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Je ne savais pas quoi dire, honteux d’être pris en flagrant délit de sexe avec Laurent par son frère, mais Pierre s’avérait beaucoup plus souriant qu’agressif.
Ils se ressemblaient beaucoup, tout aussi mâles l’un que l’autre, poilus à outrance, Pierre étant quand même un peu plus grand que Laurent. Il avait dû nous observer depuis un petit moment quand même, car je ne pus m’empêcher d’observer une énorme protubérance au centre de son corps. Son entrejambe était indécent et il bandait comme un âne. À priori, il n’avait rien à envier à son frère, la nature l’avait aussi bien doté, voire bien davantage. Et il s’est assis à mes côtés…
« Ravi d’avoir enfin un invité… Chaleureux… Dans notre ferme isolée. »
Ils ont commencé à parler en Basque tous les deux que je ne comprenais évidement pas, et je savourais tranquillement mon café pendant ce temps, essayant de conserver une certaine contenance, pas facile avec le cul à l’air. Quand Laurent a quand même pris la parole en français :
« Tu ne travailles pas demain, tu m’as dit ? »
« Non, pourquoi ? »
« Ça te dirait de rester ici avec nous ? »
« Ma foi... Avec plaisir… Je suis trop content de vous connaitre. »
C’est poursuivi une soirée sympa, avec l’Izarra fétiche, mais aussi des attouchements discrets, mais appuyés quand même des deux frères. Assis entre ces deux monstres de virilité, je ne savais plus trop si c’était l’Izarra qui me montait à la tête ou leur odeur de mâle, empestant la testostérone dont j’avais pu connaitre la puissance un peu plus tôt avec Laurent, Pierre m’offrant aussi la même complicité.
« Il est tard quand même Marc, on devrait aller se coucher, non ? »
« Oui, je pense aussi… »
« On a parlé avec Pierre… Ce serait bien si on dormait tous les trois ensemble, non ? »
« Je… Je… Oui... Je me sens bien avec vous deux. »
Nous avons regagné la chambre de Pierre, qui avait un super grand lit. Laurent et moi n’avions pas grand-chose à enlever pour être nus, mais quand Pierre s’est dévêtu... C’était… Magique... Un corps aussi bien fait que son frère, aussi poilu voire davantage, mais entre ses jambes, pendait un tuyau monstrueux. Plus large que son frère, mais surtout, beaucoup plus long, le tout dans une semi-érection.
Nous nous sommes couchés, moi entre ces deux Ours des Pyrénées. Je me sentais bien, heureux entre ces deux mâles et aussi grâce à l’Izarra qui m’avait permis, sans abus, de mettre de côté cette situation, assez exceptionnelle.
D’une simple promenade dans les Pyrénées, je me suis retrouvé à dormir entre deux mâles hyper virils, dont l’un m’avait possédé à plusieurs reprises et dont le frère était collé à mon dos, ses poils sur moi, et son membre, énorme et dur comme de la pierre s’incrustait dans ma raie. Dans un demi-sommeil, mais excité comme pas deux, j’ai tendu mes fesses vers lui, lui montrant mon plaisir et mon consentement. Il a de suite compris le message et son énorme gland a franchi ma corole. J’étais certes bien lubrifié par le sperme de Laurent pendant nos accouplements, mais là, c’était plus le même calibre. Pierre m’a fermement tenu par les hanches jusqu’à ce que son pieu monumental se soit entièrement introduit en moi.
Sa pénétration devenait de plus en plus forte et puissante, me possédant de toute la longueur de son membre avec la fougue d’un homme en manque de sexe depuis longtemps, comme son frère. Par réflexe, je me suis accroché à Laurent, mes mains sur sa poitrine velue, subissant les formidables assauts de Pierre. Laurent n’a pas manqué de se réveiller, comprenant très vite la situation, peu ordinaire, et s’est tourné pour posséder ma bouche pendant que son frère envahissait l’autre côté de mon corps.
Notre complicité à tous les trois a été quasi-immédiate. La recherche du plaisir commun, le bien être, sans jalousie aucune de l’un vis-à-vis de l’autre. Pour la première fois de ma vie, du moins en France, j’étais la « femme », et non la « pute » de deux frères, aussi virils l’un que l’autre et qui semblaient apprécier cette situation quelque peu particulière.
Après avoir été possédé par l’un et par l’autre à plusieurs reprises, surtout par Pierre, Laurent avait déjà pris pas mal d’avance, je me suis quand même endormi vers 4 heures du matin, rempli de la substance de mes mâles, ma peau couverte de leur splendide fragrance masculine et de leur nectar si suave.
J’ai ouvert l’œil vers 9 heures et revêtu d’un T-Shirt assez long, je suis descendu, me rendant jusqu’à la cuisine où Laurent m’attendait.
« Salut Marc, pas trop fatigué ? » Avec un sourire en coin…
« Oui... Un peu quand même… Mais vous êtes des vrais diables tous les deux… !!! »
« Il ne faut jamais sous-estimer les Basques… »
« J’ai vu... Je n’ai jamais connu ça… !!! »
« Tu nous en veux pas ? »
« Bien au contraire, j’ai trop aimé »
« Tu dois avoir faim après ça… Je t’ai préparé un petit-déjeuner. Pierre est déjà parti au travail, les bêtes n’attendent pas. »
Je n’avais pas trop fait attention, mais devant mes yeux, un splendide plateau m’attendait. Pain, beurre, brioche, confiture de cerise rouge, Chocolat de Saint-Jean-de-Luz, Etorki… Une splendeur que je n’ai pas tardé à dévorer, accompagnée d’un café que Laurent avait préparé à ma demande.
« Marc, on a parlé avec Pierre pendant que tu dormais encore. Tu m’as dit que tu ne reprenais ton travail que demain après-midi… Tu aimerais rester avec nous ce dimanche et ne repartir que demain matin ? »
« Je… Je crois que j’en serais trop heureux Laurent, je me sens si bien avec vous deux. »
« Tu es le bienvenu chez nous Marc… Et… Merci… » Avec une voix un peu serrée
« J’y mets une condition, ok ? »
« Laquelle ? »
« Tu as du travail toi aussi, et si tu m’y autorises, après une bonne douche, j’ai envie de m’occuper aussi de mes hommes »
« Ah oui ? C’est-à-dire ? »
« Comme j’adore cuisiner et si tu m’autorises à le faire, je nous prépare le déjeuner à nous trois pour que tout soit prêt lorsque vous allez rentrer… Tu es d’accord ? »
« Un garde-manger Basque est toujours bien rempli… À toi de trouver ton bonheur… Tu as carte blanche… À tout à l’heure, je pars rejoindre Pierre. »
Je me suis posé quelques instants, savourant un autre café avec une tartine en essayant de réaliser ce qui était en train de se passer. Dans un endroit refoulé au fond du Pays Basque, j’avais fait l’amour passionnément avec deux frères, l’un tout aussi viril que l’autre, et là, ils me laissaient seul dans leur maison, avec une totale confiance, pour leur préparer leur repas à leur arrivée…
Hallucinant... Mais après une bonne douche, je me suis mis à l’ouvrage…
CalinChaud
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