La corvée du métro, ce matin. Ma voiture est au garage et je vais devoir prendre les transports en commun pour aller bosser. Je ne suis pas trop fan de ce moyen de transport, mais pas vraiment le choix.
J’arrive sur le quai, c’est l’heure de pointe. Je dois laisser passer une rame pleine à craquer avant de monter dans la suivante. Elle est à peine moins bondée, mais j’arrive à me glisser au milieu des gens. La ligne que je prends commence au milieu d’une banlieue et je me retrouve entre un rebeu et un black d’environ 22 ans, les deux en survêtements, casquette et basket. Deux bonnes têtes de killers. Je n’ose pas les brancher, je ne les sens pas réceptifs.
Au bout de deux stations, le rebeu descend en saluant son pote black. A la place, monte un mec black d’une trentaine d’années, super classe en costume cravate. Il a le crâne rasé, porte des lunettes à fines montures, un costume bien taillé et une cravate de marque. Je flashe littéralement sur lui et je profite des soubresauts du métro pour venir caler ma raie sur sa braguette. Je fais semblant d’être gêné par cette situation involontaire, mais j’appuie bien mon cul sur son bassin pour lui faire comprendre à quelle salope il a affaire.
Il me capte et semble prendre du plaisir à la situation. Il commence à faire des petits mouvements avec son bassin et je sens sa queue grossir dans son pantalon sur mesure. Il reste impassible, mais commence à être bien chaud entre les cuisses.
C’est alors que je me rends compte que le black de banlieue nous a grillé. Il s’avance vers moi et vient se coller face à moi. Tenant mes mains devant moi, elles sont au niveau de son pantalon et je sens tout de suite qu’il est dur et surtout bien monté.
Une station plus loin, des gens montent, nous pressant encore plus les uns contre les autres. Le black en costard en profite pour se branler carrément entre mes fesses pendant que le black de banlieue me prend les mains pour les mettre dans son fut. Je branle le banlieusard dans son survêt et le black en costard en profite pour se rincer l’œil par-dessus mon épaule. Le mec en costard me pelote les fesses et découvre à travers le tissu de mon pantalon les agrafes de mon porte-jarretelles. Il fait part de sa découverte à l’autre black en parlant doucement et nous annonce qu’il va descendre à la prochaine et que si nous voulons continuer, il faut le suivre.
Le black en costard nous précède : nous sortons dans la rue, mes deux étalons blacks et moi. 2 minutes plus tard, nous pénétrons dans un immeuble haussmannien dans les locaux d’une société d’investissement financier.
Le black en costard nous informe que nous allons être tranquilles : toute la boite est en séminaire et lui a dû rester pour traiter les urgences. Je réalise que je vais être l’urgence du matin et cela m’excite carrément.
Le black de banlieue est un peu intimidé : il est jeune et pas habitué à ce genre d’endroit malgré son air effronté.
Je lance le signal de la baise en m’approchant du black en costard, en me mettant à genoux et en ouvrant la braguette du costume. Il porte un boxer jaune et vert qui semble bien rempli. Je tire le boxer et sa queue bien noire me saute au visage. Je rattrape la bite au passage avec ma langue et commence à pomper.
Le plus jeune se déride et vient se placer à côté du mec en costard. Il me sort direct sa queue et se branle devant mon visage. Je change alors de queue. Je m’applique et alterne la pompe sur chacune des queues d’ébène.
Je commence à avoir mal à la mâchoire : ils se montrent très endurants et me forcent la gorge pour enfoncer entièrement leurs queues qui doivent faire plus de 20 cm, circoncises évidemment avec un gland ressemblant à un gros champignon.
Le mec en costard s’écarte et me dit :
« – mais dis-moi, tu as des choses à nous montrer sous tes fringues ? (il fait référence à mon porte-jarretelles qu’il a repéré quand il me pelotait le cul dans le métro.) »
Je ne me fais pas prier : je me relève, tombe mon pantalon et m’appuie sur le bureau devant moi en tendant mon cul en arrière. Le mec en costard siffle en matant ma lingerie et s’approche tout de suite pour me tâter la croupe et insinuer deux doigts dans ma chatte anale.
Me voyant bien ouvert, il s’affranchit de me bouffer la chatte et vient coller son gland sur ma rondelle. Pas le temps de respirer que déjà il me force le cul et vient taper dans mon vagin de mâle.
Il me dit qu’il a tout son temps et qu’il est endurant : je vais déguster. Le petit jeune en survêt est plus pressé lui. Il demande donc à me baiser rapidement. J’ai droit à un changement de bite en plein milieu du match de cul. Le petit jeune se défoule dans mon conduit. Il ne tient pas longtemps et me crème abondamment la chatte de son bon jus de black. Le mec en costard reprend immédiatement la place en venant tasser le jus du premier mec. Sa queue glisse bien, lubrifée par le jus de l’autre black et je sens que la situation l’excite bien. Le jeune black s’en va sans que le mec en costard cesse de me limer. Je couine tout ce que je peux sous les assauts du trentenaire. Je me caresse les tétons et me les pince, ce qui provoque des contractions de ma chatte sur la queue qui me baise généreusement.
Sa queue se raidit un peu plus et je sens des jets de sperme me remplir et se mêler à celui du black de banlieue. Quand il sort sa bite de mon cul, cela fait un bruit de ventouse et je sens immédiatement du jus me couler sur les bas le long des cuisses. Je me sens femelle et pute. Je remonte mon pantalon sans avoir joui et sans m’être lavé : je veux baigner dans le jus de mes mâles black le reste de la journée.
Le black me raccompagne à la porte en me laissant sa carte :
« – si tu veux des investissements, surtout dans ta chatte, appelle-moi... »
Femelle à baiser en lingerie
salopeabaiser@live.fr
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