Cet été-là, jeune étudiant en quête d’argent, j’avais accepté un emploi rémunéré à Paris. Il s’agissait de tenir une boutique de vins & d’alcools pendant l’été. Les premiers jours sont dédiés à la compréhension du travail. Je me montre appliqué et le responsable de la boutique me laisse tout seul au bout de 4 jours pour partir en vacances.
Ma routine de commerçant parisien par intérim commence et les journées défilent entre la gestion des stocks, le remplissage des rayons, la vente et le conseil au client et l’encaissement.
Au bout de deux semaines, presque à l’heure de la fermeture, je vois débarquer un jeune homme d’environ mon âge, grand et fin, le genre minet. Je le trouve très beau même si ce n’est pas mon style.
Il me demande si je livre et, suite à ma réponse affirmative, me tends une enveloppe. J’en prends connaissance : un homme me fait une liste d’articles à lui livrer, le soir après la fermeture du magasin.
J’appelle le numéro de téléphone et une voix virile me répond. J’informe mon interlocuteur que je ne livre pas le soir et lui me dit que c’est dommage, qu’il aurait aimé m’inviter à boire à un verre et qu’il est producteur de cinéma. Je décline l’invitation et il insiste en me disant que ses films sont plutôt pour adultes masculins et que certains de ses acteurs seront présents.
Entre la curiosité et ma queue qui bondit dans mon slip, je me laisse tenter et lui promets de passer.
Deux heures plus tard, je sonne à la porte d’un hôtel particulier dans le quartier des ambassades. Je décline mon identité et suis invité à rejoindre le salon en haut de l’escalier d’honneur.
Le salon en question est immense et peuplé de 4 jeunes hommes et d’un homme mûr. Je reconnais le jeune qui m’a apporté le carton.
L’homme mûr, au moins 55 ans, se dirige vers moi une coupe de champagne à la main :
« - Venez jeune homme, nous allions commencer la projection du dernier film que j’ai produit ».
Je prends place à ses côtés dans un grand canapé profond et le film démarre sur le grand écran. Je comprends tout de suite que les quatre autres jeunes sont les acteurs du film.
Je les vois sur l’écran se sucer, se branler, se rouler des pelles, se doigter, s’enculer. Les quatre jeunes acteurs sont inspirés par eux-mêmes : ils se mettent à poil et recommencent à baiser entre eux devant moi. Je ne sais plus quoi faire, tellement je bande dur dans mon slip sans oser me joindre à eux.
C’est là que le producteur, plutôt beau mâle bronzé avec sa crinière argentée me pose la main sur le genou en me demandant ce que j’en pense.
Je marmonne difficilement que c’est très excitant et il me dit de me mettre à l’aise comme lui. Il défait alors son pantalon, il ne porte pas de sous-vêtement et j’aperçois sa queue. Elle est comme lui, racée avec des veines saillantes, un gland bien découpé et des poils grisonnants. C’est la première fois que je vois un mec aussi vieux à poil et il m’excite malgré la différence d’âge.
Il sent que je suis open et m’ordonne de baisser mon pantalon. Je suis la bite à l’air assis dans ce canapé devant 4 jeunes mecs qui baisent et le producteur porno qui me saisit la bite pour la branler.
Je suis dans un état second et j’imite le quinquagénaire : je me saisis de sa bite et commence à la branler en regardant les jeunes baiser devant mes yeux.
Le producteur lâche ma bite et passe son bras derrière mes épaules pour m’inciter à me pencher sur sa queue. J’approche ma bouche de sa queue et mes lèvres se referment sur son gland. Il jette sa tête en arrière sur le canapé et de sa main, pousse sur ma nuque pour que j’avale bien sa queue en totalité. Je ne vois plus rien que sa queue et ses poils et j’entends les bruits de baise du film et des jeunes.
Il me glisse un flacon sous le nez quand je remonte d’une plongée sur sa queue : je respire et commence à avoir chaud et être étourdi. C’est la première fois que je respire du poppers. Je suis complètement excité par ce produit miracle et je me mets à sucer comme une pute en manque la queue de mon mec mûr. Il commente ma technique tout en me donnant des conseils pour faire des gorges profondes. La première est dure à faire, je m’étouffe, mais dès la seconde, je sens son gland appuyer sur mes amygdales et je recommence. Il tend son bassin vers moi pour aller plus profond et je me régale.
Après une vingtaine d’aller-retour, il me fait mettre sur le dos, me relève les jambes et demande à un minet de venir me préparer le cul. Je suis sur le canapé, les jambes en l’air, le cul offert et je vois un jeune mâle se mettre à genoux devant mes fesses et commencer à me lécher la raie. Il passe sa langue le long de mon sillon fessier avant de darder le bout de sa langue. Je suis pris d’un frisson qui part de mon anus et remonte jusqu’à ma tête. La langue du jeune parcourt consciencieusement mon sillon fessier en insistant à chaque passage sur ma rondelle. Le quinquagénaire reste à mes côtés : il agace mes tétons qui se révèlent être une zone érogène supplémentaire et me fait respirer du poppers à intervalles réguliers. Ma queue se met à suinter de la mouille tellement je jouis de toutes les parties de mon corps. Le jeune s’en rend compte et vient collecter mon précum et s’en régaler avant de repartir entre mes fesses.
Au bout de quelques minutes, le quinqua le repousse et lui ordonne de repartir avec les autres jeunes. Il me tire par les jambes pour me ramener le bassin au bord du canapé et se met à genoux devant moi. Sa bite est en face de mon trou. Il me donne le flacon de poppers et me dit d’en reprendre :
« - je vais te démonter la chatte alors prends du poppers, petite sainte nitouche, tu sais comment ça marche maintenant. »
J’ai peur que son gland me déchire alors je me concentre sur la fiole magique. Il pose son gland sur ma rondelle et me dit de pousser comme si j’étais aux toilettes.
J’ai à peine commencé à obtempérer, qu’il pousse déjà son gland dans mon petit trou.
« - tu vas avoir une chatte à la place du cul quand j’en aurai fini avec toi, me dit-il
- Hum, baise-moi, j’ai envie que tu sois mon premier mâle, un mâle alpha qui me formate mes trous de femelle.
- Tu vas être servi, j’ai tout de suite vu ton potentiel de salope sous tes airs d’étudiant sage. Allez, fini de parler, prend ça salope. »
Et il accompagne sa phrase d’un coup de reins magistral qui me renvoie au fond du canapé. Je sens ses couilles me frapper le périnée d’un coup sec. Je suis emmanché jusqu’à la garde et je hurle sous la puissance du coup de bite. Mes parois anales me chauffent malgré le poppers.
Il se retire un peu et je sens quelque chose de froid couler dans ma raie : il me met du lubrifiant car il compte bien me faire la chatte comme un vrai mâle. Il recommence encore un coup qui me fait me redresser sous la puissance de l’assaut. Cette fois-ci, ma chatte prend la bite sans peine, il va pouvoir passer en mode bourrinage. Je subis ses assauts et j’en redemande : il me baise à grands coups de bassin et je tends mon cul pour aller chercher sa bite avec mon vagin de mâle.
Je suis secoué comme une poupée de chiffon, peu lui importe mon plaisir, il satisfait sa queue et je ne suis que le conduit qui l’enserre. Lorsque je pars trop loin, il me rattrape par les cheveux pour que mon cul ravale sa queue. Les jeunes acteurs se sont arrêtés pour nous regarder et se mettent en cercle autour de nous. Mon quinqua semble se rapprocher de la jouissance, ses coups de bite sont plus rapprochés. Il me tire un peu plus fort encore sur les cheveux, se cale au fond de mon cul et je le sens se vider d’une bonne dose de foutre. Je me sens femelle avec tout ce jus dans la chatte. Il a à peine fini de jouir qu’il sort de mon cul en se repoussant et s’en va sans un mot. Comme je tenais grâce à sa queue fichée dans mon cul, je m’effondre sur le canapé et en tournant la tête je vois tous les jeunes mecs se branler en ma direction. Ils jouissent l’un après l’autre et je suis couvert de sperme sur le torse, dans les cheveux, sur le visage. Je n’ai jamais vu autant de sperme de ma vie. Je jouis sans me toucher.
Tout le monde part sauf le jeune qui m’a accueilli et qui après m’être essuyé, m’a raccompagné à la porte de l’immeuble.
Je tiens à peine sur mes jambes en sortant mais je compte bien refaire une livraison chez ce client spécial.
Femelle à baiser en lingerie
salopeabaiser@live.fr
Autres histoires de l'auteur :