Premier épisode
La rencontre
On se souvient que j’avais vu dans une cabane dans la campagne un beau jeune garçon s’excitant sur une photo.
Un mois plus tard, je me promène dans une petite rue, j’aperçois le garçon qui vient à ma rencontre.
Je lui dis bonjour bien que je ne le connaisse pas vraiment :
Je l’avais simplement vu en train de s’exciter dans la cabane sur la photo d’un garçon, mais si le voir m’excitait et si je m’étais branlé, je n’étais pas entré dans la cabane.
Il me répond bonjour, de le revoir, son souvenir me revient, je le revois se faire jouir, à cette pensée je bande dans mon jean.
J’entame la conversation :
– Je t’ai vu l’autre jour dans la cabane…
– Ah ?
– Tu regardais une photo…
– Quelle photo ?
– Celle d’un garçon qui semblait t’exciter
Le garçon rougit :
– Ah ? Tu m’as vu ?
– Oui, tu te branlais, ça m’excitait et depuis j’y pense souvent !
– Et… tu te branles en pensant à moi !...J’aimerais voir ça !
– Facile, c’est quand tu veux !
Le garçon me regarde avec des yeux vicieux sous ses cheveux noirs, il est splendide avec son visage bronzé, il me répond :
– j’habite pas loin, et je suis seul en ce moment, on y va ?
On pourrait remettre ça !
Je ris : – Ça t’excite ?
– Oui, pas toi ? J’ai toujours envie…
D’un commun accord nous nous retrouvons dans sa chambre en bandant dans nos jeans qui se tendent.
Il se cambre, montrant la raideur le long de sa cuisse du tissu de son jean, s’approche de moi, m’enlace, je sens sa bite raide contre ma cuisse, il approche ses lèvres des miennes et m’embrasse fougueusement, je sens sur ma cuisse sa bite se raidir, la mienne est dure depuis un bon moment !
Collés l’un à l’autre il murmure :
– C’est bon !
Et me poussant vers son lit :
– Viens !
Je m’assieds près de lui sur le lit, il va prendre dans le tiroir de sa table de nuit une revue gay, il en tire une photo, celle que j’avais vue dans la cabane, il me dit :
– c’est la photo que je préfère pour m’exciter, je me branle tous les jours en la regardant.
– Tu te branles, mais tu ne l’as jamais fait avec un autre garçon ? Quel âge as-tu ? Il serait temps que tu le fasses avec quelqu’un !
– Je n’ai pas encore trouvé un garçon qui aime ça ! Je vais avoir dix-neuf ans.
Il se lève, ôte son jean, sa bite tend son petit slip, cela me fait bander.
– Ça t’excite hein ! Dit-il. Enlève ton jean, je vois bien que je t’excite !
Pendant que j’enlève mon jean, il ôte son petit slip, se bite se dresse, et en regardant la photo, il saisit sa bite qui durcit et s’allonge, ses doigts vont et viennent, il me sourit en accélérant sa masturbation, et il dit :
– Fais comme moi, c’est drôlement bon !
Je me dis qu’il va se faire jouir devant moi alors que je veux branler moi-même sa bite. Je lui dis :
– Arrête ! Tu vas jouir trop vite ! Fais durer, c’est meilleur !
En soupirant, il arrête sa main juste à temps et saisit ma bite en feu.
Il murmure en me branlant :
– Tu es un vicieux, j’allais juter ! j’vais te faire jouir, moi !
Et il m’embrasse délicieusement, sa langue chaude mêlée à la mienne, il me rend fou ! son corps frémit contre mon corps, c’est terriblement bon.
Ma main va et vient rapidement sur sa belle bite raide, il transpire, je respire son odeur de jeune mâle en rut, il va me faire juter, qu’est-ce que c’est bon !
Tout en me branlant fougueusement, il se cambre, reprend sa bite qu’il dirige vers mon visage.
Il branle sa bite à deux mains de plus en plus vite en haletant :
– H !...H !...JE… JE VAIS… H !...AAAAAAH !
Crie-t-il en jouissant à longs jets puissants sur mes lèvres, il pousse son gland dans ma bouche en se soulageant encore, j’avale son sperme de jeune gars, dans ses yeux vicieux je vois qu’il adore ça !
Je jute dans ses doigts qui vont en viennent sur mon épieu à fond la caisse.
Mon sperme gicle encore et encore, il sourit satisfait en disant :
– Qu’est-ce que t’as juté !
– Toi aussi !
Son corps agité de spasmes délicieux se colle contre mon corps, nous sommes enduits de sperme et de sueur, il murmure :
– Qu’est-ce que c’est bon de jouir avec toi !
Nous nous détendons parmi les photos jetées par terre avec nos jeans et nos slips, le cœur battant il dit :
– T’as bien fait de me regarder dans la cabane, sans quoi on ne se connaîtrait pas !
On y retournera ensemble un de ces jours, j’ai très envie, et toi ?
– Devine !
Dis-je en l’enlaçant.
– Tu me fais encore bander ! Dit-il en souriant.
Frank
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