La visite de l’appartement

J’étais en recherche d’un appartement à louer à Paris et je galérais enchaînant visite, dossier et déconvenues. Au bout de 3 semaines de recherches et surtout d’échecs, je reçois un matin un mail d’une agence à laquelle j’avais laissé mes coordonnées me disant qu’elle avait peut-être un appartement en exclusivité si je pouvais me libérer dans la journée pour aller le visiter. J’acceptais illico avant de régler les deux problèmes que la visite provoquait.

Tout d’abord obtenir l’accord de mon patron pour m’absenter en pleine journée, ensuite trouver le moyen de dissimuler ma lingerie de femelle sous mes vêtements. J’avais mis mon string noir, mes bas et un porte-jarretelles sous mon pantalon en prévision d’un plan cul avec un mec le soir même.

Ma crainte était que si je me hausse sur la pointe des pieds ou si je me penche pour scruter un détail, ma chemise sorte de mon pantalon et que l’on voit ma lingerie de salope. Je filais donc aux toilettes, pour descendre le plus possible mon porte-jarretelles dans mon pantalon.

L’après-midi, à l’heure dite, je suis devant la porte de l’immeuble et je vois un beau mâle sortir de l’immeuble et se diriger vers moi :

« - Monsieur X ?

- Oui c’est moi

- Je suis le propriétaire de l’appartement et je vais vous le faire visiter. »

Le mec me passe devant et commence à monter les escaliers, j’en profite pour le détailler : grand, entre 35 et 40 ans, les épaules carrés dans une chemise en lin blanc, le cul étroit moulé dans un pantalon bleu marine, des cuisses puissantes qui remplissent le pantalon, en résumé, un corps de sportif bien tonique. Le visage est avenant, la mâchoire carrée bien virile, des yeux noisettes pétillants, et un sourire de tombeur. Il se retourne vers moi en montant les escaliers et me sourit : je lui réponds par mon plus beau sourire et essaie de me montrer plus discret dans mon observation.

Arrivé au 5ème étage sans ascenseur, il ouvre une porte en face du palier et me laisse entrer. L’appartement est lumineux, un grand séjour, une cuisine séparée, une chambre petite et une salle de bains honorable.

Je commence à regarder en détail l’appartement avec le propriétaire sur les talons et, dans le cuisine, je me penche en avant sous l’évier pour regarder l’état de la tuyauterie. Ma crainte du matin se révèle exacte mon pantalon a glissé sur mes fesses et la dentelle de mon porte-jarretelles apparaît dans le bas de mon dos. je me relève rouge de confusion et continue mon inspection. Il ne semble s’être aperçu de rien.

Je termine par la salle de bains et je l’entends me dire que je devrais vérifier l’état de la baignoire. Je jette un œil et lui répond que tout me semble correct. Il insiste alors et, voulant à tout prix lui faire bonne impression, je me résous à me pencher sur la baignoire.

Elle est très bien cette baignoire ! Je n’ai rien à dire ! Sauf que je sens la main du propriétaire me palper le cul. Je me retourne interloqué et lui me dit qu’un petit cul dans sa lingerie, ça ne se laisse pas passer comme cela.

Il recommence à me caresser les fesses d’une main et essayant de déboutonner mon pantalon de l’autre. Mon pantalon tombe rapidement sur mes chevilles et j’exhibe ma lingerie ce qui rend le mec déchaîné. Il commence à m’insulter, à me traiter de petite salope aguicheuse, de trou à fourrer avec de la dentelle autour, de vagin de pute à crémer au bon jus d’hétéro.

Il me pousse en avant, je m’appuie sur le lavabo en me penchant légèrement dégageant un peu plus encore ma chatte. Il est surexcité : il me saisit un téton à travers la chemise qu’il triture pendant qu’il libère sa queue.

Je gémis comme une salope, je suis tellement sensible des tétons. Il positionne son gland sur ma rondelle et donne de petits coups pour forcer l’anneau.

Il continue et insiste : ma rondelle commence à céder mais je reste très serré. Il prend la boite de crème Nivea sur le bord du lavabo, l’ouvre et commence à s’en enduire le gland et le reste de la queue.

Il revient à la charge : d’une main il positionne sa queue dans l’axe de ma chatte et de l’autre main, il continue de me pincer le téton. Il s’enfonce jusqu’à la garde dans mon cul : ma bouche s’ouvre en grand de surprise et de douleur. Je n’ai pas le temps de souffler que déjà il me besogne le cul. Sa teub est tellement bien calée dans ma chatte qu’il libère sa seconde main pour saisir le téton resté libre. Il est concentré sur son plaisir, il fait tout pour que ma chatte s’ouvre pour le laisser aller plus loin au fond de mon cul. Il sait y faire avec une femelle, je jouis en même temps du cul et des tétons. Je n’ose me toucher la bite de peur de jouir trop vite.

Je tends mon cul en arrière, je vais chercher la bite avec mon conduit. Il me fourre tellement fort que mon vagin de mâle me chauffe à la limite du supportable. C’est un vrai bourrin, au sens le plus littéral du terme. Il me besogne en soufflant comme un bœuf, il alterne coups rapides et coups profonds. Mon cul mouille tout seul ce qui est signe de très grande excitation.

Il sort de mon cul et me traine par le bras dans la chambre : il se met derrière moi et me pousse sur le lit. Je tombe à quatre pattes. Il me fait baisser les épaules vers le lit et remonter mon cul gainé de dentelle le plus haut possible. Ce démon sait tout de moi ou quoi ? J’adore la levrette, c’est ma position préférée. J’attends la saillie encore plus humide qu’avant, il me jette un flacon de poppers sur le lit et revient me mettre son gland dans la chatte. Je comprends le message : pendant qu’il reprend son limage, je me gaze bien au poppers. Mon cul s’élargit encore plus et sa queue part dans tous les sens dans ma chatte. Il est plus qu’endurant car il va me baiser ainsi pendant plus de dix minutes : je prends du poppers régulièrement pour tenir le choc.

A un moment, il pose ses mains sur ma taille et les serre pour me tenir énergiquement le cul. Je sens que le moment de ma fécondation arrive. Son corps se tend derrière moi, ses mains se crispent sur mes hanches, sa bite durcit encore un peu et je sens le jet chaud de son bon jus de mâle me tapisser la chatte. Sa première éjaculation n’en finit pas comme s’il se vidait intégralement dans ce premier jet. Il se retire un peu pour me donner des petits coups de bite qui accompagnent ses éjaculations suivantes.

Je sens son jus aller et venir dans ma chatte sous ses coups de bite et j’ai l’impression de me remplir au fil des minutes. Quel juteur !

Il se retire quand sa queue commence à ramollir et j’ai l’impression d’être vide sans sa bite en moi.

Il s’absente et revient rapidement avec une serviette pour que j’essuie le sperme qui sort de mon cul.

Je sens que je dois partir, on n’est pas là pour un câlin. Je me dépêche de me rhabiller. Il me pousse vers la sortie en me pinçant une fesse et en me faisant un clin d’œil.

Je me suis retrouvé sur le palier encore sous le choc de cette baise sauvage et suis rentré chez moi sans passer par la case bureau.

J’ai finalement annulé mon plan cul du soir, ma chatte n’en pouvait plus après le passage du propriétaire de l’appart.