Eric a vingt ans et se réveille tous les matins avec un bâton dur entre les cuisses, cela dure depuis plus de cinq ans, il s'est très vite aperçu que cet engin lui procure énormément de plaisir lorsque sa main mont et descend le long de ce bâton, de plus, lorsque le plaisir est à son comble, il en sort un liquide blanc qui, il y a quelques années, l'étonnait et l'inquiétait. Il a vite appris de quoi il s'agit et son plaisir n'en est que plus intense.
Il est fier de cette virilité qu'il contemple chaque matin lorsque sa main monte et descend le long de son bâton long et raide, il admire son gland qu'il recouvre et dégage en rythme de plus en plus rapide en pensant à...Oui, depuis toujours il pense à un copain quand il se masturbe, principalement à Jean Claude, qui a dix neuf ans et pour qui il bande, il imagine que c'est la main de Jean Claude qui monte et descend sur son bâton qui durcit encore à cette pensée, il aimerait que son copain suce son gland, ce doit être une jouissance intense, il a bien essayé de se sucer lui-même, mais ils n'est pas assez souple.
Eric, beau garçon de vingt ans aux cheveux châtains qui retombent sur son front et ses yeux noirs, cambre les reins en pensant à Jean Claude, ce garçon aux cheveux noirs et aux yeux verts dans un visage bronzé, ce garçon le plus bandant qu'il connaisse ! Eric branle sa bite en haletant :-H !...OOOH....H !... JEAN CLAUDE ! Et comme chaque matin :-H !...JEAN...CLAUDE !...C'EST...C'EST BOOON ! Plusieurs jets de sperme giclent de son gland et s'écrasent sur ses draps.
Il se demande si Jean Claude aimerait branler son bâton...Il aime peut être aussi les garçons ? Il est tellement excité qu'il décide de le savoir un de ces jours.
Ce jour là, Eric rencontre Jean Claude, en le voyant il bande dur dans son jean, pourvu que le copain ne le remarque pas ! La conversation commence d'une façon très banale jusqu'à ce qu'Eric mette une main sur l'épaule de jean Claude en lui disant :-Tu sais, je t'aime bien ! Jean Claude le regarde en souriant
-Ben, moi aussi ! Parfois je pense à toi...
En veine de confidences, Eric murmure :-Moi, je pense à toi chaque matin !
-Ah oui ? Répond Jean Claude, Moi tous les matins je m'éveille avec une bite dure comme fer !
-Ah ! Toi aussi ! Et tu te branles ?
-Tu parles ! Mes draps son remplis de jus !
Le coeur battant, Eric avoue :-Mes draps son pleins de jus aussi ! Je me branle en pensant...
-A qui ? Demande Jean Claude
En rougissant, Eric murmure :-A...A Toi !
Jean Claude à ces mots le regarde en souriant :-Génial ! J'adore branler ma bite, souvent en pensant à toi aussi ! Et il ajoute, le regard vicieux :-Ben alors, on peut le faire ensemble ! Viens chez moi, regarde : je bande ! Et cambrant les reins, Jean Claude met la main sur sa braguette en disant :-Tu vois ? Tu me fais bander ! On y va !
Eric n'en croit pas ses oreilles, Jean Claude lui propose d'aller chez lui pour se branler avec lui ! Il bande à mort en entrant dans la chambre de Jean Claude.
Jean Claude le regarde avec des yeux vicieux :-Alors, on se fait jouir ensemble ? Tu bandes, enlève ton jean. Ce disant, Jean Claude détache sa ceinture, son jean descend sur ses chevilles et il montre fièrement sa bite qui se dresse :-Tu vois ? Elle est bien dure ! Et la tienne ? Et détachant la ceinture d'Eric, il sort sa barre en disant :-Oh, qu'est ce qu'elle est dure ! Et chaude ! C'est moi qui te fais cet effet là ?
-A ton avis !
Eric :-T'est terriblement bandant et beau ! J'ai toujours envie de toi !
-Moi aussi, j'ai envie ! T'as vu ma bite ? Viens, branle-moi !
Le coeur battant Eric embrasse les lèvres de Jean Claude en saisissant sa barre qui raidit encore à ce contact il pousse Jean Claude sur le lit en disant :-Qu'est ce que t'est beau à poil ! Oh, que je vais te branler, te faire jouir, j'vais t'faire juter comme jamais, mon salaud !
-Oh oui ! Fait Jean Claude en branlant le bâton d'Eric à toute vitesse, tu vas juter comme jamais, je te le dis !
Bouche contre bouche, leurs langues chaudes se mêlent dans leurs halètements, ils n'en peuvent plus de plaisir, ils crient ensemble :-H !...OUH !...C'EST BOOOON !....H !...J'ADORE TA BITE !....TU VAS JUTER, SALE VICIEUX !
-OH OUI ! Répond en haletant Eric, NOUS SOMMES DES VICIEUX TOUS LES DEUX ET C'EST BOOON ! H !...J'VAIS SUCER TON GLAND !
Et Eric pose les lèvres sur le gland de Jean Claude qui gémit de volupté :-HOU ! MON SALAUD ! QUE C'EST BON ! C...CONTINUE !
Sucer Jean Claude, le rêve ! Se dit Eric don la bouche s'active autour de la belle bite raide de son copain qui fait :-H !...JE...VAIS...AH ! JE VIENNNS ! Plusieurs jets puissants de sperme giclent dans la gorge d'Eric, enchanté qui avale avec délice.
Encore agité de spasmes, Jean Claude fait :-Tu veux que je te fasse la même chose ?
-Oh Oui !T'es un vrai cochon, toi ! Jaime ça ! Répond Eric qui bande de plus en plus dur. Jean Claude suce la barre d'Eric avec art, Eric n'en peut plus, il sent monter son sperme, il crie :-Tu suces comme un dieu, sale vicieux ! H !....JE ....H !...OUIIII ! JE JUUUTE !...A...AVALE ! VAURIEN QUE TU ES MON JEAN CLAUDE !
Ils s'embrassent en transpiration, leurs spermes dégoulinant de leurs lèvres. Jean Claude dit :-C'était bon, non ?
-Tu parles ! Tout ce sperme sur ta bouche, c'est vachement dégoutant ! Terriblement obscène t'est un galopin vicelard ! J'adore ! J'en reviens pas comme c'est bon avec toi !
-Oui, fait Jean Claude, d'une voix lascive, mais regarde, je bande de nouveau, branle moi encore !
-T'es insatiable, toi ! Dit Eric en saisissant la bite encore dure de Jean Claude qui dit :- Vas -y à fond ! OUIII !...C'EST TROP BON, FAIS DURER ! H !...PLUS VIITE ! AH TU BRANLES SUPER BIEN ! H !...OUI !....JE VIENNNS ! Un jet, deux jets, trois jets jaillissent, Jean Claude n'en fini pas de jouir !
Et il est très beau quand il jouit avec son visage en sueur et ses yeux vicieux, cela fait encore bander Eric qui dit :-Tu es terrible, regarde, tu me fais encore bander !
Et debout l'un contre l'autre, enlacés, bouche contre bouche, ils tiennent dans leurs poings qui vont et viennent sur leurs épieux brûlants jusqu'à ce que dans un cri, ils jouissent encore et encore ! Leurs corps sont couverts de sperme et de sueur mais ils sont heureux ! Débauchés ,leurs corps agités de spasmes mais heureux !
Frank
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