Le mec marié

La semaine dernière, je me suis réveillé en chaleur avec une envie irrépressible de sentir une queue dans ma bouche et dans ma chatte avant la fin de la journée. Ce genre de besoins ne s’éteint que lorsque j’ai pu trouver un mâle viril et macho pour me fourrer les trous comme la bonne femelle que je suis. J’ai filé dans la salle de bains et me suis préparé en me rasant consciencieusement la chatte, je me suis passé de la crème sur les fesses et la fente pour la rendre douce, j’ai même tenté un doigt dans ma rondelle pour vérifier qu’elle s’ouvrait bien sous la pression.

Je suis ensuite allé mettre ma tenue de salope : quand je veux me faire baiser, je porte une culotte fendue noire en dentelle qui donne accès directement à ma chatte, des bas noirs, un porte-jarretelles, et un corset noir aussi à baleines et à lacer dans le dos.

J’ai mis mes vêtements d’homme par-dessus : pantalon, chemise, veste, …, et suis parti travailler : homme d’apparence, femelle en rut en dessous.

Dès mon arrivée au bureau, je me suis connecté à un site de rencontres où ma croupe en photo attire rapidement le genre de mecs que j’aime satisfaire : quarantaine, hétéro ou bi, bien viril, fier de sa queue et qui cherche une salope à fourrer. Après quelques contacts sans intérêts, un mec de 48 ans, hétéro actif, m’a contacté : il était marié, en costume cravate au bureau et cherchait une femelle à la fois sexy et un peu pute à baiser en plan ultra-direct.

Sa queue semblait bonne et épaisse comme j’aime et il était chaud comme la braise. Rdv fut pris pour l’après-midi et je suis rentré me préparer pour bien l’accueillir : je retire mes vêtements d’homme et reste en tenue de salope, je rajoute une jupe en satin noir et mes escarpins vernis noirs de 10cm de talon.

Il arrive : la porte est entre-ouverte comme convenu et il entre sans faire de bruit dans l’appartement. Je suis en train de repasser des vêtements, le dos tourné à la porte, et je sens le mec arriver derrière moi et me caresser le cul, je prends appui sur la table et je tends ma croupe, le doigt du mec s’insinue dans ma raie pour aller chercher et titiller ma rondelle, je pousse un soupir de satisfaction et frotte mon cul contre le pantalon de mon mâle ; il en profite pour remonter ses mains le long de ma taille sur mon corset et vernir chercher mes tétons pour les travailler, je commence à couiner et jette ma tête en arrière sur l’épaule de mon mâle.

Le mec me fait tourner sur moi-même : je suis face à lui et il m’appuie sur les épaules, je plonge sur la braguette, je commence à palper avec mes lèvres la queue au travers du pantalon pour sentir sa grosseur et donne des petits coups de langue sur les contours du sexe viril. J’ouvre la braguette, et fais sortir rapidement la queue pour la prendre en bouche. Je ne défais pas le pantalon, j’aime que le mec reste habillé au début.

Je suce longuement en fond de gorge la queue, je reviens sur le gland, je descends sur les couilles pour les prendre en bouche l’une après l’autre.

Au bout d’un moment ma chatte réclame de l’attention, j’enlève ma jupe en satin noir et me mets en levrette sur le canapé.

J’aime sentir le mec se mettre à genoux derrière moi et venir effleurer ma chatte avec sa langue, puis devenir plus insistant et me manger la rondelle, je couine et réclame de la queue,

C’est là que le mec se redresse, prend sa queue bien dure en main et vient appuyer son gland sur ma chatte, il se livre à de petites pressions et ma rondelle cède peu à peu. A chaque fois qu’il sent ma rondelle céder, il se retire et recommence. Je deviens littéralement chienne et réclame qu’il me la mette au fond de mon cul. C’est là qu’il enfile la capote qui lui donne le droit de me perforer.

Je sniffe un bon coup de poppers, ma tête commence à tourner, ma chatte s’échauffe un peu plus et s’ouvre. Il pose sa queue sur ma rondelle et pousse lentement mais inexorablement jusqu’à me la mettre entièrement.

Ma chatte sert rarement, il faut la prendre doucement au début mais dès que la bite du mâle est au fond, il sait qu’il peut se servir de mon cul comme il veut et accélérer le rythme et la force de ses coups de boutoirs. Je me mets à couiner comme une truie, je me redresse et il me chope les tétons pour les travailler pendant qu’il accélère le rythme de son va et vient dans mon cul, j’ai chaud, je veux qu’il me baise plus fort, qu’il essaie de rentrer ses couilles dans mon cul à grands coups de boutoir. Il me prend la queue et me la branle en même temps qu’il me baise et j’aime ça.

Je veux le voir me baiser et nous changeons de position : le mec se retire et me fait mettre sur le dos. Il prend chacune de mes jambes gainées de noir, les escarpins vernis noirs au bout de mes pieds, et les met sur ses épaules avant de remettre son gland à l’entrée de ma chatte et de pousser vigoureusement pour me remplir la chatte.

J’aime le sentir aller et venir en caressant mes jambes rendues douces par les bas noirs.

Il se penche sur moi et me roule une pelle bien baveuse pour étouffer mes cris qui pourraient intriguer les voisins. Je transpire à grosses gouttes et je sens ma chatte qui s’ouvre de plus en plus sous les assauts du mâle. Il me besogne comme un bon étalon.

Il a gardé sa chemise et sa cravate, son pantalon juste tombé sur les chevilles, je me sens pute et je jouis du cul. Au bout de dix bonne minutes à me défoncer la chatte, il commence à respirer plus fort et accélère, il est sur le point de jouir grâce à mes trous et je serre ma chatte au maximum pour lui tirer le jus avec mes fesses. Il sort de mon cul en me traitant de salope à bites, de pute à limer, il me dit qu’il va m’engrosser et que ma chatte est vraiment faite pour la bite. Il vire la capote et dans un dernier cri rauque et puissant (tant pis pour les voisins), il crache tout son bon jus sur ma raie. Je sens son sperme me couler sur les fesses et venir humecter ma rondelle complètement élargie.

Je n’ai même pas besoin de me toucher, ma queue crache son jus toute seule sur mon corset tellement il m’a fait jouir.J’en reste essouflé sur le lit pendant de longues minutes pendant qu’il file sous la douche : il doit rentrer chez lui, sa femme l’attend.

Après son départ, il m’envoie un sms : il veut me rebaiser à son retour de vacances. Il aura les couilles pleines de trois semaines de jus, je vais me régaler.