Le plombier

Mon voisin du dessous étant venu me signaler une fuite d’eau chez lui, j’ai pris rendez-vous avec un plombier pour rechercher la fuite et la réparer.

Rendez-vous est pris pour le jeudi matin : le plombier que j’ai seulement eu au téléphone m’indique qu’il sera là vers 8h et que je dois bloquer ma matinée au pire.

Le jeudi matin, je me prépare avant son arrivée. J’ai prévu de mettre ma lingerie de femelle (culotte fendue, bas, porte-jarretelles et serre-taille) sous mes vêtements car je me suis levé avec une humeur de chaudasse. Je porte une chemise un peu ample pour qu’on ne devine pas mon serre-taille sous ma chemise, le reste étant masqué par mon jean tout ce qu’il a de plus masculin.

A 8h05, la sonnette retentit : c’est mon plombier qui entre avec ses caisses de matériel. Il va les poser et revient me serrer la main. J’en profite pour le détailler : un petit mec au corps sec et nerveux, très brun, un visage taillé à coups de serpe, il est certainement d’origine portugaise vu son accent. Il a une poignée de main énergique et le regard déterminé. Il est vêtu d’un tee-shirt un peu fatigué et d’un jean rapé, une tenue qui ne craint rien pour faire des travaux.

Je passe devant lui pour lui montrer le chemin de la salle de bains d’où doit venir la fuite. Il s’installe et commence à chercher. Je le laisse tranquille et repart dans le salon où je dois passer des appels téléphoniques. Au bout de 20mn, je passe une tête dans la salle de bains pour savoir si tout se passe bien.

Il m’indique avoir localisé la fuite et me demande si je peux l’aider. Je n’en demande pas tant et lui demande ce que je dois faire :

« - je vais me mettre dans la baignoire et serrer ce boulon, vous restez à côté de la baignoire avec cette clé et maintenez le second boulon pendant que je force sur le premier »

C’est plutôt simple à comprendre et je me dis que c’est à ma portée.

il commence à serrer et j’essaie de tenir mon rôle. Mais Il force tellement qu’à un moment le robinet cède et un geyser d’eau remplit toute la salle de bains. Nous sommes trempés en deux secondes.

Je me précipite vers la vanne d’alimentation en eau de tout l’appartement pour la fermer. Quand je reviens, je réalise qu’il est trempé de la tête aux pieds et que moi aussi. Petit détail supplémentaire, ma chemise trempée est devenue transparente et on distingue bien mon serre-taille au travers du tissu. Il me jette un regard vicieux et me demande cash ce que je dissimule sous ma chemise.

Je n’ai rien à perdre, je retire ma chemise et baisse mon jean en le défiant du regard. Il se met à siffler :

« -la salope, et dire que tu me cachais cela sous tes fringues, j’ai bien fait de casser le robinet sinon je serais passé à côté de tout cela. »

Je commence à l’allumer en tournant sur moi-même et en tendant mon cul. il est toujours dans la baignoire et tend la main vers ma raie. Son doigt fureteur glisse le long de mes fesses et appuie légèrement sur ma rondelle pour en tester l’élasticité. Comme je me suis fait baiser la veille, elle s’ouvre sans difficultés et je sens que cela excite mon plombier.

Je lui dis de quitter ses fringues et de me suivre dans la chambre, j’en profite pour le précéder dans la chambre, retirer mes vêtements et me mettre à quatre pattes sur le lit. Quand il entre, il a une vue plongeante sur ma chatte offerte dans sa culotte fendue, mes bas, mon porte-jarretelles et mon serre taille.

« - tu es déjà en levrette ma salope, ça promet. »

Il vient se caler derrière moi, je n’ai même pas vu sa queue, je vais la découvrir avec mon cul.

Son gland pousse sur ma rondelle : un gland que je sens large et bombé comme un champignon. Mon cul a été tellement baisé la veille qu’il n’oppose aucune résistance à sa queue. Ma rondelle se referme sur la hampe du plombier qui est moins large que le gland. Centimètre après centimètre, il me met sa queue et quand je sens qu’il est au fond, j’évalue sa queue à une petite vingtaine de cm. Ill a une queue fine et longue avec un trop gros gland qui va me ravager la chatte.

J’attrape le flacon de poppers au pied du lit et sniffe profondément. Je commence à avoir chaud, à couiner et à me reculer pour aller chercher encore plus de bite. Il a compris : c’est le signal pour me démonter. Il ressort presque toute sa queue pour me redonner un grand coup de bite énergique. Il reste calé au fond de mon cul quelques instants avant de commencer à limer mon conduit.

Je m’offre à lui et surtout à sa queue. Il me baise de façon sérieuse, concentré, tout juste parfois lui échappe des mots en portugais que je ne comprends pas. J’écarte mes fesses à pleines mains pour que son gros gland aille fouiller plus loin ma chatte.

Ça l’excite et il commence à me limer frénétiquement, mon cul me chauffe tellement sous les coups de bite que, par réflexe, je contracte ma rondelle. Ça le rend fou et il me détruit la chatte à coups de bite.

Ses poils fournis de mec méditerranéen me chatouillent les fesses à chaque fois qu’il est au fond de ma chatte. Je hurle mon plaisir en me cambrant. Il sort brutalement de mon cul en me repoussant :

« - je vais jouir, viens mettre ta bouche de salope sur ma queue pour goûter à mon jus de mâle »

Je me dépêche de me mettre accroupi devant sa queue, ouvre la bouche et tire la langue.

Je vois ses couilles remonter d’un coup pour expulser son bon jus. Je viens refermer ma bouche sur son gland et le premier jet arrive, épais, âcre. Ce premier jet me remplit la bouche, je l’avale tout de suite pour pouvoir accueillir le second tout aussi copieux. Je déglutis encore une fois et je me prends un troisième jet en même quantité. Il n’avait pas joui depuis un mois ou quoi ?