Ils sont deux : Nathan, beau garçon aux cheveux blonds et aux yeux verts et Fred, petit noiraud aux yeux vicieux, tous deux âgés de dix-neuf ans et tous deux très attirés par leurs copains, ils se voient souvent pour prendre du plaisir ensemble. Mais il leur en faut plus, ils aiment entraîner d’autres garçons dans leurs plaisirs de façon assez vicieuse. Ils ont trouvé une vieille maison abandonnée, endroit idéal pour leur projet. Ce jour-là, ils ont jeté leur dévolu sur un garçon qui vient de fêter ses dix-huit ans qui les attire particulièrement, disons-le, il les fait bander et ils se branlent ensemble en évoquant son regard noir, ses lèvres pleines, ses cuisses qu’ils voient souvent, car il porte un léger short bleu et, naturellement sa bite qu’ils n’ont jamais vue, mais cela ne tardera pas, se disent-ils.
Ils accostent Alain, le garçon en question et l’entraînent vers la maison abandonnée en lui parlant de leurs études, le garçon ne se doute pas de ce qui l’attend ! Ils entrent dans la maison que nos deux complices ont aménagé à leur façon avec une échelle, le haut posé sur la table, le bas au sol, à 45 degrés, et des cordes sur une chaise. Ils se concertent du regard et se jettent sur Alain qu’ils immobilisent, le garçon dit :
– Qu’est-ce que vous faites ?
Avec un sourire sadique, Nathan lui répond :
– Tu vas voir !
Et à Fred :
– Attache-le sur l’échelle.
Fred s’exécute avec les cordes que lui donne son copain, Alain se débat en disant :
– Non, pas ça !
– Oh si ! Et ce n’est pas fini ! Rétorque Fred qui commence à bander.
Fred attache sur les échelons les bras d’Alain qui a beau se débattre, il est bien fixé, Nathan lui attache les pieds,
leur victime est ainsi écartelée et regarde ses deux bourreaux en se cabrant sur l’échelle.
Fred le contemple et dit à Nathan : – Il est pas mal sexy comme ça, je bande !
– Moi aussi ! Réplique Nathan en montrant la barre qui tend le tissu de son jean.
– On va l’exciter.
Fais Fred en posant une main sur la bite de son copain emprisonnée dans son jean.
– Oui, tu sens comme ma bite durcit quand tu la touches ? C’est bon !
Nathan ouvre la braguette de Fred, y introduit la main qui serre sa bite longue et chaude. Nathan embrasse son copain en lui disant :
– Branle-moi, j’ai envie de toi !
Et en aparté en indiquant Alain qui les regarde attentivement sans pouvoir bouger :
– Tu crois qu’il est excité ?
– On va voir ! Fait Fred.
Ils se dirigent enlacés et branlant leurs bites dans leurs jeans vers leur victime attachée sur son échelle, Fred :
– Il est bandant comme ça, sens ma bite comme elle est dure !
Nathan sort la bite raide de Fred qu’il commence à branler en disant :
– Là, il commence à s’exciter, embrasse-moi, regarde-le, je bande à mort quand je le vois… il s’excite, je te dis ! Regarde son short, il commence à se tendre, non ?
En continuant à branler leurs bites, ils observent le short d’Alain qui effectivement est un peu tendu, Fred dit à son copain :
– Il est mûr, foutons-nous à poil et branlons nous, il va bander à faire éclater son short !
– Tu crois ?
Ils ôtent leurs t-shirts et leurs jeans, leurs bites se dressent hors de leurs slips qu’ils enlèvent, ils se cambrent devant Alain qui avale difficilement sa salive en voyant ces beaux corps et ces belles bites bandées, son short se tend de plus en plus, il bande, remarque Fred ravi.
Nathan met la main sur le short d’Alain qui sursaute :
– Non ! Fous-moi la paix, vicieux !
Mais Nathan sent se raidir la bite d’Alain sous le tissu, il insiste et branle lentement cette bite à travers le short.
Alain, qui sent durcir sa bite refuse son excitation, il crie à l’adresse de ses deux bourreaux :
– Arrêtez, sale vicieux, cochons, pédés !
Nathan et Fred rient en caressant leurs bites dures comme fer, ils s’embrassent de nouveau en se branlant mutuellement, Fred dit à son complice :
– On va le finir, qu’en dis-tu ?
Nathan s’approche d’Alain, lui ouvre sa chemise et embrasse son torse et ses tétons comme il a toujours désiré, Alain qui bande de plus en plus dans son short souffle :
– Maintenant tu arrêtes, sale cochon, ça suffit !
Nathan, loin de l’écouter, pose ses lèvres de plus en plus bas sur ce beau torse, embrasse son nombril tandis que Fred saisit la ceinture du short et l’abaisse brusquement, la bite d’Alain se dresse, raide et dure ! Il a beau insulter les deux copains, son corps dit le contraire, il bande dur !
– Mmmmm, belle bite !
Sourit Fred qui la saisit et commence lentement à la branler, Alain est incapable de parler, il soupire de plaisir, Fred qui le branle de plus en plus vite, l’embrasse et mêle sa langue chaude à la sienne, Nathan se branle vigoureusement en regardant la scène. Derrière Fred, il prend sa bite en main et le branle doucement, Fred râle de volupté et, interrompant baiser et branlette sur Alain, se tourne vers Nathan, l’embrasse et lui saisit la bite, son poing va et vient à toute vitesse, si bien que Nathan le supplie d’arrêter :
– H !...Arrête, Je… vais jouir !
En les voyant Alain n’en peut plus de bander, il a une terrible envie de se branler, mais il est solidement attaché à l’échelle, il se débat, rien à faire, et les deux autres qui branlent leurs belles bites devant lui, à présent, Alain
pense :
– Ils sont beaux, qu’est-ce que j’en ai envie !
– Il est à point, dit Fred, on peut le finir.
– OK, mais d’abord on va lui juter dessus !
Debout de chaque côté de leur victime, ils se cambrent en se branlant mutuellement en dirigeant leurs bites vers le visage d’Alain qui bande maintenant comme un cerf en rut, les deux copains halètent :
– H !...C’est bon ?
– Ouais, H !...Regarde ses yeux, ils deviennent vachement vicieux ! Ils en veulent.
– Je… vais venir
– Allons-y à fond, je vais juter avec toi !
Leurs mains accélèrent, leurs bites frôlent les lèvres d’Alain et dans un cri partagé par les deux copains :
– AAAAH !...OUIIII !...C’EST BON !
Leurs jets giclent sur les lèvres d’Alain, puis sur son torse, Alain est couvert de sperme, il passe la langue sur ses lèvres enduites du sperme des deux garçons, il n’en peut plus et supplie les deux copains agités de spasmes et jutant encore :
– Vous… Vous ne voyez pas que je bande à mort ? Branlez-moi !
En souriant, Nathan et Fred serrent de leurs deux mains la bite en feu de leur victime qui cambre les reins et ils le branlent vigoureusement, Alain délire de plaisir, son cœur bat à tout rompre et dans un râle délicieux, son sperme jaillit encore et encore à la satisfaction des deux copains qui le boivent. Ils détachent leur victime puis
à genoux devant Fred dont la bite se dresse à nouveau, Nathan la saisit, Fred soupire et Nathan pose ses lèvres sur le gland de Fred qui fait :
– Suce ma bite ! Nathan dont la barre est dressée suce la bite de son copain qui n’en peut plus de volupté et est sur le point de juter dans la bouche de Nathan. Les voyant faire, la bite d’Alain se dresse et, à présent délivré, il saisit sa bite raide et se branle en regardant les deux garçons dont les jets éclaboussent le sol. Il balbutie :
– Salauds, vous m’excitez à mort, mais aaah !...Qu’est-ce que c’est bon !
Nathan pose ses lèvres sur le gland d’Alain qui pousse un gémissement de plaisir, sa bite durcit encore plus, il se branle fougueusement, il devient fou de luxure et son sperme gicle sur le visage de Nathan encore et encore jusqu’à épuisement.
– Vous m’avez bien fait jouir, vicieux que vous êtes !
– Et tu n’as pas aimé ?
– Si ! Je n’ai jamais autant juté ! On le refait quand vous voulez !
Nathan fait un clin d’œil à son copain :
– C’est gagné, demain on remet ça ! Tu paries que ce soir il va se branler en pensant à nous, son lit sera tout collant de sperme !
Fred, le regard allumé répond :
– Rentrons chez moi, j’ai encore envie avec toi, on va se faire jouir en pensant à lui !
– OK, j’en ai déjà une bien raide !
Frank
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