Aujourd’hui mon pote Mathieu m’invite à visiter sa nouvelle maison. Une jolie bâtisse à une centaine de kilomètres de Paris avec une piscine. Bref l’idéal pour passer un bon moment loin de la pollution de la ville.
J’arrive en voiture à l’heure prévue et c’est effectivement un bel endroit que je découvre. Une maison ancienne entourée d’un magnifique jardin, avec une jolie pergola et une grande piscine. La journée s’annonce agréable.
- Salut Mathieu
- Salut
Mathieu est un beau mec, le charme de la seconde partie de la trentaine. Il mesure un bon mètre quatre-vingt, le corps fin mais musclé, les yeux verts, des jambes puissantes. Bref on se retourne facilement sur son passage. Il vit en couple mais adore chauffer ses amis par textos. De là à passer à l’acte…
Il me propose immédiatement un verre, un cocktail maison pour nous mettre à l’aise.
- Wow c’est fort !
- Bah quoi ?! t’aimes pas ?
- Si si… mais …
- Oui bah ça monte vite à la tête et ensuite on en redemande.
J’ai à peine fini mon verre, qu’il m’en tend un second.
- Tu me fais visiter ?
- Euh bah oui, on y va. Tu vas voir, cette maison est pleine de petits recoins sympathiques.
Il arbore un petit sourire malicieux. On commence par un grand salon, meublé de deux très grands canapés qui se font face. Une belle table basse en marbre noir ferme l’accès à une majestueuse cheminée. C’est joli. Puis on passe un long couloir qui dessert trois ou quatre chambres pas encore toutes meublées. Je pensais que Mathieu allait tenter quelque chose, mais rien. La visite continue jusqu’à une petite porte dérobée dissimulée par des boiseries identiques à celles de la pièce.
- Le passage secret, me fait-il.
Mathieu ouvre la porte, qui donne sur un escalier éclairé par quelques ampoules à filament. Il descend. Je le suis avec précaution. La différence de luminosité fait que je n’y vois pas grand-chose.
- Entre là.
- Où ?
- Attends je te guide
Mathieu se met alors derrière moi et m’attrape par la taille. Il me fait entrer dans une pièce encore plus sombre. Je n’y vois plus rien du tout. J’avance avec précaution rassuré par la présence de Mathieu qui est maintenant complètement collé à moi. Cette sensation me fait bander. Par chance il ne peut pas le voir. J’avance encore un peu.
- Stop. Tourne toi.
Je me retourne un peu gêné, mais je ne vois toujours rien.
- Lève les bras.
- Hein ?
- Lève les bras bien haut j’te dis, tu vas voir.
Je lève les bras et en un instant deux menottes métalliques se referment sur mes poignets.
- Hey mais c’est quoi ca ???
- C’est l’ancien cachot de la maison. Les propriétaires du 17eme siècle y enfermaient les voleurs. Il y a trois jeux de menottes comme celles-là qui descendent du plafond. Et attends tu n’as pas tout vu.
L’instant d’après, Deux autres menottes venaient me bloquer les chevilles.
- Hey mais tu fais quoi ?
- Attends. Il se trouve que le seigneur local faisait subir un certain nombre de supplices à ses prisonniers. S’ils acceptaient docilement leur traitement, il les libérait.
Je suis pris au piège. Je sens les mains de Mathieu toucher mon torse. Il les glisse sous mon t-shirt. Je sens quelque chose de froid aussi, une lame. En un instant il a découpé mon t shirt qui tombe au sol. Cette sensualité m’excite terriblement. Je frissonne.
Il poursuit tranquillement ma mise à l’air. J’entends mon souffle rapide raisonner dans cette cave. Il déboutonne un à un les boutons de mon pantalon. Il le baisse doucement. Puis le découpe d’un coup sec avec la lame et le jette dans la pièce. Je tremble un peu. Les bras me tirent. Mais je ne dis rien. Mathieu s’agenouille devant moi. Il embrasse mon sexe à travers le fin tissu de mon boxer. Ma réaction est immédiate. Je bande comme jamais, ma queue me fait mal. Je sens le tissu de mon caleçon s’humidifier. Je commence à me tortiller. De ses mains fermes il m’immobilise et continue à jouer avec sa bouche. Puis il se relève et je sens la lame de son couteau entrer dans mon caleçon. Le contact de l’acier contre mon sexe fait redescendre mon excitation. Je tremble. Il fait trainer. D’une main il me caresse délicatement le torse, de l’autre il caresse mon sexe et mes couilles avec la lame de son couteau. Je sens ma bite reprendre du volume. Ce mec m’excite.
Je lui murmure de continuer. D’un coup la lame découpe mon boxer qui tombe à terre. Je suis nu, les bras et les chevilles enchainées, le sexe bandé.
Un flash m’éblouit
- Petite photo souvenir !
Je n’ai pas le temps de réagir, qu’il a déjà mon gland décalotté dans la bouche. Je gémis. Il me suce comme un dieu, prend ma bite en gorge profonde, puis la ressort, lèche délicatement mes couilles et s’aventure vers mon petit trou serré. Je gémis. Je ne tiens plus en place. Je ne peux rien faire, sinon le laisser terminer ce délicieux supplice.
Il continue de plus belle. D’une main il saisit ma queue et la masturbe dans sa bouche. Je ne peux plus me contrôler. Au moment où mon gland touche le fond de sa bouche j’envoie un, puis deux, puis neuf ou dix jets de sperme. Ma jouissance ne s’arrête plus je suis pris de spasmes.
Il me alors libère les bras et je m’effondre à terre. Mathieu me regarde.
- Tiens voila les clés pour tes chevilles et pour la porte. Je t’attendrai sous la pergola. La journée n’est pas finie.
Il jette un trousseau sur le sol, se retourne et remonte dans le noir en courant. J’entends une porte claquer. Mais où sont les clés ?
A suivre…
Nables
anthoine02@gmail.com
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