Eric, un beau garçon d'à peine dix neuf ans aux cheveux châtains bouclés, aux lèvres sensuelles dans un visage bronzé est très attiré par son copain Arnaud, un blond cendré à la peau mate et au regard rieur et vicieux pense Eric, ils sont du même âge et Eric désire son copain depuis longtemps au point de souvent bander dur en pensant à lui et de saisir son jouet dans son poing qui va et vient en pensant qu'il va jouir sur le corps d'Arnaud mais ses jets ne s'écrasent que sur ses draps car il ignore si son copain aimerait ça, ce doute l'entraîne à se branler de plus en plus fougueusement jusqu'à enduire de son sperme. Ses draps et son ventre.
Par un après midi d'été, nos deux copains décident d'aller eu cinéma, Eric se dit qu'il va profiter de l'occasion, Arnaud ne se doute de rien, il porte un short en tissu léger beige, le film commence mais Eric ne regarde que le short de son voisin dont deux boutons de la braguette sont détachés. N'y tenant plus, Eric pose la main sur la cuisse nue de son voisin, qui, doucement, retire cette main indiscrète et la remet sur l'accoudoir. Déçu, Eric a trop envie, cette fois il glisse ses doigts dans la braguette de son voisin qui étonnamment ne réagit pas ! Ses doigts atteignent le sexe chaud d'Arnaud qui lentement commence à grossir sous cette légère caresse, les doigts d'Eric commencent à aller et venir sur cette hampe qui durcit, durcit au point d'atteindre la consistance de l'acier ! A ce contact, la barre d'Eric durcit et s'allonge aussi dans son jean, Arnaud pousse des petits soupirs de plaisir sous les doigts d'Eric qui accélèrent leur va et vient,- J'vais t'faire juter ! murmure Eric qui branle son copain à fond la caisse, Arnaud halète discrètement, son corps se tend et se soulève brusquement du fauteuil tandis qu'il jouit sur les doigts d'Eric qui bande à mort et retire sa main enduite du sperme de son copain. Le film terminé qu'il n'a pas regardé, il dit à Arnaud-Attends moi dehors, je dois aller à la toilette...le jean tendu il va se finir à la toilette du cinéma, la pensée d'Arnaud qu'il a fait jouir, sa bite raide, son jus sur ses doigts, oui, Eric est déchaîné, il se finit à toute vitesse dans des spasmes délicieux, puis , le coeur battant il rejoint son copain dans la rue. Ils n'évoquent pas ce qui vient de se passer mais une nouvelle chaleur s'est établie entre eux.
Un soir, Arnaud propose :-Dis, il y a un bon film ce soir, si on allait au cinéma ? -Ok fait Eric qui bande déjà dans son jean. Avant d'entrer dans la salle, Arnaud qui a une idée derrière la tête dit :-Je vais d'abord à la toilette. Pas dupe Eric l'accompagne. Entrant dans une cabine, Arnaud laisse la porte ouverte comme une invite, Eric rejoint son copain qui cette fois ferme la porte soigneusement et debout face à Eric plante dans les yeux de son copain son regard vicieux en lui tendant ses lèvres humides. Brusquement, il plaque sa main sur l'entre jambes d'Eric qui bande dur depuis un moment -Tu aimes ? Murmure Arnaud, ah oui ! Je sens que tu bandes à fond ! N'y tenant plus, Eric ouvre la braguette du copain, debout ils se serrent l'un contre l'autre dans l'étroite cabine, joignent leurs lèvres gourmandes en un baiser profond qui fait se raidir leurs barres qu'ils serrent dans leurs mains. Jeans largement ouverts, slips sur leurs cuisses frémissantes, en riant ils s'amusent à rapprocher leurs flèches jusqu'à ce que leurs glands se rencontrent et se frottent l'un sur l'autre, leurs épieux durcissent comme jamais se dressant le long de leurs ventres crispés, le contact de leurs glands est un délice dont ils ne se lassent pas ! Eric saisit dans son poing leurs deux épieux brûlants, le poing commence ses va et vient, leurs glands se frictionnent l'un sur l'autre, ils sont fous de lubricité, ils gémissent et halètent le poing d'Eric va et vient maintenant à toute vitesse et Arnaud, la bite en feu, murmure :-Ouh, que... que c'est booon ! Je...vais... Bouche contre bouche, ils transpirent, frémissent, ils sentent dans leurs hampes accolées monter leur sperme, ça monte, monte, c'est le point de non retour et le poing d'Eric accélère encore et dans un choc de tout leurs corps -OUH ! AAH ! Jaillissent en même temps leurs jets encore et encore qui éclaboussent leurs chemises leurs mains et leurs jeans. Encore tremblants ils ferments leurs jeans et rouges de luxure, sortent de la cabine pour tout de même aller voir le film.
Eric et Arnaud prennent l'habitude à toute occasion de s'isoler dans les toilettes d'un café, d'un restaurant, d'un cinéma, de la gare...pour s'adonner ensemble à cette jouissance, mais bientôt cela ne suffit plus à Arnaud. Un après midi, il dit à son copain :-Je suis seul ce soir, tu ne viendrais pas chez moi ? -Ok, fait Eric, qui en bande déjà.
Le soir, Arnaud attend Eric sur un fauteuil, il s'inquiète : jusqu'à présent nous l'avons fait tout habillés, il va me voir complètement nu ! Vais-je lui plaire ? L'exciter ? Il rêve du corps d'Eric et son jean se tend, Oh, Eric va me faire jouir...Arnaud bande à mort dans son jean, il n'en peut plus, il finit par ouvrir sa braguette et sort son épieu qui s'allonge et durcit en pensant à Eric, Mmmm, que ça va être bon ! L'attente est délicieuse mais il pense :- Viens vite Eric, Je vais me faire jouir tout seul si ça continue ! Il saisit sa flèche dans son poing, la serre, son poing monte, descend, dégage son gland qui commence à suinter, Ah ! Eric ! Je vais juter ! Viens viiite !
Enfin, la sonnette de l'entrée retentit, Ouf ! pense Arnaud qui remet difficilement son engin ardent dans son jean.
Il sourit à Eric de ses lèvres humides encore tremblantes de son plaisir interrompu et d'une voit rauque tant il est excité il éructe :-TU BANDES ? En plaquant sa main sur l'entre jambes de son copain qui, en effet, bande dur ! Ils vont dans la chambre et, comme d'habitude, mêlent leurs langues chaudes, détachent jeans et slips qui tombent sur leurs cuisses, ils ôtent leurs chemises et apparaissent nus et splendides ! Ils s'admirent pour la première fois, Arnaud caresse les cuisses de son copain qui n'est pas en reste caressant le torse imberbe de l'autre, ils s'enlacent, se serrent l'un contre l'autre, en contemplant leurs bites dressées entre leurs ventres ils deviennent lubriques et respirent vicieusement leur odeur de jeunes garçons en rut.
Ils se jettent sur le lit, se débarrassent rapidement de leurs derniers vêtements tombés sur leurs chevilles, Eric s'étend sur Arnaud, l'embrasse dans le cou en respirant encore son odeur enivrante de jeune garçon prêt à jouir, la bite raide d'Eric masse celle en feu d'Arnaud qui clame :-AH ! QUE C'EST BON ! Le contact de leurs glands les fait gémir de plaisir, ils halètent : H !...H !...ARRETE !...NON CONTINUE ! OUIIII ! Ils sont torrides mais essaient de faire durer ce moment formidable, leur excitation est à son comble quand Eric approche ses lèvres gourmandes du gland du copain, qu'il introduit lentement dans sa bouche, -AH ! crie Arnaud qui d'un coup de reins enfonce sa hampe en feu jusqu'à la garde dans la gorge d'Eric. Arnaud se cambre, son bassin monte et descend de plus en plus vite pour faire entrer et sortir, entrer, sortir et exciter plus encore son épieu brûlant dans la bouche du copain, Eric Branle sa bite dure comme acier en suçant celle d'Arnaud qui devient énorme, son jeune sang afflue pour durcir plus encore cette barre de plaisir. Arnaud tremble, palpite, se tord de plaisir et dans une secousse de tout son corps cambré...-AHHHH !...JE...JE JUUUTE ! Un énorme jet chaud jaillit dans la gorge d'Eric qui avale le jus de son amant, il se dresse à califourchon sur le torse en sueur de son copain et tend sa flèche devant la bouche d'Arnaud qui contemple cette bite de ses yeux vicieux, ses lèvres engouffrent le gland puis la hampe d'Eric qui pousse un hurlement lubrique :-AH ! AR...NAUD ! C'EST TROP BON JE JUTE ! Un déferlement de sperme gicle dans la bouche et sur le visage en sueur d'Arnaud, Eric s'abat sur son copain dans l'odeur de sperme et de sueur dont ils sont enduits, Leurs torses brillent, huilés par ce mélange érotique, ils vont mettre longtemps pour calmer leurs coeurs qui battent la chamade, ils se regardent, c'est tellement bon qu'ils se promettent de remettre ça très vite ! En attendant, ils vont se faire jouir ce soir en y pensant !
Frank
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