Coupe d'enfer !

2 mois enfermé à la maison et je ne me reconnais plus dans le miroir. Je suis mal rasé et surtout mes cheveux ont poussé un peu n’importe comment. Il y a urgence capillaire. Je me dis que Fab mon coiffeur pourrait venir boire un verre et me les couper vite fait. Mais au téléphone l’accueil est plutôt froid.
- Nan je peux pas. C’est trop loin chez toi. Demande à Téo, l’apprenti que je viens de recruter. Il habite dans ton quartier, il sera content de se faire un peu d’argent de poche.

En effet Téo ne s’est pas fait prier. Rendez-vous est fixé deux heures plus tard.
Le temps de faire un peu de rangement dans l’appart et Téo se pointe à la porte. 1,72m, mince, musclé sec, le visage très féminin, de jolis yeux verts, parfaitement coiffé et rasé de près, bref trop sophistiqué pour moi.
Je le fais entrer. Il me scanne rapidement de la tête aux pieds.

- Ah ouais y’a du boulot. On va rafraichir tout ça, t’inquiète.

Il me propose d’aller dans la salle de bains pour faire un shampoing. Je m’assois sur le rebord de la baignoire, pendant que Téo passe derrière moi et fait couler l’eau.
- Le mieux serait que tu enlèves ton t-shirt, ça t’éviterait d’être mouillé.
OK. Me voilà torse nu, les pecs et les abdos bien durs, devant ce mec que je ne connais pas et qui me shampouine délicatement. La douce caresse de ses mains sur mon cuir chevelu est agréable, excitante même. Je ferme les yeux et alors qu’il me rince je penche la tête sans raison. Ce mouvement le surprend et la douchette arrose mon pantalon.
- Merde désolé. Mais t’as bougé aussi. Bah t’es bon pour enlever ton pantalon. Au moins comme ça il n’y aura pas plus de dégâts.
Et c’est en slip que je m’installe sur une chaise pendant que Téo attrape ses ciseaux. Les 15 minutes suivantes sont très professionnelles. Téo s’applique et j’avoue qu’il est assez doué.

- Eh voilà !
- Cool merci. Je me sens plus propre tout à coup. Je me suis un peu laissé aller ces derniers temps.
- Ouais et à voir la broussaille qui sort de ton slip, j’ai l’impression que c’est le laisser aller à tous les niveaux.
Je rougis en me disant qu’il n’a pas vraiment tort.

- Tu me donnes 20 balles de plus et je te fais le maillot. Ça te dit ?

Je suis un peu décontenancé par la proposition. Je ne connais pas ce mec, il ne me plait pas physiquement et je n’ai pas forcément envie de me mettre nu devant lui. D’un autre côté j’ai une belle teube, un bon 15 cm bien épais au repos qui a toujours fait la jalousie de mes potes dans les vestiaires. Si j’accepte, il verra ce que c’est un mec, un vrai !

- OK pour 20 balles.
- On va mettre une serviette sur ton canapé et tu vas t’allonger, ce sera plus simple.

J’installe la serviette. Je baisse mon slip et je vois que les yeux de Téo ne quittent plus ma bite.
- Bah quoi t’as jamais vu un mec à poil ?
- Euh … si si … t’as une belle queue.

Je lui souris et je me rends compte qu’une bosse se forme dans son pantalon. J’adore me sentir dominant et voir que je lui fais de l’effet. Il sort de son sac ce qu’il me décrit comme de la mousse spéciale partie génitale, qui ne brule pas. Il en prend une noisette dans la main et commence à l’étaler doucement sur mes couilles et à la base de ma bite. Ses mains reproduisent la même caresse que pendant le shampoing. Il sait y faire. Il reprend encore un peu de mousse et l’étale plus bas vers mon joli trou, puis remonte. J’essaye de penser à autre chose sinon je vais me mettre à bander. Raté. Il continue et ma bite se met instantanément au garde à vous. Il est en train de reprendre le dessus. Je suis à sa merci. Il ne dit rien et se contente de sourire les yeux fixés sur l’épaisse barre de 18cm qui lui fait face. Il saisit alors son petit rasoir de coiffeur et passe la lame une première fois sur mes couilles.
- Ne bouge pas surtout. Je ne voudrais pas abimer un si bel engin.
La caresse de la lame sur mes couilles les fait durcir et m’excite encore plus. Je n’arrive pas à garder mon calme. Pour m’empêcher de bouger, il saisit mes couilles par la base en serrant légèrement ce qui me fait bander encore plus dur. Il attrape ensuite ma queue et la maintient fermement pour la débarrasser des poils qui l’encombrent à la base. J’ai envie qu’il me masturbe, mais non, il continue de raser.
- J’te fais la totale ?

Cette fois je n’ai pas rêvé. Il a envie de me sucer. Je suis tellement excité que je lui réponds oui. Sans broncher il s’attaque aux poils de mon pubis et à l’intérieur de mes cuisses. Je n’en reviens pas ! En 5 minutes il m’a rendu glabre comme un nouveau né, avec une bite de 18 cm dressée comme un mât de bateau sur un pont fraichement repeint.

- Retourne-toi.
- Quoi ?
- Retourne-toi je vais te faire le cul. Faut de la cohérence.
- Oh oui fais moi le cul. ! Je lui réponds sans réfléchir mi-souriant mi-provocant et me mets sur le ventre.

En quelques minutes plus un poil, mon petit trou n’avait jamais été aussi doux et accessible.
- Les finitions maintenant, fait-il en rigolant.

Il sort de son sac une huile à l’odeur envoutante et commence à m’enduire les fesses. Il reprend ses merveilleux massages sur mon cul et laisse glisser un de ses longs doigts fins dans mon œillet. J’en gémis de plaisir. Il s’y prend bien. Je le laisse mettre un deuxième doigt et me masser l’intérieur, jusqu’à titiller ma prostate. Je me cambre. La réaction est immédiate je sens le liquide séminal monter dans ma queue. J’essaye d’éviter l’éjac à tout prix. Alors que je suis concentré sur ce plaisir que j’essaye de retarder, j’entends un sachet que l’on déchire. Je n’y fais pas attention et Téo reprend son massage. J’ai l’impression qu’il essaye de me mettre 3 doigts. Il m’écarte les fesses. Et je sens une nouvelle pénétration, plus grosse, plus intense. Mais il est en train de m’enculer, je rêve !?

- Hey tu fais quoi ?
- Tu m’as dit de te faire le cul c’est ce que je fais.
Il s’est installé sur mes cuisses, sa bite dans mon cul et commence à me limer gentiment.
- Détends-toi. J’ai pas une aussi grosse bite toi. Tu ne vois pas de douleur, juste du plaisir.

Il a raison. J’ai l’impression d’être caressé de l’intérieur. À chaque fois que le bout de son gland vient toucher ma prostate, j’ai l’impression de recevoir une décharge électrique et mon corps entier se met à vibrer de plaisir. Il me baise le cul comme jamais pendant dix bonnes minutes. Je me tortille dans tous les sens, je transpire, je ne maîtrise plus ni mon corps ni mon plaisir. Ses coups deviennent alors plus rapides et plus puissants. Les décharges que je ressens sont de plus en plus intenses. Je retiens mon souffle. Je voudrais que ça ne s’arrête pas, mais mon corps ne m’obéit plus. Tous mes muscles se contractent, et sans que je ne puisse rien faire ma queue lâche des litres de sperme dans une multitude de spasmes que je ne contrôle pas. Téo sort sa bite de mon cul, et jouit entre mes fesses en poussant de petits cris brefs.
On se relève, sans rien dire. Téo a déjà remonté son pantalon. Je n’ai même pas vu sa queue.
Je suis assis sur le canapé dans l’huile et dans le sperme. Je suis sonné.
Téo saisit les 2 billets de 20€ sur le bar. Il les fourre dans sa poche et se dirige vers la porte.

- On a des cartes de fidélité au salon. Pour 10 coupes, t’en as une gratuite. Allez ciao.