Quand il est entré dans le bistrot, essoufflé et transpirant d’avoir couru, il était beau dans son jogging gris, il avait à peine dix-huit ans, quand je l’ai vu il m’a fait bander, j’ai osé l’inviter à boire un verre, nous avons parlé de tout, puis de sexe, il m’a dit qu’il était homo, je lui ai répondu moi aussi, son regard s’est allumé et est devenu lubrique, il m’a invité chez lui, je ne me doutais pas de ce qui allait se passer !
Dans sa chambre il m’a offert un verre d’alcool, il en a bu un aussi, puis il m’a dit :
– Ah, tu es homo ? On va voir ça.
Il me regarde d’un air vicieux en passant la langue sur ses lèvres pleines qui me donnent envie de l’embrasser, il prend des poses, se déhanche en caressant ses cuisses toujours en me regardant d’un regard prometteur, il n’en faut pas plus pour me faire bander comme un cerf dans mon jean, il sourit d’un air vainqueur en voyant la barre qui tend le tissu de mon jean en disant :
– Ah, je te fais bander, là ! Regarde-moi.
Ses deux mains entourent son jogging à l’entrejambes montrant une longue flèche qui tend le tissu, il caresse son torse sous son jogging, ses lèvres sensuelles me font des moues, des bisous, en voyant la scène, je bande plus dur encore, je suis fou de désir, c’est bien ce qu’il cherche ! Il me dit :
– Tu vois, je bande pour toi ! Et je vois bien que tu bandes pour moi ! Tu peux ouvrir ton jean et sortir ta bite, tu en crèves d’envie.
En effet, je crève d’envie de le faire jouir et qu’il me fasse jouir, je détache ma ceinture, abaisse mon jean et ma bite jaillit, raide comme jamais !
– Eh ben, je te fais de l’effet, quelle bite ! T’as envie de moi, ça se voit ! Tiens, regarde.
Il descend très lentement le pantalon de son jogging, je ne le perds pas des yeux, je suis impatient de contempler la suite, mais, cruellement, il prend son temps en souriant, c’est un vrai supplice ! Après un trop long moment, il abaisse brusquement son pantalon et l’objet de mon désir apparaît, dur et raide. Il se couche sur son lit, il me regarde en serrant sa bite dans son poing, il prend sur sa table de nuit une bouteille d’huile et en enduit son beau corps, dans la lumière ses pectoraux puissants brillent, j’ai envie de les toucher, je bande à mort ! je me dirige vers lui, avec un regard sévère et m’intime :
– Stop ! Ne me touche pas ! Branle-toi si tu veux, mais sans me toucher, je ne supporte pas !
Son poing va et vient sur sa raideur de plus en plus vite en me souriant d’un air pervers, il se branle, je souffre le martyre que ce soit sans moi, je n’en peux plus, je deviens fou.
Tant pis, je me branle fougueusement pour en finir avec ce supplice de Tangale, il halète en me disant :
– Re… regarde je vais ... Juter ! OUIII ! AAAAH !
Plusieurs jets s’écrasent sur son torse musclé et son ventre, voyant cela je sens que je vais juter, mais mon bourreau me dit :
– Maintenant tu peux venir et juter sur moi, j’ai envie de ton sperme !
Enfin ! Je branle ma bite brûlante au-dessus de lui, mon sperme jaillit à grands jets et rejoint le sien sur son ventre et son torse, je suis soulagé, il sourit satisfait en me disant :
– Tu peux sentir, mieux, manger tout ce sperme !
N’en pouvant plus de luxure, j’aspire sur son ventre ce foutre chaud, il me retient et m’embrasse, ma bouche emplie de
sperme l’excite et il rebande en disant :
– Cette fois-ci, branlons-nous ensemble !
Sans un mot il saisit mon épieu, je saisis le sien, nos mains vont et viennent sur nos bites en feu, nous jouissons formidablement en nous embrassant dans un torrent de sperme. Je n’en reviens pas d’avoir rencontré ce beau garçon super vicieux ! Il me dit :
– Ça t’a plu ? T’as bien joui en me regardant, cochon que tu es ? Tu peux venir quand tu veux, tu veux ?
– Oh oui !
Quelques jours plus tard, je vais chez lui, il me reçoit en jean, enlève sa chemise, j’admire toujours ses pectoraux puissants, il m’offre un verre d’alcool, c’est une habitude, et se couche sur son lit, en souriant il m’invite à lui enlever son jean, ah le plaisir de déshabiller ce beau garçon ! Je bande en défaisant sa ceinture. Il se soulève pour que je fasse glisser le jean sur ses cuisses, sa bite apparaît, elle commence à s’allonger et durcir, il la regarde et me dit :
– Tu vois je commence à bander ! Et toi aussi, je vois ! Branle ma bite, fais-moi jouir !
Je le désire comme un fou, je saisis sa bite qui est maintenant très dure et je le branle lentement, il soupire :
– Oui, c’est bien, vas-y plus vite, oui, comme ça, aaah, c’est bon ! … Arrête, je vais juter !
J’arrête, je me penche sur sa bite raide, je ne peux résister : je suce son gland, il pousse sa bite dans ma bouche en gémissant de
plaisir et donne des coups de reins endiablés, sa bite entre et sort à toute vitesse, il halète :
– OUH ! C’EST BON ! ... JE… JE VAIS ... OUIIII ! JE VIENS !
Dans un choc de tout son corps, un fleuve de sperme chaud éclabousse ma gorge et j’éjacule une nouvelle fois sur son ventre.
Un peu plus tard, je le quitte, nous nous promettons de remettre ça très bientôt. Rentré chez moi, je me suis branlé encore en pensant à lui et à ce que nous ferons demain, et lui, j’imagine qu’il fait la même chose…
Frank
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