Premier épisode
Je vous avais laissé avec mon prof de chimie…
Il s’avère que, pour lui, je n’étais qu’un sextoy, un sextoy très serré.
À chaque fois, il se montrait doux le temps de me déshabiller. Mais une fois en moi, il n’avait plus aucune retenue, il ne se souciait ni de mon plaisir ni de mon bienêtre.
Heureusement j’ai eu mon bac, de justesse, et je suis parti faire des études.
Je vais passer cette période. J’ai eu quelques rencontres, mais rien pour du sérieux (j’étais trop occupé), aussi je ne les raconterai pas (enfin pas ici).
Me voilà donc jeune adulte de 22 ans qui s’insère dans le monde professionnel, bien décider à construire ma vie et à commencer par trouver un mec.
De nature timide, je me connecte sur un site bien connu (celui où on montre le service 3 pièces).
Je suis contacté par un mec, la quarantaine, il prétend en avoir une grosse de 18 cm… il a surement oublié qu’on pouvait voir les photos ^^
Mais bon il a l’air sympa, il a de la conversation, et j’aime bien la forme de son membre.
Le mec me dit qu’il est chaud, mais ne peut pas recevoir, je lui répond que moi non plus.
Qu’à cela ne tienne, il passe me chercher en voiture et m’amène dans un coin tranquille.
Le gars arrive avec 1 h de retard. Je monte, le mec redémarre et m’engueule : « putain, tu aurais pu mieux indiquer la route, 1 h que je tourne. Bon, où ya un coin tranquille ? »
Tout d’un coup pas rassurer, je lui réponds « je ne sais pas, je viens d’arriver ici »
Le mec balaye la zone du regard tout en conduisant.
« si tu n’avais pas envie, fallait pas me dire de venir ! »
Le mec pile et tourne sur le parking vide (il est 22 h) d’une petite boulangerie, face à la route.
À peine arrêter, le mec cale une de ses mains entre mes jambes et l’autre dans mon jean pour me tâter le cul.
J’en profite pour détailler son visage :
Il n’est pas vraiment beau, mais bon je ne me soucie que rarement du physique. Il a des yeux bleus, mais un regard dur.
Mon regard descend, il a un corps ni gris ni mince, pas vraiment musclé, le monsieur tout le monde.
Il pénètre mon petit trou avec l’un de ses doigts et je me tortille sur le siège. C’est plus fort que moi, j’aime le contact physique, et ses caresses entre mes cuisses m’excitent tout aussi.
Il se décide enfin à parler :
« en tout cas tu es très mignon… Désolé si je t’ai mal parlé, c’est juste que j’ai très envie. »
Une tentative de douceur ? Bien, c’est ce que j’aime chez un mec. Je me décide à approcher son entrejambe. Je caresse d’abord son jean.
La bosse est déjà là, que dis-je, le barreau. Le mec ne mentait pas, il est déjà tout dur.
Je défais son bouton, sa braguette et je descends un peu jean et caleçon.
On est loin des 18 cm annoncés (pourquoi mentir, je m’en fous de la taille de ta bite), mais elle est bien dure, courbée vers le haut, avec un petit gland tout mignon.
Je saisis sa verge et commence à le branler tout doucement.
Le mec continu à me doigter lentement. Je ne peux m’empêcher de l’embrasser en lui disant « continu ».
Il a eu un mouvement de recul, puis il est revenu vers moi en m’embrassant. Sa main gauche quitta mon entrejambe pour venir m’enlacer.
Après quelques minutes il s’écartait de nouveau.
« Tu veux bien le sucer ? Pas longtemps, je suis déjà chaud. »
Ah ah ! En toute modestie, si vous êtes déjà chaud, ne me demandez pas une petite pipe ^^.
Je commence par prendre son gland en bouche, délicatement, faisant tourner ma langue doucement. Une fois le gland bien humide, je glisse toujours lentement ma bouche jusqu’à avoir la totalité de sa hampe dans ma bouche.
Il ne m’a fallu que 3 aller-retour pour qu’il s’annonce vaincu, m’écartant en urgence afin de ne pas lâcher la sauce trop tôt.
« Viens on sort ! »
Le mec remonte vite fait son froc. Je fais de même et le suis sur le côté de la boulangerie.
Il se déshabille, enfile une capote, me baisse le pantalon, et me plaque contre la façade du bâtiment (c’était une vitre… J’ai dû laisser mes empreintes ^^).
Je l’entends cracher et je sens son gland qui se présente.
Je vais pour écarter mes fesses avec mes mains, mais il me les repose sur la vitre.
Il me saisit les hanches d’une main et guide son membre de l’autre et rentre lentement toute sa queue en moi.
Quand il arrive au fond, ses 2 mains viennent me caresser.
« J’hallucine, au fond sans lubrifiant ».
J’en suis fier, mais avec un inconnu ça fait peur, alors je temporise : « vas-y doucement quand même »
Honnêtement, c’était comme si cette bite était faite pour mon cul. Elle était rentrée « comme dans du beurre ».
Mais il m’a écouté et y est allé lentement pendant quelques minutes.
Malheureusement, il devait vraiment être très chaud ^^
Il a commencé à accélérer, ses mains se sont collées aux miennes, j’étais à sa merci, immobilisé contre la façade et lui me tamponnait avec force.
Vous vous dites : pourquoi il a dit « malheureusement » ?
Parce que ça a été beaucoup trop rapide ^^
Après une minute de ce traitement qui me faisait gémir et me chauffait à fond, il a fini par donner quelques coups de reins puis ses immobilisés en moi, essoufflé, il avait rempli la capote.
Après m’avoir embrassé, il est sorti et s’est excusé :
« Désolé, j’étais trop excité, et j’aime trop comment tu gémis. Je te ramène chez toi, mais j’espère qu’on pourra se revoir. »
En guise de réponse, je lui ai donné mon numéro.
Je pensais réellement avoir trouvé le bon.
PS Désolé pour les quelques fautes, j’écris sur mon téléphone et ce n’est pas pratique, après avoir relu mon premier texte, j’espère avoir été plus attentif sur celui-là
Je vais passer cette période. J’ai eu quelques rencontres, mais rien pour du sérieux (j’étais trop occupé), aussi je ne les raconterai pas (enfin pas ici).
Me voilà donc jeune adulte de 22 ans qui s’insère dans le monde professionnel, bien décider à construire ma vie et à commencer par trouver un mec.
De nature timide, je me connecte sur un site bien connu (celui où on montre le service 3 pièces).
Je suis contacté par un mec, la quarantaine, il prétend en avoir une grosse de 18 cm… il a surement oublié qu’on pouvait voir les photos ^^
Mais bon il a l’air sympa, il a de la conversation, et j’aime bien la forme de son membre.
Le mec me dit qu’il est chaud, mais ne peut pas recevoir, je lui répond que moi non plus.
Qu’à cela ne tienne, il passe me chercher en voiture et m’amène dans un coin tranquille.
Le gars arrive avec 1 h de retard. Je monte, le mec redémarre et m’engueule : « putain, tu aurais pu mieux indiquer la route, 1 h que je tourne. Bon, où ya un coin tranquille ? »
Tout d’un coup pas rassurer, je lui réponds « je ne sais pas, je viens d’arriver ici »
Le mec balaye la zone du regard tout en conduisant.
« si tu n’avais pas envie, fallait pas me dire de venir ! »
Le mec pile et tourne sur le parking vide (il est 22 h) d’une petite boulangerie, face à la route.
À peine arrêter, le mec cale une de ses mains entre mes jambes et l’autre dans mon jean pour me tâter le cul.
J’en profite pour détailler son visage :
Il n’est pas vraiment beau, mais bon je ne me soucie que rarement du physique. Il a des yeux bleus, mais un regard dur.
Mon regard descend, il a un corps ni gris ni mince, pas vraiment musclé, le monsieur tout le monde.
Il pénètre mon petit trou avec l’un de ses doigts et je me tortille sur le siège. C’est plus fort que moi, j’aime le contact physique, et ses caresses entre mes cuisses m’excitent tout aussi.
Il se décide enfin à parler :
« en tout cas tu es très mignon… Désolé si je t’ai mal parlé, c’est juste que j’ai très envie. »
Une tentative de douceur ? Bien, c’est ce que j’aime chez un mec. Je me décide à approcher son entrejambe. Je caresse d’abord son jean.
La bosse est déjà là, que dis-je, le barreau. Le mec ne mentait pas, il est déjà tout dur.
Je défais son bouton, sa braguette et je descends un peu jean et caleçon.
On est loin des 18 cm annoncés (pourquoi mentir, je m’en fous de la taille de ta bite), mais elle est bien dure, courbée vers le haut, avec un petit gland tout mignon.
Je saisis sa verge et commence à le branler tout doucement.
Le mec continu à me doigter lentement. Je ne peux m’empêcher de l’embrasser en lui disant « continu ».
Il a eu un mouvement de recul, puis il est revenu vers moi en m’embrassant. Sa main gauche quitta mon entrejambe pour venir m’enlacer.
Après quelques minutes il s’écartait de nouveau.
« Tu veux bien le sucer ? Pas longtemps, je suis déjà chaud. »
Ah ah ! En toute modestie, si vous êtes déjà chaud, ne me demandez pas une petite pipe ^^.
Je commence par prendre son gland en bouche, délicatement, faisant tourner ma langue doucement. Une fois le gland bien humide, je glisse toujours lentement ma bouche jusqu’à avoir la totalité de sa hampe dans ma bouche.
Il ne m’a fallu que 3 aller-retour pour qu’il s’annonce vaincu, m’écartant en urgence afin de ne pas lâcher la sauce trop tôt.
« viens on sort ! »
Le mec remonte vite fait son froc. Je fais de même et le suis sur le côté de la boulangerie.
Il se déshabille, enfile une capote, me baisse le pantalon, et me plaque contre la façade du bâtiment (c’était une vitre… J’ai dû laisser mes empreintes ^^).
Je l’entends cracher et je sens son gland qui se présente.
Je vais pour écarter mes fesses avec mes mains, mais il me les repose sur la vitre.
Il me saisit les hanches d’une main et guide son membre de l’autre et rentre lentement toute sa queue en moi.
Quand il arrive au fond, ses 2 mains viennent me caresser.
« J’hallucine, au fond sans lubrifiant ».
J’en suis fier, mais avec un inconnu ça fait peur, alors je temporise : « vas-y doucement quand même »
Honnêtement, c’était comme si cette bite était faite pour mon cul. Elle était rentrée « comme dans du beurre ».
Mais il m’a écouté et y est allé lentement pendant quelques minutes.
Malheureusement, il devait vraiment être très chaud ^^
Il a commencé à accélérer, ses mains se sont collées aux miennes, j’étais à sa merci, immobilisé contre la façade et lui me tamponnait avec force.
Vous vous dites : pourquoi il a dit « malheureusement » ?
Parce que ça a été beaucoup trop rapide ^^
Après une minute de ce traitement qui me faisait gémir et me chauffait à fond, il a fini par donner quelques coups de reins puis ses immobilisés en moi, essoufflé, il avait rempli la capote.
Après m’avoir embrassé, il est sorti et s’est excusé :
« Désolé, j’étais trop excité, et j’aime trop comment tu gémis. Je te ramène chez toi, mais j’espère qu’on pourra se revoir. »
En guise de réponse, je lui ai donné mon numéro.
Je pensais réellement avoir trouvé le bon.
PS Désolé pour les quelques fautes, j’écris sur mon téléphone et ce n’est pas pratique, après avoir relu mon premier texte, j’espère avoir été plus attentif sur celui-là
Cali
li.cali@yahoo.com
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