Lors d'une bagarre la semaine dernière, les jeunes François et Daniel qui venaient de fêter leurs dix huit ans, se sont battus avec Eric, un voyou de dix neuf ans, blond à la peau mate que Daniel trouvait assez bandant ! Bien qu'il ait récolté ce soir là un oeil au beurre noir !
Ils ont décidé de se venger et l'occasion se présente dans cette rue déserte entourée d'entrepôts inoccupés.
Dans un entrepôt : une vieille table en bois, quelques chaises défoncées et une armoire contenant des documents secrets que les garçons du quartier consultent souvent quand ils viennent dans l'entrepôt : on a vu l'un d'eux ouvrir l'armoire, sortir la pile de documents représentant des photos couleurs de filles nues et de jeunes garçons montrant une bite appétissante.
L'un de ces jeunes garçons en feuilletant les pages pour la plupart tachées de précédentes éjaculations, a détaché sa braguette et en a sorti sa bite en train de durcir, il s'est assis sur une chaise et contemplant la fille la plus sexy, il a fait aller et venir sa main sur sa flèche à présent bien dure, puis est venu le tour de la photo d'un jeune garçon en train de se branler , il était tellement excité que bientôt, n'en pouvant plus, il accéléra le mouvement et jouit à grands jets sur la photo.
Mais revenons à la vengeance des deux copains : Suivant le jeune voyou, Ils le rattrapent et se jettent sur lui, Daniel lui tient les mains derrière le dos et, son visage dans le cou du voyou il le mord sauvagement éprouvent, ce faisant, une vraie jouissance à sentir sous ses dents cette chair à l'odeur de jeune mâle qui le fait bander.
Son copain François contemple la scène avec l'envie de mordre à son tour cet Eric bien bandant qui crie sous les morsures de Daniel " AIE-VOUS ETES FOUS ! " François super excité, se jette sur Eric et bandant dur dans son short en jean.
Ensemble les deux copains saisissent le voyou et l'étendent sur la table, trouvant des cordes, ils attachent ses mains et ses pieds si bien que le voyou se trouve écartelé, bras et jambes écartés sur la table. Les deux copains contemplent leur victime se débattant inutilement, vêtu d'une chemise déchirée et d'un léger short beige défraîchi. Cela fait bander dur François comme Daniel qui regardent ce beau corps s'agitant pour tenter de se libérer !
-Tu bandes ? demande François en regardant le short de son copain.
-Ouais ! Et dur ! Regarde !
Et ouvrant son short, Daniel en sort sa bite raide sous le regard du voyou qui murmure entre ses dents:-Salauds !
A son tour, François ouvre sa braguette et prenant la main de son copain, la fourre dans son short.-Ah oui ! la tienne est bien dure aussi ! Constate Daniel don la main commence à aller et venir sur la barre de Daniel qui murmure :-Oui, c'est bon ! Vas y, fais moi jouir !
Le voyou ne les quitte pas des yeux et entre ses dents murmure :- Sales pédés, vicieux !
-Ouais, rétorque Daniel en riant, mais on aime ça !
Et se tournant vers Eric le voyou, Daniel fait à François :-Regarde son short, t'as vu ? Il bande ! Et s'adressant au voyou :-eh ! Tu bandes en nous regardant, ça t'excite hein ! -NON ! Je bande pas ! -OH SI !
Le long de la jambe du voyou, le tissu léger se soulève sous la poussée d'une barre imposante qui attire immanquablement nos deux comparses qui lachent leurs bites pour tâter cette barres chaude qui durcit à travers le tissu! - FOUTEZ-MOI LA PAIX ! Crie Eric qui bande de plus belle sous les mains de François et de Daniel.
François retrousse la jambe du léger short laissant apparaître un énorme gland qui rougit sons l'afflux de sang. -Mmmm, fait François, qu'est ce qu'on va te faire juter sale voyou ! Et en ôtant son petit short, il fait aller et venir sa main sur sa flèche raide et disant :-Je vais me faire jouir ! Ca va être bon ! Daniel qui bande comme un cerf ouvre en le déchirant le léger short d'Eric qui hurle :-NON ! PAS CA ! -Oh SI ! Avoue que tu en as envie !
Les deux copains admirent cette énorme barre de vingt centimètres dure, épaisse, aux veines saillantes qui s'arque en arrière tant elle durcit encore ! Ils déchirent la chemise d'Eric et admirent son torse imberbe couvert de sueur, les deux copains grimpent sur la table et, short sur les chevilles, complètement nu, Daniel enjambe le torse de sa victime et présente sa bite raide devant son visage. Derrière lui, François caresse des deux mains les cuisses bronzées de son copain, remonte vers sa bite qu'il branle lentement -Vas y, fait Daniel, plus vite ! Fais moi juter saur sa gueule !
Le voyou bande à mort et halète :-Sa...Salauds ! François branle de plus en plus vite Daniel qui gémit de plaisir. Le jet puissant de Daniel gicle sur la bouche du voyou, Eric ne peut qu'y passer la langue et goûter le sperme odorant de Daniel encore agité de spasmes délicieux. En même temps, François sa cambre et lance à son tour un grand jet sur le dos de son copain. Brusquement le voyou n'en peut plus et crie :- FINISSEZ MOI ! BRANLEZ MOI A FOND ! Et plus bas :- J'suis excité à mort ! J'EN PEUX PLUS ! Il s'agite, se cambre, donne des coups de reins dans l'espoir qu'une main secourable branle sa bite en feu dure comme jamais ! - MERDE ! FAITES-MOI JUTER !
Daniel :-On y va ? -Ouais, à fond ! Et Daniel saisit à pleines mains le barre énorme d'Eric, bientôt rejoint par la main de François qui vicieusement lèche la base de ce gland humide sur le point de juter, provoquant un cri d'Eric :-AH ! C'EST...C'EST TROP...BON ! CON...H ! ...CONTINUE! Léchant tour à tour le gland gonflé du voyou, les deux copains se branlent encore d'une main et halètent de plaisir, -Suce le plus fort, je vais le branler à fond la caisse, il va jouir ! En effet, Eric gémit et halète de plus en plus rapidement :-H !...H !... OUH QUE C'EST BON !...H !...H ! Un jet, puis deux, puis un troisième d'une énorme puissance éclabousse les visages des deux copains penchés vers lui, ravis, qui jutent en même temps en goûtant le jus chaud de voyou !
Le coeur battant, tous trois se détendent enfin, couverts de sueur et de sperme, Ils détachent le voyou qui leur avoue : -C'était bon, j'ai jamais joui autant ! ...Dites, on se reverra, il faut remettre ça ! - Quand tu veux ! Et ils sortent, titubants de l'entrepôt en se promettant d'autres plaisirs demain ou même avant !
Frank
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