Le come back
J’avais été la maîtresse à couilles de ce mec viril, la cinquantaine, pendant presque deux ans : ce mec grand et costaud, viril et assez classe, m’avait fait jouir du cul souvent. À l’époque, il était célibataire et cherchait une salope pour ses gros besoins. Comme je travaillais à mi-chemin entre son bureau et son appartement, j’accourais à chaque fois qu’il avait envie de se vider les couilles, le provoquant souvent avec des photos de ma chatte prises dans les toilettes du bureau avant de le rejoindre pour lui vider les couilles.
Nous nous étions perdus de vue jusqu’à ce qu’il me recontacte via un réseau de rencontre : il avait reconnu ma chatte en photo dans sa culotte.
« – bonjour, voilà une petite chatte que ma bite connait
– Oui, et pas que ta bite, ta langue aussi l’a bien explorée
Après quelques échanges à se donner des nouvelles, il en vient au fait :
– Je viens de me faire larguer et j’ai besoin de trous pour ma bite. Je garde un bon souvenir de ta bouche vorace et de ta chatte humide. Tu ne veux pas passer me vider les couilles ?
Devant tant de compliments, je ne peux que dire oui et filer aux toilettes au bureau pour me faire une petite toilette intime. Ce jour-là je n’avais mis que mes Dim up et mon tanga noir sous mon pantalon.
3O min plus tard, je suis déjà devant la porte de son immeuble, l’ayant chauffé pendant tout le trajet avec mes SMS salaces. Ma chatte frétille à l’idée de retrouver cette bite et surtout cette langue qui m’ont tant fait jouir. Ce mec est normalement monté, mais il sait baiser comme personne et il m’a toujours fait jouir comme une reine.
Je grimpe dans l’ascenseur qui doit m’emmener au septième étage et recommence le rituel convenu entre nous.
Je profite de l’ascenseur pour me gazer au poppers, plusieurs shoots pour me chauffer. Arrivée sur le palier, la porte est entrouverte. Après avoir refermé la porte, je me prépare dans l’entrée : je quitte tous mes vêtements, ne garde que ma lingerie de femelle.
Je me mets à quatre pattes, n’ayant gardé que mes bas et mon tanga dont la dentelle met bien en valeur mes deux globes fessiers, le cul tendu vers la porte du salon : il aime découvrir en premier ma chatte anale.
Je me gaze au poppers encore une fois et je commence à gémir, c’est le signe que je suis prête à m’offrir à mon mâle. J’entends la porte grincer et quelques instants après, une fessée claque mon fessier. Je pousse un petit cri de surprise, mais ne me dérobe pas. Il enchaîne avec des caresses du bout de ses doigts : il suit la courbe de ma raie de haut en bas et immisce son doigt sous mon tanga pour effleurer ma rondelle rendue si sensible par l’excitation et le poppers combinés. Je devine qu’il se met à genoux derrière moi et juste après, sa queue déjà dure vient se caler dans ma raie.
Il se branle dans mon sillon fessier et se penche pour attraper mes tétons qu’il commence à travailler. Sa queue mouille beaucoup et je sens son pré cum humecter ma raie, facilitant sa branlette entre mes lobes fessiers. Il aime que je le laisse faire et sentir ma rondelle s’ouvrir sous ses actions. Je reprends du poppers alors qu’il enlève sa queue de ma raie, son corps s’éloigne de moi, mais rapidement son souffle vient caresser ma chatte, il baisse mon tanga et sa langue vient se poser sur ma rondelle. Il en fait le tour consciencieusement et commence à manger les bords ourlés de mon anus. Ce mec me bouffe le cul comme personne. Il me mordille les fesses avant de revenir introduire sa langue dans mon trou, aussi loin que possible.
Sa langue commence à me travailler en allant chercher toujours plus loin mes muqueuses qui commencent à mouiller. Je couine de façon peu discrète, les épaules touchant le sol et le cul en l’air, tendu vers l’arrière pour sentir sa langue bien au fond de moi. J’essaie d’augmenter le plaisir en écartant mes fesses à pleines mains, sa langue prépare le chemin pour sa queue. Au bout d’une dizaine de minutes, il se relève et vient se poster devant moi. Je sais que c’est à mon tour de lui donner du plaisir en lui suçant sa bonne queue. Je commence à bien nettoyer et aspirer toute la mouille sur son gland et sur sa hampe : son jus a tellement bon goût que je lui rends sa queue toute brillante et propre. Il m’écarte de sa queue :
– Arrête salope, tu vas me faire jouir, tu es toujours aussi bonne suceuse.
Je reprends sa queue et m’empale la gorge sur sa queue, il accompagne ma gorge profonde d’un petit coup de reins qui me fait tousser. Je me retire et au moment de lâcher sa queue, je referme ma bouche et aspire son gland en faisant tourner ma langue autour. Je sais qu’il adore cela. Il est tellement sonné par le plaisir qu’il chancelle et doit s’appuyer sur moi pour ne pas tomber. Il me décoche une claque sonore sur les fesses :
– Ça suffit, tu ne me feras pas jouir comme cela. Va te mettre sur le fauteuil et montre-moi ton cul que je l’embroche.
Docilement, je vais me mettre à genoux sur le fauteuil, mon cul est à la hauteur de sa bite et il se colle contre moi : sa bite le long de ma raie et son torse contre mon dos. Son gland dur cherche ma rondelle pendant qu’il me garde contre lui, ses doigts me tordant les seins. Sous l’effet du travail des tétons et du poppers, ma rondelle s’ouvre en s’humidifiant et il commence à pousser son gland dans mon conduit. Ma chatte ne résiste pas au traitement et je sens sa hampe progresser dans mon cul.
Il va doucement et je profite de la progression de chaque centimètre dans mon cul. Décidément ce mec sait y faire. Il se cale au fond de moi et j’en profite pour me reprendre du poppers. Ma chatte se détend pour sa queue. Il commence à me limer en sortant quasiment sa queue et en la replantant au fond de mon cul.
Je ne suis plus qu’un fourreau anal pour lui, il est bien serré dans mon cul et il se branle dans ma chatte. Je m’ouvre quand il s’enfonce et ressert mes parois quand il recule pour bien comprimer sa queue. Il est endurant et il me baise pendant 30 min dans cette position sans fatiguer, ma chatte ruisselle de son pré cum et ses coups de bite me rendent dingue. Son souffle s’accélère, je sais que c’est le signe de sa jouissance proche. Il me bourrine le cul frénétiquement jusqu’au moment où il sort de mon cul et me couvre les fesses de son bon jus de quinquagénaire. Je jouis sans me toucher sur le fauteuil.
Il vient se positionner en face de moi pour que je lui nettoie la queue : elle a le goût mélangé de son sperme et de ma chatte, j’adore et la pompe encore quelques minutes avant me laisser glisser dans le fauteuil.
– Et bien ma salope, tu tires toujours aussi bien le jus. Et maintenant que je suis célibataire, tu vas retrouver souvent le chemin de ma bite.
– Si tu me baises à chaque fois comme cela, oui, je vais souvent venir te voir.
Il prend une photo de mon cul explosé par sa bite :
– C’est pour me branler quand tu n’es pas là, je regarde ta chatte et cela me fait monter le jus.
Il n’a pas eu beaucoup besoin de regarder sa photo, je passe désormais tous les deux jours pour me faire grimper.
Femelle à baiser en lingerie
salopeabaiser@live.fr
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