1 | Fast...
J’avais 20 ans à la recherche d’un job d’appoint pour payer mes études. Un pote me dit de me présenter dans un fast food (très célèbre) un peu à l’extérieur de la ville.
- Ils embauchent facilement et ils payent 25% de plus qu’ailleurs. Je suis sûr que tu vas aimer, me fait-il avec un sourire bizarre.
Le surlendemain je me présente au fast food avant le coup de feu de midi et on me fait directement monter dans le bureau du manager.
- Alors comme ça vous voulez bosser chez nous ? On cherche des jeunes motivés, bosseurs, polyvalents…
- Je suis tout ca m’sieur, vous serez pas déçu.
- Vous présentez bien. Ici vous passerez par tous les postes. Faut s’adapter et être ouvert à tout.
- Je le suis monsieur.
- A tout ? Vraiment ? Dans ce cas vous commencez tout de suite. Je vous donne une tenue et vous faites le service de midi avec nous. Ca vous dit ?
- Pas de problème.
- Ah et il faut encore que vous sachiez une chose. Ici chaque semaine, un employé est mis à l’honneur. C’est l’employé de la semaine. L’employé de la semaine bénéficie d’une faveur particulière. Il a le droit d’exiger une et une seule chose d’un de ses collègues et celui-ci n’a pas le droit de refuser. Si vous êtes ok avec ça, vous êtes pris à l’essai.
Je réfléchis un instant. Un peu naïf, je me dis qu’il va falloir nettoyer les chiottes à sa place ou quelque chose comme ça. Et puis j’ai besoin d’argent, alors ça ne me gêne pas.
- Ok. Pas de problème pour moi.
Les premiers jours se passent sans problème. Je deviens un as du hamburger sous toutes ses formes, je m’entends bien avec l’équipe. Tout semble idyllique.
Vendredi soir avant de débaucher, le manager nous convoque tous dans la grande salle.
- Il est temps de connaître qui est l’employé de la semaine. Et cette semaine c’est Amara qui a réalisé la meilleure performance.
Applaudissements. Amara est un jeune mec noir de 23 ans environ. Il est grand très beau, assez discret, mais assez joueur en cuisine. Je n’ai pas encore vraiment parlé avec lui, mais il semble cool. Amara se lève et se met alors au centre de la salle. Il prend sa respiration et d’une voix solennelle et grave :
- C’est Mathias qui devra répondre à ma volonté.
Applaudissements. Mathias blêmit. Le groupe se disperse et je rentre chez moi, intrigué par ce qu’il vient de se passer.
Le lundi matin je croise Mathias dans les vestiaires. Il est pale.
- Ca va ?
- Oui oui et toi ?
- Oui. Dis moi, je suis nouveau ici. Qu’est ce qui’il s’est passé avec Amara ?
- Normalement, ca reste entre nous c’est le deal.
- Je comprends mais j’aimerais savoir ce qu’on peut demander ou avoir à faire…
- Bah si tu es employé de la semaine, tu peux demander ce que tu veux et l’autre ne peut pas refuser sinon t’es viré. C’est clair, non !
- Aller… Dis moi ce qu’il t’a demandé Amara.
- Nan.
- Aller…
- Ok. C’est la première fois que je suis nommé. Amara me tourne autour depuis des semaines. Il m’avait dit que s’il était employé du mois il me ferait ma fête. Quand les derniers clients ont quitté le restaurant il a baissé le rideau et m’a demandé cash de le faire jouir dans les cuisines. Il m’a entrainé derrière les frigos et m’a dit de me mettre au boulot. J’ai pas eu le choix, c’est le deal. J’ai baissé son pantalon et j’ai sorti sa bite. Un monstre, j’en avais jamais vu une si grosse. Un bon 22. Il me la mise direct dans la bouche en me disant que j’avais intérêt à bien le sucer et le faire jouir si je tenais à mon cul. Je peux te dire que j’ai fait tout ce que j’ai pu.
Je ne perdais pas une miette de son récit. Et je dois dire que plus il ajoutait des détails plus je sentais mon sexe prendre du volume dans mon slip.
- Et alors ? t’as aimé
- Je ne suis pas gay… et j’ai encore mal à la mâchoire. J’ai cru qu il allait me détruire la bouche.
- T’aurais envie de recommencer avec une bite plus normale ?
Il me regarde fixement
- Tu veux que je te suce ?
- On peut se faire plaisir tous les deux vite fait avant de reprendre.
Je m’approche de lui, me mets à genoux et lui desserre sa ceinture. Je fais tomber son pantalon à ses chevilles et approche ma bouche de son slip. Je pose mes lèvres sur le tissu et je sens sa bite de taille modeste commencer à gonfler. Je commence à le bouffer à travers le tissu en glissant mes doigts sous son slip pour caresser ses petites couilles imberbes.
Je le sens soupirer. Je baisse son petit slip et fait apparaître sa jolie queue. Une quinzaine de centimètres, bien droite. Avec un joli gland bien rose qui apparait sous mes doigts. Je l’enfourne directe. Je fais tourner ma langue autour de son gland, quelques gorges profondes faciles à faire.
- Arrête mec c’est trop bon. Tu vas me faire jouir.
Aussitôt dit , le petit éjaculateur précoce me remplit la bouche en poussant des petits cris.
- A toi maintenant
Tout tremblant il se met à mes genoux et ouvre ma braguette. Il essaye de sortir ma grosse queue sans succès.
- Il va falloir lui donner plus d’espace pour la faire sortir.
Je l’aide et fait descendre mon pantalon à mi cuisses. Je baisse aussi mon boxer et ma queue jaillit et lui frappe le visage. La première biffle de sa vie. Il attrape mes 18 cm bien épais avec les deux mains et passe sa langue sur le bout de mon gland dejà humide.
- Si tu t’y prends comme ça ,il y en a pour des heures.
Il me regarde l’air un peu désemparé.
- Ok on va faire autrement. Monte sur le banc et mets toi à 4 pattes.
Mathias ne bronche pas et me présente son cul . Vraiment soumis on dirait. Je balance un crachat sur sa raie puis un second. Va falloir lubrifier tout ça. J’enfile un préservatif qui trainait dans la poche arrière de mon jeans et me présente direct dans son cul. Son petit trou résiste bien. Je le remouille abondamment de salive et pousse gentiment. Je vois Mathias se contracter et étouffer un cri de douleur. Je continue de pousser, on est sensé prendre notre service dans 10 minutes. Mon gland force l’entrée et parvient à s’introduire. Il crie. Je lui balance une baffe et lui fourre son slip dans la bouche. Je continue à pousser jusqu’au fond. Je ne lui laisse pas le temps d’encaisser que je commence à le pilonner. Il est tout rouge et gémit à travers son bâillon. Je continue, j’ai envie de décharger. J’augmente la cadence au moment où la porte s’ouvre. Amara entre dans le vestiaire…
Nables
anthoine02@gmail.com
Autres histoires de l'auteur :