J'avais dix-neuf ans et un copain d'école que je connaissais depuis un an : François, beau garçon sympathique de mon âge. Souvent se porte était ouverte, j'allais chez lui sans m'annoncer. Cet après-midi, je monte chez lui comme souvent, j'entends à travers la porte de sa chambre des murmures et des soupirs, ah, il est avec sa petite amie, me dis je, en effet j'entends maintenant des murmures : - C'est bon ! ... h !...Oh Ouiii !
Je tombe mal, il prend son pied, me dis-je en repartant assez excité, je reviendrai ce soir.
Je flâne devant la porte de son immeuble lorsque je vois sortir UN GARCON ! Je ne le savais pas gay ! Je contemple le garçon qui s'en va, il est beau, il a de la chance, François.
Je bande en pensant aux murmures que j'ai entendus.
En soirée, j'y retourne, aucun bruit dans sa chambre, il n'est pas là, j'entre, je vais l'attendre. Je regarde son lit, ses draps sont couverts d'une énorme quantité de sperme, ces deux-là ont joui et éjaculé tout l'après-midi ! Je les envie et je respire ce drap, j'ouvre la braguette de mon jean, sors ma bite dure, Je suis excité en les imaginant, j'ai une énorme envie de me branler, je lèche ce drap dégoulinant de leur plaisir dont l'odeur m'excite plus encore et, serre ma hampe, j'enduis mon gland de leur sperme, ma main va et vient, je vais juter dans leur sperme accumulé.
C'est à cet instant que François rentre dans sa chambre et... me surprend à branler mon épieu sur ses draps ! Il rit : - Ah ! Tu t'excites sur mon lit ! Et s'approchent de moi entourant les épaules : - Oui, Je suis parti, pas eu le temps de changer mes draps, c'est ça qui t'excite ?
- Ben oui ! Je ne savais pas que tu aimais les garçons !
- Et toi ? À te voir bander en regardant mes draps, tu es comme moi, non ?
À ces mots, il saisit ma bite en disant : - Je vais t'aider !
Excité à mort, je lui ouvre la braguette, il rit : - Oui ! Sors ma bite, sens comme elle est dure ! Déshabille-toi, on va se faire jouir ensemble !
En moins de mots qu'il en faut pour le dire, nous nous retrouvons à poil en contemplant nous bites dressées, raides dans les draps pleins de sperme !
Nous nous enlaçons, je lui dis : - C'est ça que tu faisais avec ton copain tout à l'heure
- Oui, on a juté sans arrêt ! On va faire la même chose, tu vas voir, c'est bon ! Embrasse-moi !
Bouche contre bouche, je lui demande : - Que faisiez-vous cet après-midi ?
- Je l'ai branlé doucement, et quand il a commencé à haleter, j'ai accéléré, il gémissait " c'est bon ! Plus vite ! " En même temps, il branlait ma bite, j'étais sur le point de juter, alors j'ai sucé sa bite, il n'en pouvait plus, il gémissait de plaisir, il disait " Je vais juter, arrête ! " Mais ne n'arrêtais pas et il a joui des grands jets dans ma bouche et sur les draps ! En y pensant, j'ai encore envie de jouir !
Excité plus encore, je le branle vigoureusement, il fait : - Arrête, plus lentement, pas tout de suite !
Je lâche sa bite dressée, il murmure : - tout à l'heure, avec mon copain, je l'ai fait jouir à fond, il gémissait, tremblait et il se cambrait, il a jute dans un choc de son corps, fais-moi la même chose ; prends ma bite, elle est dure comme jamais !
En disant cela, il me branle vigoureusement, tandis que mon, poing va et vient rapidement sur sa hampe, il murmure : -Je vais... H... venir !...OH ! JE VIENNS !
Le corps tendu, il est agité de petites secousses, puis une énorme secousse et de son gland giclent un, deux trois, quatre jets de sperme qui m'éclaboussent, cela n'e, finit pas !
Il fait : - Je suis super excité aujourd'hui ! T'as vu mes draps ? Avec mon copain j'ai juté des litres !
Il accélère ses allées venues et je jouis, lançant plusieurs jets dans ses doigts, c'est délicieux.
Frank
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