Enfin les vacances d’hiver, direction la montagne : je vais pouvoir chausser mes skis et descendre des kilomètres de pistes, et pourquoi pas des kilomètres de bites aussi. J’ai choisi d’aller dans une grande station sans charme mais où viennent pleins de jeunes mâles en bande de potes pour s’éclater. J’ai tout prévu : je porte ma lingerie sous mes vêtements de ski : tanga noir qui me rentre dans la raie du cul et me fait un cul rond sous la dentelle, bas, porte-jarretelles, serre-taille en dentelle noire et petite nuisette courte en haut. On ne peut rien voir sous ma veste et mon pantalon mais je suis tout émoustillé.
Je sillonne le domaine skiable, une appli de rencontres géolocalisées ouverte sur mon portable en permanence. Quelques touches mais les mecs sont là entre potes et pour s’éclater sur les pistes donc pas de zob pour ma bouche et ma chatte.
Je décide d’aller dans les bars le soir et, rebelote, du mâle excitant à n’en plus finir mais ils sont tous occupés à picoler et se faire des blagues entre potes.
Ma chatte a rarement été hautement mise à l’épreuve : des petits mecs partout qui puent la testostérone mais que je n’arrive pas à chauffer. De guerre lasse, à 2 heures du matin, je rentre au chalet et regagne ma chambre.
Avant de retirer mes dentelles, je jette un dernier coup d’œil à l’appli de drague et me rends compte qu’un mec est à 10m de moi. Il est forcément dans le même chalet que moi.
Je regarde sa description : 32 ans, 1,80m, 78Kg, chatain clair, yeux bleus, sportif, lituanien mais parlant un petit peu le français.
Je me rappelle mes voisins du petit déjeuner et me rend compte que c’est le mec canon mais discret avec sa copine bruyante et un peu vulgaire. Ma chatte est toute humide d’excitation.
Je le contacte :
- Bonsoir, je crois que nous sommes au même endroit
- Oui, peut-être, je suis au chalet X
- Moi aussi, au second étage
- Je ne suis pas seul, ma copine dort à côté
- Moi je suis seul et peux recevoir.
La discussion s’éternise : je lui explique que je suis une bonne femelle en lingerie féminine, prête à être saillie par un mâle, que ma chatte est brûlante de ne pas avoir été fourrée depuis plusieurs jours, que ma langue veut goûter du jus de mâle sans attendre. Mes messages le chauffent et il me dit qu’il va essayer de venir, sa copine dormant comme une bûche. Il me dit qu’il est bien monté, circoncis et gros juteur.
Je lui indique ma chambre, entre-ouvre la porte et me mets à quatre pattes sur le lit. Je n’ai laissé que la lampe de chevet allumée car je veux voir ce sportif du nord me baiser.
Je l’entends entrer et refermer la porte, je le vois dans le miroir, il est descendu en slip et en tee-shirt.
Il colle son bassin contre ma croupe et commence à se frotter à ma chatte, je sens son sexe grossir sous le tissu. Il me claque le cul et me traite de salope en accentuant sa branlette sur mon cul.
Il me doigte brutalement le cul, sans préparation, je me cabre avant de reculer mon cul. Il ajoute un deuxième doigt dans ma chatte tout en me faisant pivoter sur le lit. Je comprends le message : je baisse son slip et m’avale sa queue désormais bien dure. Elle n’est pas très longue mais prodigieusement épaisse. En caressant ses bourses, je me rends compte qu’il se rase et je prends bien en mains ses couilles lourdes et chargées.
Je tête sa queue comme si ma vie en dépendait, il m’embroche la gorge sans ménagement. Je bave un maximum en le suçant et creuse bien mes joues pour l’aspirer au maximum. Il est gros producteur de précum et je déguste et avale comme une avance sur le jus dont il va me nourrir.
Il me dit qu’il veut ma chatte, je me remets en levrette comme à son arrivée et attends la saillie de mon slave à grosse queue. Le gland est juste posé sur ma rondelle, je sens le séisme arriver, il cale bien son gros champignon sur mon trou et commence à pousser. J’ai tellement mouillé toute la journée à m’imaginer me faire baiser par tous les skieurs que je croisais que sa bite glisse toute seule dans mon conduit de salope.
Sa queue progresse sans discontinuer dans ma chatte. Enfin, après une journée en rut, j’ai ma récompense.
Il bloque au fond, je sens ses couilles battre les miennes. Il ne bouge plus, je sens juste les trépidations de sa queue à chaque afflux sanguin. Tout cela est bien gentillet mais j’ai envie de me faire démonter comme une pute, pas envie d’une baise calme. Je commence à serrer et relâcher mes sphincters sur la base de sa queue.
Sa queue devient dure comme du béton et il rugit : « salope, tu veux me faire jouir tout de suite. Ça ne va pas se passer comme cela, c’est moi qui décide et tu es là pour me vider les couilles uniquement . »
Il commence alors à me besogner dans tous les sens, je suis projeté sur le lit à chaque coup de boutoir mais ses mains solidement ancrées sur mes hanches me ramènent systématiquement sur sa bite. Je suis une poupée de chiffons entre ses mains.
Je perds la notion du temps, il est infatigable et ma chatte me chauffe tellement il me ramone.
Il sort de mon cul et me demande de me coucher sur le dos, la tête en arrière vers le bas du lit.
« -maintenant, je vais te nourrir grosse salope »
Il commence à me limer la gorge : avec ma tête en arrière, il va profond dans ma gorge et j’ai du mal à respirer.
Il me détruit la gorge avec sa queue de bucheron de la baltique. Je tousse et il consent à sortir de ma gorge :
« - je vais jouir maintenant et tu vas téter mon gland comme un chiot pour faire venir le jus et tout avaler comme une salope.
-hum hum oui »
Je prends son gland en bouche et l’enveloppe de ma langue : elle tournoie sur le frein, le méat et je suce à 90km/h. je me maintiens en tenant ses jambes que je sens se tétaniser : c’est l’heure de ma ration de foutre.
Une première giclée me remplit la bouche généreusement, mon palais est tapissé d’un jus épais au gout amer (il doit boire beaucoup de bière, mon lituanien).
Je me dépêche d’avaler car la deuxième rasade arrive juste après. Pas le temps de la déguster, je l’avale pour faire de la place à la suivante toute aussi généreuse. Putain, ce mec n’a pas joui depuis des mois ou quoi ?
Il sort sa queue et continue de balancer des rasades de foutre sur ma gueule et mon corps.
Je suis couvert de sperme et je jouis sans me toucher : ma lingerie est méconnaissable entre son jus et le mien. Il tombe à genoux à côté du lit. Après quelques instants, il se relève et remonte son slip :
« - c’était juste un plan, pas de mauvaise blague avec ma copine demain ?
- Ne t’inquiètes pas je saurai me montrer discret mais si tu veux revenir quand elle dort, par de problèmes pour moi »
Le lendemain, au petit déjeuner, je suis venu m’asseoir à sa table. Sa copine assommait toute l’assistance avec sa conversation inintéressante. Il est devenu tout pâle quand je me suis assis juste en face de lui, mais après, quand j’ai commencé à lui masser le paquet avec mon pied sous la table, il a viré au rouge.
Ses yeux me lançaient des éclairs, surtout qu’il a dû se lever avec son pantalon déformé par l’érection, mais il ne m’en voulait pas tant que cela, il est venu me baiser tous les soirs quand son otarie dormait.
Femelle à baiser en lingerie
salopeabaiser@live.fr
Autres histoires de l'auteur :