Cet été j’ai décidé de me faire un road trip aux Etats-Unis. J’ai atterri à Chicago et loué une voiture. Je devais rejoindre des potes qui m’attendaient dans le Tennessee. Ca veut dire des centaines de kilomètres et des heures seul dans ma voiture.
Après un premier jour un peu ennuyeux et une nuit dans un motel où je me suis effondré de fatigue, je reprends la route beaucoup plus en forme. Un café et un doughnut et me voilà à 90 km/heure sur une longue autoroute bien droite. Au bout de 2 heures, je suis pris d’une énorme envie de pisser. Impossible de m’arrêter sur l’autoroute et aux US, pas d’aires de repos… Reste juste à trouver une sortie. Un quart d’heure plus tard je sors enfin de l’autoroute et entre directement dans un village. Pas question de m’arrêter au bord de la route, il y a des gens et je serais accusé d’atteinte à la pudeur. Vive les US.
Je n’en peux plus, mon envie est de plus en plus pressante. Je prends la première rue à gauche vers un stade de foot. J’arrive au niveau du terrain vide, et je vois un logo WC sur une petite construction en briques. Je freine direct, je m’arrête, sors de la voiture et cours vers les toilettes. J’entre précipitamment, je zippe ma braguette, sors ma bite et me dirige vers l’urinoir. Soulagement ! Je suis en train de pisser lorsque je me rends compte qu’un mec accroupi dans le coin de la pièce me regarde. Je sursaute et me tourne vers lui par reflexe tout en continuant à pisser. Et… euh..je lui pisse dessus !
- Oh sorry
Je me retourne vers l’urinoir, alors que le mec s’approche à 4 pattes. Je sens une main m’attraper la bite et la diriger vers sa bouche pendant que l’autre baisse mon pantalon et mon slip jusqu’aux chevilles. Sur le coup ca me bloque je n’arrive plus à sortir une goutte. Il aspire ma bite dans sa bouche.
- Go on guy
Puisque c’est si gentiment demandé et que ma vessie n’est pas complètement vide, je me remets à pisser d’un jet puissant. Je sens le jet frapper au fond de son palais. Rien ne sort de sa bouche, il avale tout. Jusqu’à la dernière goutte.
Mais il n’en a pas fini avec moi. Il passe sa langue dans mon prépuce et décalotte doucement ma queue avec 2 doigts. Sa langue me nettoie le gland et aspire les dernières gouttes d’urines. Ce traitement commence à m’exciter et ma queue prend du volume dans sa bouche. Elle prend même beaucoup de volume, j’ai un 16cm assez épais, capable de déformer une mâchoire. Le gars est surpris, il semble chercher sa respiration, ma queue est comme coincée dans sa bouche. Ca m’amuse de voir ce mec s’étouffer. Je décide de le libérer. J’introduis mes doigts dans sa bouche, lui écarte la mâchoire et sors ma bite de là. Il prend une grande respiration en faisant beaucoup de bruit, puis se lève.
Il porte un long t-shirt qui lui cache à peine le sexe, pas de sous vêtement.
Il soulève son t-shirt pour me présenter le matos. Il a le cul ferme et une bite droite comme un i, collée à son bas ventre. Elle est bien moins épaisse que la mienne, mais très longue. Il me fixe des yeux, me pousse contre le mur et m’écarte les jambes. Il se remet à genoux pour me lécher les couilles. Il me tire vers lui pour pouvoir atteindre ma rondelle avec la langue. Je commence à couiner de plaisir. Il passe la tête entre mes jambes et lèche goulument ma queue, tout en me fourrant un doigt dans le cul… puis deux.
Il fait ca bien. Je crois que je couine de plus en plus fort.
Il se relève. Avec la main gauche il me maintient fermement contre le mur. Avec l’autre il étale un gros crachat sur sa bite. Je sens alors son gland se frayer un chemin entre mes fesses et atteindre mon petit trou humide. Mon trou est toujours très serré. Je crains les grosses queues, mais la sienne, fine et longue devrait entrer sans trop de douleur. Je me laisse faire. Je sens son gland forcer. Il me saisit par les hanches et m’oblige à me cambrer encore plus pour lui offrir mon cul. Il continue à pousser jusqu’à me déchirer l’anus. J’hurle de douleur. Il met sa main sur ma bouche pour m’empêcher de crier et continue de s’enfoncer. Sa bite est longue et il a décidé de la faire entrer en entier. Ca n’en finit plus. La douleur est dure à supporter, je vois des étoiles, je sens que tout m’échappe… un voile noir, je ne sens plus la douleur… je ne sens plus rien du tout.
Lorsque je reprends connaissance, je suis à poil sur la banquette arrière de mon 4X4, du sperme a séché sur mes fesses et mes cuisses. Mes vêtements ont disparu. Les vacances commencent bien !
Nables
anthoine02@gmail.com
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