends ma vie officielle de père de famille et de mari attentionné. Après tout, c'est Noël.
Erox
erox13000@gmail.com
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