Jeudi soir, « the » soirée de la semaine.
Comme toutes les semaines, c’est le soir de la grosse chouille dans mon école de commerce. Au menu, de l’alcool, des clopes et des couples qui se forment de façons plus ou moins discrètes. Enfin surtout des couples hétéros, les homos se montrant encore très discrets.
L’uniforme du futur cadre supérieur en goguette sur le dos, je prends la direction du foyer des étudiants où a lieu la soirée pour une association dont je n’ai pas retenu le nom. Comme mes congénères, je porte une chemise cintrée ouverte sur le poitrail, un jean slim, des baskets pour faire décontracté, les filles sont en petites jupes et chemisiers.
À mon arrivée, beaucoup ont déjà picolé et je repère Alexandre, le mec sur lequel je flashe depuis le début de l’année : c’est le président du bureau des élèves, la star de la promo, blond, la coupe de surfer, en polo moulant et bermuda malgré la température de ce mois d’octobre. Une vraie petite bombe de testostérone qui embrasse la salle d’un regard conquérant en faisant des clins d’œil à ses potes. Accrochée à son bras, sa pouf du moment, crinière déployée, décolleté plongeant, jupe ras les fesses, se pavane, fière d’être la meuf du mec le plus populaire de l’école.
Je passe devant lui et j’ai aussi droit à mon clin d’œil : tiens il me calcule ?
Sans me leurrer sur ce geste quasi commercial, je poursuis mon chemin et file retrouver mes potes. La soirée file à grand train et à grands coups de shots d’alcool. Je commence à être un peu embrumé et ressens l’urgence d’une pause technique. Je repasse devant ce petit paon blond qui semble ivre mort, en tout cas moins ivre que sa pouf échouée sur un fauteuil à côté. Il me suit de son grand regard charmeur alors que je prends la direction des toilettes du second étage : ces w.c. sont peu fréquentés et je n’y serai pas dérangé.
Arrivé dans les toilettes, je m’isole dans une cabine et ferme la porte à clé. J’ai à peine le temps de défaire ma ceinture que j’entends la porte extérieure des toilettes s’ouvrir, des pas se rapprochent de ma porte et quelqu’un frappe à ma porte : « ouvre, je sais que tu es là, il faut que je te parle ».
Je déverrouille la porte et me retrouve face à mon fantasme blond qui me pousse dans la cabine et ferme la porte à clé derrière lui. J’ai à peine le temps de réagir qu’il se colle contre moi et que sa bouche dévore la mienne. Je me laisse aller à cette pelle enflammée et lui rends son baiser. Au bout de longues secondes, il se détache de moi pour reprendre son souffle. Je peux lui poser la question qui me brûle les lèvres : « pourquoi tu fais ça ? “
Il me répond : ‘parce que j’en ai envie depuis de longues semaines, tu m’excites et tu me plais et je veux jouir en toi’. J’en suis complètement retourné : le mec sur lequel fantasme tout le monde m’avait repéré et voulait coucher avec moi.
Je le laisse me déshabiller et me faire asseoir sur les w.c. : il défait son bermuda et me tend son sexe que je prends en bouche jusqu’aux couilles. Son sexe est long et fin, circoncis avec un gland de la grosseur de sa hampe, pas un super tbm, mais une queue droite et dure. Il semble excité, car il me donne de grands coups de bassin dans la bouche en poussant des râles. Il pose ses mains fines et racées sur ma tête et accélère le rythme de ses coups de boutoir, ma tête est bloquée par le mur et je suis obligé d’avaler sa queue selon son désir.
‘Putain tu m’excites’ me lâche-t-il avant de me relever pour me rouler une nouvelle pelle. Je suis sur un nuage, ce mec inaccessible est à moi.
Pas le temps de profiter de son baiser dévorant, il me fait tourner sur mes talons et vient caler son gland sur ma rondelle. Je flippe un peu : je n’ai jamais été sodomisé.
Il pointe son gland et en même temps me dépose des baisers sur la nuque et dans le cou, je me laisse aller en arrière et c’est ma rondelle qui vient s’ouvrir toute seule sur sa queue. Un petit rugissement de sa part me confirme que son gland est bien rentré et est comprimé par mon conduit vierge. L’alcool aidant, je prends la bite sans douleur, comme si je m’étais fait baiser de nombreuses fois.
Je tourne la tête pour reprendre notre baiser et il en profite pour s’enfoncer jusqu’aux couilles dans ma chatte. Je vacille sous le plaisir, mais je peux m’appuyer sur lui qui commence à me limer lentement. Il prend le temps de bien mettre sa queue au plus profond de mon cul et ressort doucement. Il recommence, et encore, et encore, en accélérant un peu plus à chaque fois. Je ne sais plus où je suis tellement je jouis du cul.
Au bout de 5 min, il bloque sa queue au fond de mon cul, je la sens se gonfler et se contracter, en même temps qu’un liquide chaud me remplit le cul : il vient de me féconder. Mon premier mâle vient de me dépuceler comme un roi.
Il prend alors conscience que cela fait 20 min qu’il me baise et que tout le monde doit le chercher. Il se dépêche de se rhabiller et de sortir de la cabine. Je reste seul, nu et debout, en me disant qu’il ne cherchait qu’un trou et qu’il ne me regardera plus. Je baisse la tête, triste et déçu. Je l’entends revenir vers moi : Alexandre me relève la tête et m’embrasse tendrement en me disant ‘à très bientôt’. Il repart en trombe.
Je me rajuste et me passe un peu d’eau fraîche sur le visage avant de retourner à la soirée. Mes potes me tombent dessus ‘où étais-tu ? On te cherchait pour partir !’ Je leur dis que j’étais aux toilettes en passant sous silence le moment le plus croustillant.
En passant devant mon dépuceleur, il me regarde interrogatif et je lui fais comprendre que je m’en vais. Pas de réaction de sa part.
Tant pis, je rentre et, après une bonne douche, je me mets sous la couette en repensant à cette baise d’anthologie.
Mon téléphone vibre : un message d’un numéro que je ne connais pas.
Je l’ouvre et je comprends :
‘Lui : hello BB, désolé pour tout à l’heure, mais je devais rester un peu pour régler certaines choses.
Moi : pas de souci, mais j’ai préféré rentrer. Au fait comment as-tu eu mon 06 ?
Lui : j’ai mes sources. Je passerais bien te voir ce soir.
Moi : il est tard et je te rappelle que tu as une copine
Lui : quand je parle de choses à régler… je l’ai larguée… Et je suis en bas de ton immeuble…
Il est monté et a squatté mon lit plus d’une fois au cours des mois qui ont suivi.
C’est lui qui, plus tard, m’a offert mon premier string et qui m’a donné le goût des sous-vêtements féminins.
Femelle à baiser en lingerie
salopeabaiser@live.fr
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