Promener son chien est rarement une occupation très glorifiante. L’ego en prend un coup quand il s’agit de ramasser les petits besoins de la bête juste au moment où passe le plus beau mec du quartier. Pire, quand trois fois dans la même semaine je croise ce mec canon juste au moment où mon chien se laisse aller, je me dis que la vie est mal faite. Et son regard amusé le trahit à chaque fois : il se fout de moi.
Je décide alors de changer mes horaires de promenade pour éviter de me ridiculiser une fois de plus devant lui. Cette fois j’ai retrouvé ma dignité.
Un matin je fais le tour du quartier et tout se passe bien. Je suis à deux rues de mon appart, quand une lourde porte cochère s’ouvre devant moi. Un mec sort. C’est lui. Il me regarde.
- Alors on ne ramasse pas les crottes ce matin ?
- Euh…
Je ne sais pas quoi répondre, un peu surpris.
- Il est mignon ton chien.
- Merci… euh… toi aussi t’es mignon.
Je ne sais pas ce qui m’a pris de lui sortir ça. Ce mec me trouble tellement que je perds pied. Il me fixe quelques instants de ses yeux verts profond. Puis sans rien dire, il me tourne le dos et part dans la direction opposée. Je me retrouve comme un con la bouche ouverte avec mon chien qui me regarde avec… son regard de chien.
Le lendemain je décide de promener l’animal aux mêmes horaires et de repasser devant chez lui, mon côté kamikaze. En arrivant dans sa rue, je traine un peu. Je marche de plus en plus doucement. Et ce que j’espérais finit par arriver. La porte cochère s’ouvre et le mec sort de chez lui.
- Tiens encore toi. Tu m’espionnes ? Ou tu cherches quelque chose ?
- Pas du tout… Je promène mon chien.
- Pourquoi tu traines alors ? Je t’ai vu de la fenêtre.
Je deviens tout rouge. Je ne sais plus quoi répondre. J’ai encore perdu tous mes moyens. Et je sens ma bite durcir dans mon pantalon. Ce mec m’humilie et ça m’excite. Il me regarde à nouveau fixement. Son regard descend sur ma bosse. Je suis découvert.
- Tu bandes mec ?
- Euh non non.
Il s’approche de moi et m’attrape la bite à travers le tissu. Ce qui me fait bander encore plus dur.
- Si tu bandes.
Je n’arrive plus à parler. Je suis tétanisé.
- T’es un sale petit pd. C’est moi qui te fais cet effet là ?
Aucun son ne sort de ma bouche.
- Réponds-moi, dit-il en haussant le ton.
- Oui, je crois
Il me pousse alors contre la porte cochère de son immeuble, tape le code, ouvre la porte et me projette violement dans le hall. Il m’attrape par le haut du blouson et me traine vers le local poubelle. Je n’ai pas le temps de comprendre ce qui se passe qu’il a déjà refermé la porte du local en laissant mon chien dehors. Il me plaque contre le mur et sort sa bite de son jeans.
- C’est ça que tu veux ? Ma bite ?
Il m’attrape la tête avec les mains et me force à me baisser vers sa queue. Je n’ai pas le choix. Je me mets à genoux et j’approche la bouche de sa bite. Une demie molle longue d’une quinzaine de centimètres à vue de nez. Une belle épaisseur. Ce mec a vraiment tout pour lui.
- Qu’est ce que t’attends ? Suce moi.
Il pousse son bassin vers moi. Sa bite s’écrase contre mon visage. J’ouvre la bouche. Je passe ma langue sous son prépuce pour atteindre son gland et le décalotter. L’effet est immédiat, sa bite prend du volume dans ma bouche. J’ai l’impression d’être hameçonné. Elle prend des proportions énormes. Je crois que ma mâchoire va éclater.
Il s’en fout et commence à me baiser la bouche en essayant de s’enfoncer le plus possible en moi. J’ai le visage déformé, je manque de vomir à deux reprises. Je veux lui dire de se calmer, mais je ne peux pas parler. J’arrive juste à émettre des sons, mais je pense que ça l’excite encore plus.
Je suis complètement soumis. Ma bite est coincée dans mon pantalon. Je bande tellement que j’en ai mal. Je voudrais la sortir et me branler mais je n’ose pas enlever les mains de ses cuisses musclées, de peur de ne plus pouvoir amortir ses coups de boutoir.
- Alors tu morfles petite salope. Tu pensais pas te faire baiser par une aussi grosse queue en baladant ton clébard hein ?
Même en m’humiliant ce mec m’excite. Je sens que je mouille dans mon caleçon, qui doit être complètement déformé. Je sens la bave qui coule le long de ma bouche et de mon menton. Lui aussi mouille. Sa mouille est légèrement sucrée et bien visqueuse. Sa bite est gonflée au max. Quand il la sort de ma bouche j’ai le temps de l’observer avant qu’il ne me la remette. Elle est droite, longue d’au moins 19 centimètres, bien épaisse et parfaitement proportionnée. Une bite lisse, sans veine. Son gland est légèrement plus volumineux, c’est lui qui m’a hameçonné, rose et luisant de bave.
Le mec a attrapé sa bite d’une main. Il se masturbe tout en me remettant 10 bon centimètres dans la bouche. Je l’entends gémir…
- T’as quand même une bonne bouche.
Il a à peine le temps de finir sa phrase qu’il m’envoie ses premiers jets de sperme dans la gorge. Ses jets sont tellement puissants que j’ai l’impression d’avoir un embout haute pression dans la bouche. Il ne s’arrête plus de jouir. Avec une main il entoure le bout de sa queue et m’empêche d’ouvrir la bouche. Avec l’autre il me pince le nez.
- Si tu veux respirer avale tout.
Pas le choix. J’ai l’impression de faire un repas entier. Il m’a rempli. Je n’arrête pas d’avaler. Le pire c’est que son sperme, légèrement sucré, a bon goût.
J’ai à peine fini d’avaler son jus, qu’il retire sa bite de ma bouche, remonte son slip et son pantalon. Je suis toujours à genoux. Il me regarde.
- Si tu repasses par ici avec ton iench c’est le tarif. Et va te laver, ton pantalon est dégueulasse.
Il se retourne et part en laissant la porte ouverte. Je me relève un peu honteux. Mon pantalon est souillé. J’ai joui sans me toucher.
Nables
anthoine02@gmail.com
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