Depuis quelque temps, mon copain régulier a un problème avec le robinet de son évier. À chaque fois qu’il l’ouvre, il y a de l’eau qui coule sous l’évier. Bricoleur comme il est, il a placé une bassine, pour limiter les dégâts, éviter l’inondation systématique et m’a appelé au secours. Je ne suis pas forcément le plus doué pour ce genre que travaux ménagers, mais ça ne me coûte rien d’essayer. Et les problèmes de robinets qui fuient, c’est toujours intéressant à étudier… surtout si je suis à l’origine de la fuite…
Comme à mon habitude, je m’évade de la maison pour l’après-midi, avec ma caisse à outils. Raison officielle, j’ai un pote qui a des problèmes de tuyauterie… Je n’ai même pas besoin d’inventer un bobard, c’est la stricte réalité.
J’arrive chez mon copain, très embêté par son problème de fuite. Impossible d’utiliser la cuisine sans risquer l’inondation.
Inspection des lieux, test du robinet, pas de doute. Accroupi devant l’évier, le constat est simple : ça fuit. Je n’ai pas plusieurs tenues à ma disposition, donc, la seule solution, retirer mes fringues pour ne pas me tremper avant de passer à l’action. Je retire mes chaussures, mes chaussettes, mon pantalon, mon pull et mon t-shirt. Je garde mon caleçon, tout de même, je suis là pour réparer, pas pour jouer…. Je m’allonge donc sur le dos, la tête dans le placard et les mains occupées à desserrer et resserrer les tuyauteries. Mon copain me passe les outils au fur et à mesure. Tu es très appétissant en plombier du dimanche ! Reste tranquille, je crois avoir trouvé la cause. Passe-moi la pince. Je ne distingue que ses pieds et ses mollets poilus. Ma position est inconfortable, mais tout de même excitante. Moi, quasiment à poil allongé par terre et un beau brun poilu au-dessus de moi.
Une idée idiote me traverse l’esprit et je ne peux pas m’empêcher de l’évoquer à voix haute :
— On dirait le fantasme du plombier, qui vient réparer une fuite et qui se met à 4 pattes devant l’évier. Son t-shirt se relève et on distingue sa raie poilue… Évidemment, ce plombier est beau comme un dieu…
— Ouais, sauf que là, le plombier n’est pas forcément beau comme un dieu et je ne vois pas ta raie, ton caleçon gâche le spectacle.
— Moi, pas beau comme un dieu ? Toi, qui ne fais rien avec tes mains, t’as qu’à enlever mon caleçon s’il t’empêche de te rincer l’oeil pendant que je finis de réparer la tuyauterie. Et mon robinet aimerait prendre l’air…
Ni une, ni deux, mon copain s’accroupit et me retire mon caleçon. C’est très agréable de se faire déshabiller par des mains amicales, surtout quand on est dans une position délicate.
Je ne fais rien pour l’aider, si ce n’est me dandiner. Je me retrouve à poil à ses pieds, offert et excité. Il passe sa main sur ma bite et mes couilles, histoire de tester la marchandise. Euh… je n’ai pas encore fini le travail, mais surtout n’hésite pas à continuer. J’aime beaucoup. Il passe ses mains sous mes fesses. Instinctivement, je replis les genoux, jambes écartées, pieds bien à plat, pour lui permettre un meilleur accès. Il a une vue imprenable sur ma rondelle. Il se relève. Dommage, c’est déjà fini ? Je me concentre sur mon boulot de plombier, les fesses toujours bien ouvertes. Aucune pudeur entre nous et ça ne me donne plus de force pour serrer le pas de vis.
Je suis complètement à mon travail, le reste de mon corps est libre d’accès et absolument pas sous mon contrôle. Tout à coup, je sens son pied s’insérer entre mes fesses. C’est original. Je grogne un petit peu pour la forme et il m’enfonce son gros orteil dans le cul, sans aucune autre préparation. Quelle sensation agréable ! Quel plaisir instantané ! Surtout, ne t’arrête pas.
- C’était tentant, je n’ai pas pu me retenir…
Et le voilà en train de fouiller mon intestin avec un plaisir non dissimulé.
- Prends du gel au moins.
- Si je prends du gel, ce n’ai pas mon orteil que je vais te rentrer…
- Chiche !
Il retire son orteil et va chercher du gel. Je suis toujours allongé sur le dos sous son évier. La fuite est colmatée, mais je n’ai aucune envie de bouger.
Il revient et me remplit l’anus de gel. Va-t-il oser une vraie pénétration alors que je suis dans une position particulièrement périlleuse ? Il se met à genoux, j’écarte encore plus les jambes pour lui permettre de s’installer. Quitte à partir en vrille autant aller jusqu’au bout. Il me soulève les fesses et présente son gland gonflé devant ma rondelle. Mes jambes se relèvent d’elles-mêmes et mes pieds ne touchent plus le sol, mais rejoignent ses épaules. Je ne maitrise plus rien. Il commence à me pénétrer en faisant des petits mouvements d’avant en arrière et d’arrière en avant. Progressivement, il avance en moi, jusqu’à ce que ses couilles tapent sur mes fesses. Il l’a fait. Il est allé au bout de son fantasme et du coup au bout mon trou. Je suis complètement à sa merci. Je ne le vois pas, je ne le touche pas. Il prend tout mon poids et me pilonne avec un plaisir féroce non dissimulé. Je lui crie mon plaisir. C’est particulièrement bon ce bourrinage de prostate. Encore quelques allers et retours et il pousse un crie en se vidant dans mon cul. Il se retire, sa queue est encore raide. Il ne va pas s’en tirer à si bon compte. Je sors de mon placard et il m’aide à me relever.
- Alors, tu as aimé ? me dit-il avec un petit sourire de vainqueur.
- Oui, mais il est hors de question d’en rester là. Ta queue est raide, la mienne aussi, il y a moyen de se faire plaisir.
Je l’attrape par la main et l’entraine sur son canapé. Il s’assoit et écarte les jambes. Je monte les 2 pieds sur le divan, face à lui et m’accroupis de façon à m’empaler ses 18cm jusqu’au fond.
- Je ne vais pas pouvoir jouir à nouveau.
- Je m’en fous, tu es là pour mon cul, pas pour jouir. Et maintenant, fais-moi jouir.
Il m’enduit le gland de gel et commence à me branler pendant que je le branle avec mon cul. J’adore sentir sa queue ressortir quasiment jusqu’au gland et rentrer à nouveau. Ses doigts, accolés comme les anneaux d’un anus artificiel, coulissent sur mon chibre. Je monte et je descends sur son pieu. Ça pourrait durer longtemps, mais je ne peux pas me retenir et j’éjacule dans sa main, plusieurs jets de sperme, qui viennent s’écraser sur son torse poilu. Il ne lâche pas mon gland pour autant. Mon cul s’est naturellement contracté et enserre sa queue toujours raide. Un vrai gode de chair gorgé de sang. Il est temps de sortir de mon fondement. Sa queue parcourt mon sphincter en me déclenchant des décharges de plaisir. Il poursuit sa purge, même lorsque mon gland devient hypersensible. Je pousse des petits cris qui nous font rire. Il finit par me lâcher.
Direction la douche. Je me savonne bien la queue, le ventre et surtout l’anus, pour bien faire partir les coulures de sperme. J’ai pris un grand pied. Je me rhabille. Je range ma caisse à outils et me prépare pour partir. Tout service mérite salaire. Un robinet qui ne fuit plus contre deux robinets purgés. Le compte est bon.
Je reprends ma voiture, je rentre à la maison et retrouve ma vie officielle.
Erox
erox13000@gmail.com
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