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3 | Toujours pas embauché...
Précédemment : après avoir été sélectionné pour passer un entretien d’embauche chez D-Com, une grosse agence de communication, je me suis retrouvé à pilonner sauvagement le DG de la société sur son propre bureau. Dans l’excitation j’y suis allé un peu fort en le transformant en une bonne lope soumise. J’avais oublié l’importance de l’Ego chez un patron. Deux jours plus tard le patron humilié souhaite me revoir. A peine arrivé, je me retrouve attaché et pris de force par la grosse bite de Tom, le directeur des opérations de la boîte, sous le regard vicieux du DG vengé…
Suite à ce deuxième entretien d’embauche, je suis rentré chez moi épuisé et souillé. Après m’être fait démonter par Tom, le directeur des opérations de la société D-Com, qui a embarqué mes vêtements en partant, je me suis retrouvé à poil avec l’homme de ménage. En échange de sa blouse et d’une paire de chaussures de travail, j’ai dû commencer par lui nettoyer la bite et me faire prendre ensuite. Comme j’avais le cul bien ouvert et lubrifié par le sperme de Tom, la petite queue de l’homme de ménage est rentrée et sortie sans que je m’en rende compte.
Le lendemain matin je sors à peine de la douche que quelqu’un sonne à la porte. J’attrape une serviette, en essayant de me sécher tant bien que mal et me dirige vers l’entrée.
Par l’œilleton je vois un homme de dos en veste. Je passe la serviette autour de la taille et entrouvre la porte.
- Oui ?
- J’ai un pli à vous remettre.
Je défais la sécurité et j’ouvre la porte. L’homme se retourne. Il est surpris de me voir avec juste une serviette à la taille. En me tendant le pli je vois qu’il me scrute de haut en bas. Il laisse trainer son regard sur mes pecs et mes abdos bien dessinés. J’avoue que me faire reluquer par ce mec me fait de l’effet. Ma bite commence à prendre du volume sous la serviette. J’essaye de penser à autre chose.
- Je dois vous signer un reçu ?
L’homme regarde la serviette et la bosse qui commence à se former.
- Oui, il faut me signer ça. Vous avez un stylo ?
- Pas sur moi. Entrez.
Je ne sais pas pourquoi je le laisse entrer. Je fouille rapidement dans un tiroir. Je trouve un stylo et me retourne vers lui. Un mouvement surement un peu trop brusque car au moment où je me retourne, la serviette tombe et laisse apparaître mon sexe déjà bien volumineux. L’homme sourit et fixe ma queue.
- Mmmm …
Puis il s’approche de moi, se met à genoux et gobe ma bite qui prend immédiatement ses 16 cm de raideur. Il met du cœur à l’ouvrage, enroule mon gland avec sa langue, caresse mes couilles de ses mains épaisses. Puis il accompagne sa fellation en masturbant la base de ma queue. C’est divin. A ce rythme je ne tarde pas à décharger 5 ou 6 jets bien épais dans sa bouche. L’homme avale tout et prend bien soin d’aspirer la dernière goute de sperme. Il se relève lentement, sort un mouchoir de sa poche et s’essuie délicatement les lèvres. Il me tend ensuite son bordereau de reçus.
- Signez là s’il vous plait.
J’approche, nu, la queue toujours bien gonflée. Je prends le stylo, lui signe son reçu et le raccompagne à la porte.
La journée commence bien. J’ouvre l’enveloppe en kraft qu’il m’a remise. Elle renferme une seconde enveloppe. Je la décachette et découvre 4 photos imprimées sur du papier A4. Je me reconnais, nu, attaché sur la table de réunion chez D-Com en train de me faire défoncer par Tom. Sur une autre, j’apparais une bite dans le cul, une autre dans la bouche. J’ai l’air d’aimer ça. Et c’est vrai que… bon. Il n’y a que ces 4 photos dans l’enveloppe. Rien d’autre. Je ne sais pas où ils veulent en venir. Mais je sens que je ne vais pas tarder à le découvrir.
C’est alors que sonne mon téléphone.
- Bonjour Monsieur.
Je reconnais la secrétaire du DG de D-Com.
- Monsieur le directeur voudrait vous faire une proposition et éventuellement vous présenter d’autres membres de la société.
- Ma candidature est retenue alors ?
- Vous êtes en short-list visiblement. Vous pourriez vous rendre disponible en fin de journée ?
Je ne sais pas pourquoi, alors que mon cul me fait encore souffrir je dis oui, tout en sachant très bien à quoi m’attendre.
En fin d’après-midi je retourne une 3e fois au siège de D-Com. J’ai mis un nouveau costume, une cravate. Mes chaussures brillent. Lorsque j’arrive, l’assistante du Directeur toujours aussi professionnelle m’accueille et m’installe dans une salle d’attente.
Après 5 ou 6 minutes la porte s’ouvre. Tom, le directeur d’exploitation, entre. Il est suivi d’un autre homme d’une trentaine d’année de type latino, très brun, très viril.
- Bonjour. Esteban, fait-il en me montrant du menton, voici le candidat dont je vous parlais.
- Bonjour, me fait Esteban.
Puis Tom s’adresse à moi :
- Merci d’être venu. Venez, le Directeur nous attend avec quelques membres du Conseil d’Administration.
Pendant que nous marchons Esteban me frôle les fesses. Je ne dis rien. Je me demande si j’ai bien fait de venir en fait. Je ralentis le pas. Je vois des toilettes sur la droite.
- Si ca ne vous dérange pas, je vais faire une pause.
Tom me regarde.
- Ok. Nous vous attendons.
Je pénètre dans les toilettes. Je me regarde dans le miroir et fais couler un peu d’eau fraiche sur mon visage. Je tente de reprendre mes esprits. C’est alors que s’ouvre la porte derrière moi et que le bel Esteban entre. Je croise son regard dans le miroir. Il se colle derrière moi, m’encercle de ses bras puissants et pose ses mains épaisses sur le rebord du lavabo. Je suis coincé. Je sens son souffle chaud dans mon cou. Je sens sa queue durcir contre mes fesses. Il approche son visage de mon oreille.
- Dans la salle de réunion, il y a 4 vieux dégueu qui t’attendent pour te faire le cul. Ils vont te foutre à poil, t’attacher et te prendre l’un après l’autre. Ils ont vu les photos, ils veulent la même. Je peux te dire qu’ils ne sont pas tendres. Physiquement ils sont gras et pas lavés de la teub pour que tu les décrasses. Pas sûr que ce soit une partie de plaisir. Ensuite ils te lâcheront plus. Tu seras leur vide-couilles attitré.
- Pourquoi tu me dis ça ?
- Parce qu’il est encore temps de ne pas y aller.
- Ils ont des photos.
- Tom et moi avons les photos. Pas eux.
- Et tu proposes quoi ?
- On te sort de là, on efface les photos. Mais il va falloir nous donner une compensation.
- En gros c’est les vieux dégueu ou vous deux ?! La peste ou le choléra.
- Vois les choses comme tu veux tu as 10 secondes pour faire ton choix.
Je réfléchis rapidement. Quitte à devoir y passer, autant que ce soit avec deux mecs canons. Dans les deux cas, je mets le doigt dans un engrenage que je ne maîtrise pas.
- Ok je viens avec vous.
- Suis moi.
Nous sortons des toilettes. Tom a disparu. Nous marchons rapidement vers un petit escalier que nous descendons 4 à 4. Il faut faire vite. Je n’imagine pas qu’ils vont me laisser partir comme ça. Je suis leur jouet. Nous arrivons devant une porte métallique. Esteban fait un code sur le clavier dans le mur et la porte se débloque. Nous pénétrons dans un garage rempli de berlines de luxe. Derrière les Mercedes et les Audi se trouve une fourgonnette blanche sans fenêtre. Esteban me fait grimper par l’arrière.
- Tu vas rester là et nous attendre sans faire de bruit. Pour être sûr que tu ne partes pas, tu vas me donner tes chaussures ton pantalon et ton slip. Dépêche-toi.
Je défais mes chaussures. Je baisse mon pantalon et mon petit slip noir. Je me retrouve à poil devant ce mec. Il m’observe songeur et fourre mes vêtements dans un sac poubelle. Il récupère mes clés d’appartement, mon portable et referme la camionnette. Je suis à moitié à poil à l’arrière d’une camionnette à la merci de deux inconnus.
Quelques secondes plus tard, je vois la porte se rouvrir. Esteban, se tient debout devant moi. Il déboutonne son pantalon, son slip est déformé par une bonne érection.
- J’ai besoin d’être sûr de ton choix, fait-il un peu gêné.
Je m’approche de lui. Ce mec est canon. Je colle ma bouche contre sa teub emprisonnée dans son boxer bleu marine. Ce l’excite encore plus. Je cherche son gland à travers le tissu. Il me parait énorme. Il a un sexe épais de latino. L’odeur est suave. J’attrape son slip des deux mains et le baisse à ses genoux d’un coup sec. Sa belle bite épaisse vient me frapper le visage. Son gland encore a moitié couvert de son prépuce bave déjà. Je l’aspire directement au fond de ma bouche. Il est trop épais pour une gorge profonde. Je m’occupe de son gland et finis de le décalotter avec la langue. Il a l’air d’apprécier. Il saisit sa bite avec la main et commence à se masturber dans ma bouche. Ses mouvements sont de plus en plus rapides. Il est pressé. Il doit monter retrouver les autres. Alors je donne tout ce que je peux. Ma langue entoure son gland et aspire sa mouille. J’accompagne ses mouvements.
- J’ai envie de toi. J’ai envie de prendre ton beau petit cul. En attendant tu vas m’avoir en toi. Tu vas avaler chaque goutte de ma semence. Bonne dégustation mec.
J’ouvre la bouche bien grande et lui offre ma langue comme un tapis. Il se branle de plus en plus vite. Sa respiration est saccadé. Il tend ses muscles. Je caresse ses larges cuisses musclées et poilues. Il lève les yeux. Je touche ses couilles avec le bout de la langue. Il étouffe un cri. Et je reçois 5 jets puissants de sperme odorant. J’avale bien docilement. Il me caresse la tête, remonte son slip et son pantalon.
- A tout à l’heure.
Nables
anthoine02@gmail.com
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