Stage de fin d’études, je trouve quelque chose à Madrid et viens m’installer pour quelques mois. Il ne m’a pas fallu longtemps pour m’immerger dans la noche madrilena. Je sortais beaucoup et tard et n’avais d’autre choix que de rentrer par les bus de nuit partant de la Plaza de la Cibeles. Ces bus étaient bondés et ramenaient tous les fêtards chez eux. Mon bus est à quai, je monte et me dirige vers le fond où il reste quelques places.
Je vais au dernier rang à gauche et m’assieds à côté d’un jeune mec au physique très brun, un peu vulgaire avec un tee-shirt ringard et un jean déchiré comme en portaient les mecs de banlieue de l’époque. Son jean est lacéré tout en haut des cuisses, devant et derrière, je m’en rends compte lorsqu’il se lève pour me laisser passer.
Je me rassieds et il commence la discussion : il est roumain, à peu près mon âge et comme moi il rentre de soirée. Il rejoint la caravane de ses parents dans un terrain vague à la lisière de la ville.
Il est bogosse et sympa. En discutant, il pose sa main sur ma cuisse et commence à me palper au travers de mon pantalon. Je suis un peu bourré et je lui dis de faire attention : « je suis gay et je pourrais me laisser faire ». Il sourit me dit de regarder son jean : il bande et le bout de son gland dépasse par la partie déchirée. Je tends la main et me saisis de son gland avec les doigts. Je commence à le malaxer tout en posant mon manteau sur nos genoux pour ne pas nous faire griller.
Sa queue s’allonge sous mes caresses, je me mouille les doigts avec de la salive et recommence mon petit travail.
Le bus démarre et prend la direction de la banlieue. Je continue à lui travailler la queue et il semble chaud comme la braise. Je crois que nos voisins commencent à se douter de quelque chose, vu les regards méchants qu’ils nous jettent. J’annonce à mon petit gitan que je descends à la prochaine. Il me dit qu’il descend avec moi.
Le bus s’éloigne, l’arrêt est éloigné de toute habitation au bord d’un parc. Il m’entraîne derrière l’abribus et dégrafe son jean, sa queue jaillit, bien droite et le gland luisant sous l’éclairage public. Je comprends le message et m’agenouille devant la queue pour finir avec ma bouche ce que mes doigts ont commencé.
Je le prends en bouche, sa queue est mouillée du précum que mes doigts ont fait monter. Je viens recueillir ce bon liquide avec ma langue et l’aspire en même temps que sa queue. Je me mets au taff : je lui bouffe la queue à 5h du matin en semaine derrière un abribus, comme une pute et j’aime cela.
Je tête, avale, aspire, creuse les joues … je veux juste lui assécher les couilles avec mes lèvres et ma langue. Il n’aura pas ma chatte, je veux son jus en bouche. Le petit taureau commence à s’exciter dans ma gueule, il pensait ne pas trouver de trou pour sa bite avant de monter dans ce bus. Je suis son vide-couilles de la soirée : je sens qu’il est chargé et qu’il va tout me donner : un premier jet me tapisse le palais, je le déglutis tant bien que mal, le second et le troisième sont tout aussi puissants. Je me régale de ce bon jus et lui aspire les jets suivants comme une salope. Il sort sa queue et finit de l’essuyer sur mon visage. Je tombe les fesses à terre, gavé par la dose de foutre qu’il m’a donnée à avaler.
Il est pressé : il faut qu’il finisse à pied, le prochain bus est dans trop longtemps.
De mon côté, je regagne mon appart sans faire de bruit pour ne pas réveiller mes colocs et vais me coucher sans me laver les dents : je veux garder le goût de mon roumain en bouche.
Femelle à baiser en lingerie
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