Un soir tard, je rentrais d’un dîner et j’avais une très forte envie de me faire baiser en plan direct. J’étais allé à ce diner en sortant du bureau et je portais donc un costume cravate mais, le matin, j’avais mis ma lingerie de salope sous mes vêtements. Toute la journée, j’avais senti le contact de la dentelle de mon porte-jarretelle sur mes hanches, la soie des bas sur mes cuisses, la ficelle du string dans ma raie. Je n’en pouvais plus d’excitation à l’idée que mes collègues me croisaient sans imaginer un seul instant mon attirail de femelle en rut sous mes vêtements. Cette excitation a duré pendant tout le dîner : quand je m’asseyais, je sentais les jarretelles venir s’imprimer dans mes cuisses sans que mes amis ne s’en rendent compte. Le moindre mouvement faisait aussi remonter la ficelle de mon string dans ma raie.
A la fin du dîner, chaude comme la braise, je décide de rentrer à pied et de me connecter à un réseau téléphonique. Je traversais ce quartier chic de la capitale, pendu à mon téléphone à écouter les profils de mecs machos en quête d’une femelle à baiser. Au bout de 10mn, un homme à la voix virile me laisse un message : il est hétéro, marié, rentrant chez lui en voiture et il passe à proximité de l’endroit où je suis. Il est très direct et directif : il veut baiser une salope qui lui montre et lui donne ses trous. Pas de discussion, pas de pelle et autres caresses, juste une baise virile et primaire.
Il me propose de passer me prendre en voiture et de m’emmener chez moi. Je l’attends au bord d’une grande avenue comme une pute qui fait le tapin. Je guette l’arrivée de sa voiture : un gros 4X4 de marque allemande s’arrête à ma hauteur. Un rapide coup d’œil : c’est un mec blond d’environ 35 ans, 1m80, yeux clairs, en costume, avec un siège bébé à l’arrière du véhicule. Une bonne tête de cadre supérieur un peu méprisant. Je grimpe dans sa voiture et il repart aussitôt.
Après quelques mots, il m’intime l’ordre de le sucer dans sa voiture alors qu’il conduit. Bien docile, je me penche sur son bassin, ouvre son pantalon et vais chercher avec la langue sa queue encore un peu molle. Je m’active en léchant, suçant, gobant le gland et je le sens durcir dans ma bouche. Sa queue s’allonge et va de plus en plus loin dans ma gorge. J’entends sa respiration devenir plus forte et une main vient appuyer sur ma nuque pour que je lui fasse une gorge profonde.
Je découvre alors qu’il est aussi très vicieux : ma bouche ne lui suffit pas. Il m’ordonne de me mettre à quatre pattes sur mon siège sans que sa queue ne quitte ma bouche. Je dois ensuite défaire mon pantalon et mettre à nu ma croupe de salope : je ne garde que mon string. Pendant que je continue de le sucer, il commence à me caresser la croupe et me doigter la rondelle. Il me traite de putain à exhiber, de femelle que l’on ramasse au bord des routes pour la saillir, j’ai chaud et je mouille du cul. A un moment, il me fait relever la tête et regarder par la fenêtre de la voiture : nous sommes arrêtés à un feu à côté d’un taxi. Le couple à l’arrière a les yeux bloqués sur mon cul en string. J’ai honte, je deviens rouge et replonge sur la queue de mon mâle pour ne plus croiser leur regard. A chaque feu rouge, il prend un malin plaisir à faire savoir qu’une salope lui avale le chibre : j’ai peur de croiser une voiture de police. Après 20mn de traversée de Paris, la bouche pleine de sa queue et la rondelle fourrée par son doigt, nous arrivons dans ma rue. Il continue de prendre les choses en main : j’ai pour consigne de monter chez moi, retirer mon costume, ne garder que mes sous-vêtements de salope, me mettre à quatre pattes et me gazer au poppers en laissant la porte grande ouverte. Je me dépêche et l’appelle pour lui dire que je suis prête pour la saillie : il me dit qu’il finit sa clope et que je dois attendre tout en laissant la porte de mon appartement complètement ouverte. Je suis dans le champ de vision de l’escalier, si un de mes voisins passe à cette heure tardive, il aura une vue plongeante sur mon cul.
J’entends des pas dans l’escalier, je ne me retourne pas, quelqu’un entre dans le couloir et referme la porte. C’est lui. Il se penche et me claque le cul : une fois, deux fois, trois fois, …. Mes fesses me chauffent.
Les bruits qu’il fait derrière moi me laissent penser qu’il défait son pantalon. Quelques secondes après, je sens son gland sur ma rondelle : il me l’enfonce directement sans préliminaires. Il doit penser que les doigts qu’il m’a mis dans la voiture sont suffisants. Je hurle sous l’enculade, mon cul me brûle. Il me saisit par les cheveux, tire ma tête en arrière et me chuchote à l’oreille de me taire. Puis il me mord le lobe de l’oreille en donnant un grand coup de queue qui vient loger sa bite tout au fond de ma chatte. Je halète sous le double effet de la douleur et de l’excitation. Il repousse mon buste vers le sol et me dit qu’il va se finir dans ma chatte : je l’ai trop excité. Il commence à m’utiliser comme son jouet sexuel : il cherche son plaisir, alternant coups de bite profonds et limage intensif. Il se défoule dans mon conduit, je serre les fesses pour lui donner plus de plaisir, il s’en fout, il monte tout seul vers son plaisir.
A un moment, il s’immobilise au fond de mon cul et se vide. Je sens un premier jet tapisser mon vagin anal, puis un deuxième et un troisième. Il me repousse et sors de mon cul, je m’étale par terre, son bon jus coulant de ma chatte sur le parquet. Je n’ai pas encore joui mais il m’interdit de me branler : je ne suis qu’un trou pour lui. Il se rhabille et part sans même me jeter un coup d’œil. Je referme la porte derrière lui et me branle frénétiquement : je jouis en 2 secondes.
Je rampe jusqu’à mon lit et m’endors. Le lendemain, je me réveille en bandant : j’aimerais qu’il me rebaise, j’ai encore son numéro mais je n’ai jamais osé le rappeler.
Femelle à baiser en lingerie
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