Bal costumé

Cela faisait longtemps que je fantasmais un mec que je croisais en soirée. Grand, brun aux yeux bleus, athlétique par sa pratique intensive du rugby, élégant avec ses tenues recherchées et son allure aristocratique. Nous avions à peu près le même âge, mais il ne m’avait jamais remarqué.
Il faut dire qu’il était hétéro pus jus, véritable idole des petites bourgeoises qui défilaient dans son lit. Je m’étais résigné à juste me branler en pensant à lui.
À la fin du printemps, un de mes meilleurs amis, cousin du bellâtre, m’envoie une invitation pour un bal costumé XVIII° siècle dans sa propriété de famille à la campagne. Cet ami bisexuel me baise lorsqu’il est en rade de petite copine : il adore ma bouche et mon cul accueillant. Quand je lui demande si son cousin sera là, il esquisse un sourire ironique :
– Toi, tu aimerais bien goûter à d’autres bites de la famille…
– Hum oui, j’avoue, je craque pour lui.
– Ne te fais pas d’illusions, il ne touche que des filles. Allez, viens sucer ma queue pour te consoler.
Je me poste entre ses jambes et lui suce consciencieusement la queue. Pendant qu’il râle sous mes coups de langue, je cogite à un plan pour essayer de mettre la main sur mon fantasme sur pattes.
Le jour J, je débarque dans le manoir et file directement à la chambre qui m’a été réservée. Je ne sortirai de la chambre que déguisé et apprêté. J’ouvre mes bagages et enfile ma tenue : j’ai loué une robe à panier genre Marie-Antoinette. Je fixe les cerceaux, enfile les couches de jupons successifs, puis la robe et lace le corset. Je rembourre ma fausse poitrine et me maquille délicatement. Dernière action : la pose de la perruque et du bandeau/masque de velours. Je m’admire dans la glace et décide de rejoindre la soirée. Je descends lentement le grand escalier d’honneur et je sens beaucoup de regards se poser sur moi. Je tremble un peu à l’idée d’être reconnu (je devrais être en petit marquis, pas en comtesse libertine), mais mon déguisement semble crédible.
Je m’approche de mon ami bisexuel, je vois bien qu’il se demande qui est cette jeune fille. Il s’approche de mon oreille et me susurre :
– Bonsoir jeune dame, j’ai à la fois l’impression de vous connaître et d’ignorer qui vous êtes.
– Je vais me vexer avec tous les bons moments que nous avons passés ensemble
– …. (il reste sans voix essayant de se souvenir)
– Approchez (je soulève légèrement le loup et je vois son regard stupéfait)
– Alors là… c’est bluffant et osé ! j’espère en profiter plus tard
– Je ne sais pas, mon carnet de bal est déjà très rempli…
À ce moment-là arrive mon fantasme, le cousin sportif et viril, superbe dans son costume de gentilhomme, qui me dévisage de la tête aux pieds.
– Ta soirée est géniale et je vois là une jeune femme très belle
Je rosis sous le compliment et baisse les yeux. Mon pote me sauve la mise en expliquant que je suis une de ses camarades de faculté que le cousin ne connait pas. Le cousin n’écoute déjà plus et me traîne sur la piste. Il me serre contre lui, me fait tournoyer…. Je sens son torse viril contre ma poitrine. Au bout de quelques danses, je crie grâce et me dirige vers le bar. Je n’ai pas le temps de me servir une boisson qu’il est déjà à côté de moi. Je lui plais visiblement, mais je vais devoir jouer serré.
Il me glisse à l’oreille qu’il voudrait me montrer le parc, je le suis, docile, mais pas dupe.
Au premier détour sur le chemin, il me colle contre un arbre et s’empare de ma bouche. Sa langue virile envahit ma bouche. Ses mains malaxent mon corset. Je ne suis pas en reste, je triture allègrement sa bite à travers son pantalon, la sors de son écrin et commence à décalotter le gland avec mes doigts. Il abandonne mon corsage pour me peloter les fesses.
Je me laisse glisser le long de l’arbre pour me retrouver le visage en face de sa queue : un coup de langue sur sa queue avant de déguster son gland. Il se cabre sous la caresse et avance son bassin. Je prends sa queue en bouche et l’avale jusqu’aux couilles. Ma tête coincée par l’arbre, il me lime la bouche pendant que je lui caresse ses couilles bien chargées et velues.
Il échappe à ma bouche :
– Arrête sinon je vais jouir et je veux te baiser la chatte (il me relève)
– Attends ma robe ne s’ouvre pas devant, il faut me prendre par derrière (je lui mens effrontément, mais c’est la seule façon qu’il ne découvre pas ma bite durcie)
Je me relève et lui tourne le dos : je remonte mes jupes pour qu’il accède à mon cul. Je prends sa bite en main et la dirige vers mon anus. Avant qu’il n’ait réalisé, je m’empale sur sa queue.
– Ah petite cochonne, tu me fais passer par la porte de derrière, c’est encore meilleur, c’est plus serré.
Je prends ses mains et les pose sur ma taille. Il s’accroche à moi et commence à me fourrer, d’abord doucement avec de longs coups amples et profonds. Il ressort complètement de mon cul et m’embroche d’une seule traite. Ma respiration s’accélère, mon cul s’ouvre sous la force de sa queue. Je commence à jouir et crier. Il vient coller sa bouche à mon oreille :
– Tu l’aimes ma queue ? Elle est bonne dans ton petit cul ? Ah ma cochonne, tu me fais bander comme jamais, comment j’ai pu passer à côté de toi à la fac, tu es trop bonne ma chérie.
Notre excitation est à son comble, il est de plus en plus fébrile me limant de façon accélérée. Moi, ma chatte anale ruisselle de plaisir, le précum coule de ma queue sans que je me touche. Il me projette contre l’arbre en se collant à moi et en hurlant :
– Ah, tiens prends ça, et encore ça, et encore…
Il commente chacun des jets qu’il envoie au fond de mon cul. Ma voix devient très aigüe et ma jouissance anale me secoue fortement.
Il se retire délicatement de mon cul et me retourne pour m’embrasser. Mon téléphone sonne, c’est mon pote qui m’appelle pour savoir où je suis : j’abandonne mon baiseur pour le rejoindre.
J’aperçois mon baiseur au fond de la salle avec ses potes et décide de m’éclipser, il ne faut pas que ma couverture soit éventée.
Je m’éclipse dans ma chambre, retire mes vêtements de femme et repars dans l’heure avec ma voiture. En me couchant, je touche ma rondelle dévastée et porte à ma bouche mes doigts avec le bon goût du sperme de mon baiseur. Je m’endors heureux d’avoir pu réaliser mon fantasme : baiser avec le cousin rugbyman.
Au réveil le lendemain, je lis les sms de mon pote : son cousin recherche désespérément la jeune fille qui lui a donné tant de plaisir, s’il savait…