Tous les garçons aiment se faire jouir.
J’en ai connu qui se branlaient partout où c’était possible :
Jean Claude un beau jeune blond, à l’école pendant le cours n’écoutait pas le professeur, il pensait à tout autre chose, j’étais assis derrière lui et je le vois mettre une main dans la poche de son pantalon, je vois s’agiter sa main dans sa poche de plus en plus vite, soudain il se soulève de sa chaise et dans un spasme il sursaute, il retire sa main de sa poche, prend son mouchoir et essuie le sperme qui enduit sa main. En voyant cette scène, je bandais dur dans mon jean. Cette histoire est authentique lorsque j’étais jeune à l’école.
Dans une école supérieure, Mike, un garçon brun et au regard vicieux abandonne l’auditoire pour se réfugier dans les toilettes, curieux, je le suis et je m’enferme dans la cabine voisine dont je savais que la vieille cloison de bois et percée de trous
J’y colle mon regard et je vois Mike assis sur le pot pantalon sur les cuisses, en train de caresser sa belle bite raide, sa main va et vient, je l’entends soupirer de plaisir, En le regardant j’ouvre mon jean et je sors ma bite, il me fait bander et je me branle comme lui dont la main accélère, je l’entends haleter, sa bite durcit plus encore, il tombe à genoux devant le pot et plusieurs jets jaillissent de son gland et éclaboussent les murs de bois. Je me retiens de juter, j’ai une autre idée, il sort de sa cabine et quitte le local, J’entre dans la sienne, le mur dégouline de sperme comme je m’y attendais, je bande comme un fou pour ce beau garçon, avec un doigt je prélève son sperme sur le mur et je le mets sur mon gland, puis je me branle délicieusement jusqu’à juter sur le mur moi aussi. C’est encore une histoire authentique de ma jeunesse.
J’ai connu un copain de dix-neuf ans, Jean Pierre que j’invitais parfois chez moi, il avait un visage sympathique plein de taches de rousseur, le soir il dormait dans la chambre voisine de la mienne dont la porte ouverte communiquait avec ma chambre.
Nous nous souhaitons bonne nuit.je l’entends respirer, se retourner, puis le silence. Peu après, dans le silence, je l’entends se retourner à nouveau et éloigner son drap que j’entends tomber sur le sol, que fait-il ? J’écoute attentivement, il soupire et aussitôt, je l’entends qui halète, oui, il se branle ! En l’entendant je bande et je me branle aussi.il pousse un petit cri quand il jouit, J’aurais voulu le faire jouir moi-même je l’ai toujours trouvé bandant, pour me soulager je me branle à toute vitesse et j’éjacule à grands jets sur mes draps.
Le lendemain pendant qu’il déjeune, je vais examiner son lit, ses draps sont couverts de sperme, je respire le jus du copain en bandant, je le rejoins et rien ne se passe dans la journée, mais le soir…
Nous nous souhaitons bonne nuit, nous nous couchons et comme hier, je bande en l’entendant haleter en se branlant. Mais cette fois, je me lève, entre discrètement dans sa chambre et le surprends en train de se branler dans la pénombre, il m’aperçoit et s’arrête en essayant de se recouvrir, mais sa bite raide continue à pointer vers le plafond,
Je murmure à son oreille :
– Tu te branles ?
Et je caresse ses cuisses, il pousse un petit soupir, je bande dur en mettant ma main sur sa bite raide, il ne proteste pas quand je lui dis en caressant sa bite :
– Je vais t’aider !
Je m’étends près de lui en empoignant sa bite, il saisit alors ma bite bien raide et sa main va et vient doucement. Il me branle et je bande très dur, je ne résiste pas, je l’embrasse, je mêle ma langue à la sienne, il répond fougueusement, il dit :
– Fais-moi jouir, branle ma bite !
Et il me branle de plus en plus vite, il va me faire juter ! Je me penche et je pose mes lèvres sur son gland, il pousse un soupir de plaisir et murmure :
– Oh oui ! Suce-moi !
Il transpire et gémit de volupté, sa bite raidit plus encore dans ma bouche, il va juter ! Il murmure :
– Je… Je vais… Ouiii !...JE VIENS !
Un jet de sperme jaillit dans ma bouche suivie de trois autres d’une formidable puissance, j’ai du mal à avaler.
Tremblant et agité de spasmes, il dit :
– Je n’ai jamais autant joui et autant juté !
Ce disant, il se penche et suce mon gland, sa langue titille la base de mon gland, là où c’est sensible, ma bite raidit dans sa bouche, mes mains s’agrippent à ses cuisses, je n’en peux plus, je sens monter mon sperme et je crie :
– AAAAH, JEAN PIERRE, JE… JE JUTE !
Plusieurs jets envahissent sa gorge, nous nous affalons l’un sur l’autre en nous embrassant puis nous nous endormons.
Lorsque Jean Pierne venait chez moi ensuite, et cela a duré plusieurs années, nous occupions le même lit sans rien nous dire,
nous passions des nuits de plaisir à chaque fois, c’est un de mes meilleurs souvenirs.
J’ai raconté plusieurs souvenirs vécus, notamment la petite annonce qui est mon souvenir qui me fait le plus bander. Lisez là, elle vous fera bander aussi, je pense, et dites-moi ce que vous pensez de mes histoires.
Frank
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