J’avais vingt-quatre ans, et j’ai retrouvé un ancien copain d’école, Jean-Claude, beau garçon maintenant âgé de dix neuf ans, je sais qu’il est gay, je lui propose de l’interviewer.
– Ça te gêne que je te filme ?
– Non.
Il s’assied sur le canapé et on commence :
– Jean Claude, je vais te poser des questions indiscrètes, tu t’en doutes.
– Oui, vas-y.
– Je t’ai connu gamin, à présent tu as dix neuf ans, te branles-tu toujours ?
– Oui, plus que jamais ! Plusieurs fois par jour, chez moi, dans les toilettes de l’école… dans le bois…
– Et tu penses, je le sais, à des garçons… Ça n’a pas changé ?
– Ben non, certains garçons m’excitent.
– Un exemple ?
– Il y en a un de mon âge, je crois qu’il est gay aussi, je ne sais pas, il a des yeux verts, Je le vois souvent à la piscine, il a un corps merveilleux, des cuisses puissantes, un torse musclé et sans poils, il me fait durcir la bite ! quand je rentre chez moi, je monte dans ma chambre et je me branle et je jouis en pensant à lui. Rien que d’en parler ma bite durcit, tu veux voir ?
– Bien sûr !
Jean Claude se cambre et me montre à travers son jean une barre qui tressaute que je filme en gros plan.
– Peut être un autre exemple ?
– Attends, j’ai envie de me branler, Bon, autre exemple : un copain de dix neuf ans comme moi, mais il est hétéro, dommage, il porte souvent un petit short en jean, on voit sa bite qui gonfle sa braguette, lui aussi me fait bander. Il est moins sexy que l’autre, mais je me branle souvent en y pensant aussi. Maintenant, j’ai vraiment super envie de me branler ! d’ailleurs, toi, tu bandes aussi !
– Vas y, branle-toi, je filme.
– Et tu vas te branler en regardant la vidéo chez toi ! Vicieux !
– Oui, comme toi j’ai envie de me faire jouir.
– Mais à part te branler en pensant à ces garçons, as tu quelqu’un pour jouir avec toi ?
– Ah oui, un petit gars qui vient d’avoir dix-huit ans, il m’excite depuis un an avec son regard pervers qui ne demande qu’à jouir, j’ai fait sa connaissance, depuis, nous nous retrouvons dans une grange abandonnée, nous enlevons nos jeans, son slip tendu par sa bite m’excite, j’attrape une bite dure comme fer, il est excité aussi et, couchés dans un reste de paille, nous nous déshabillons tout à fait et je n’en peux plus de branler sa belle bite !
Nous nous embrassons, il me branle, c’est super, ça dure chaque fois une heure ou deux, souvent nous suçons nos bites chaudes, c’est délicieux, on fait durer si bien que quand nous jutons, il y a énormément de sperme qui jaillit de nos bites. Après on se rhabille, nous sentons le sperme, mais quand nous rentrons une douche s’impose.
– Tu filmes toujours ?
– Alors je sors ma bite, elle est dure après ce que je t’ai raconté. Dit, sors la tienne, on comparera.
Je le contente et je sors mon épieu de ma braguette, il me dit :
– J’ai envie de te branler, si tu me branles aussi.
J’ai envie aussi, viens près de moi et enlève ton jean. Dis je en ôtant mon jean. Sa belle bite se dresse comme la mienne, il s’approche et prend ma bite dans sa main, oh, que c’est bon de sentir la main de ce garçon qui sert ma bite raide ! Je monte sur le canapé, je m’assieds et prends les jambes de Jean Claude, les mets de chaque côté des miennes, je l’embrasse, sa bite durcit, nous sommes assis en face l’un de l’autre, nos bites se touchent il se branle, moi aussi,
Je prends nos bites ensemble accolées et ma main va et vient, Jean Claude fait :
– Génial ! On va juter ensemble !
Juter ensemble avec ce beau garçon, le pied ! Ma bite durcit plus encore contre la sienne, et la caméra qui tourne toujours ! Ça fera un souvenir bien bandant ! Jean Claude gémit et halète, il est prêt à jouir, moi aussi en sentant gonfler sa bite contre la mienne. Nos respirations deviennent précipitées, nous haletons, mêlons nos langues avec délice, Jean Claude murmure :
– Je… Vais juter !...H ! JE VIENS !
Je serre nos bites dans ma main, elles gonflent soudain et de nos deux pals jaillissent des jets de sperme qui éclaboussent jusqu’à nos cheveux tant ils sont puissants ! Nous nous calmons, l’interview est terminée, nous nous quittons en nous promettant de nous revoir. Rentré chez moi, je regarde la vidéo, parfait, je bande à mort en la regardant et je me branle vigoureusement, je jute abondamment sur mon lit, Oui, je reverrai ce garçon très vite, il m’excite trop !
Frank
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