Depuis plus d’un mois maintenant je tourne comme un lion en cage chez moi. Rien à la télé. Et je crois que j’ai vu toutes les séries que les plateformes peuvent offrir. Ma queue me fait mal à force de la branler cinq fois par jour. C’est presque devenu une habitude pour rompre l’ennui. Je n’y prends plus aucun plaisir.
Il faut que je sorte, que j’aille courir un peu. Une heure tous les jours pour faire cinq fois le tour du pâté de maisons en petite foulée. Tu parles de sport ! Même pas un vestiaire surchauffé avec deux ou trois beaux mâles à mater. Enfin si : tous les soirs quand je finis mon 4e tour du quartier, sort un mec plutôt pas mal d’un immeuble voisin. Vingt-cinq ans environ, un bon mètre quatre-vingt, des muscles dessinés, mais pas une bête de salle de sport non plus. Brun, légèrement bronzé, les dents blanches et souriant même quand il court. La perle de sueur qui coulait de son front vers ses jolies lèvres parfaitement dessinées m’a filé une de ces gaules hier ! C’est dire je suis en manque. Il faut que je l’approche aujourd’hui. Je noue mes Nike flambant neuves et je descends. Mon t-shirt moule avantageusement mes biceps et mes pecs. J’ai 37 ans et j’en fais 5 de moins, je suis gaulé et très frais pour mon âge.
J’ai décidé d’aller courir un peu plus tard aujourd’hui pour être sûr de tomber sur lui. Bingo. Il sort de chez lui. Toujours aussi séduisant et bien moulé dans sa petite tenue de sport. Il a changé de short. Celui là, en coton rouge vif, est définitivement trop petit, et lui rentre dans les fesses, que je découvre bien fermes et musclées. Il laisse aussi apparaitre son sexe qui me semble de belle taille et très appétissant. J’en ai la bave aux lèvres et la queue qui gonfle dans mon short. Ce mec est bandant. Je fais en sorte d’arriver à sa hauteur quand il se met à courir. Il a compris mon petit jeu et me le fait comprendre par un grand sourire. Je rougis un peu, mais après tout… je décide de le suivre. Il accélère. Il est endurant. Je commence à souffler comme un bœuf. Après 20 minutes à ce rythme, je le laisse s’échapper et je m’arrête en sueur pour souffler. Je m’appuie contre un arbre. Je ferme les yeux quelques instants pour reprendre mon souffle. C’est à ce moment que quelqu’un me plaque contre le tronc d’arbre en m’écrasant la bite et les couilles contre le tronc.
Je tourne la tête. C’est lui.
– Alors gros PD tu manques de souffle ? Tu as le virus ?
Le mec ne me laisse pas le temps de répondre, d’une main il continue à me plaquer avec force contre l’arbre, et de l’autre il descend mon short et mon slip jusqu’aux genoux. Je pourrais me débattre, mais je suis comme hypnotisé, je me laisse faire.
– Tu fais moins le malin là le cul à l’air. Mais c’est qu’on a un beau p’tit cul bien ferme.
Il passe sa main délicatement sur mes fesses et laisse courir ses doigts jusqu’à mon petit trou serré. Il fait rentrer son index doucement. Je suis toujours incapable d’émettre le moindre son, mais je bande à mort. Le contact de ma bite bandée contre le tronc rugueux me fait mal.
– Mais c’est que tu bandes salope ! Tu es un vrai PD.
J’essaye d’émettre un son, en vain. Je suis tellement excité, j’ai du mal à déglutir. J’ai très chaud. Je sens quelque chose entre mes fesses. Ce n’est pas sa main. Le salop a baissé son short et a mis sa bite entre mes fesses. J’essaye de tourner la tête vers lui. Je voudrais me retourner voir l’engin qui s’est glissé entre me fesses. Mais il ne m’en laisse pas le temps il me plaque à nouveau violement contre l’arbre et me pénètre d’un coup sec. Je ne l’ai pas vu venir, mais je l’ai senti passer. À sec. Je hurle de douleur, j’ai l’impression d’être un clébard. Il s’en fout. Il commence un rapide va-et-vient dans mon cul. Ça me brule. Je plante mes dents dans une branche pour faire passer. Putain je morfle. Et l’autre ne me laisse aucun répit. Il continue de faire glisser sa queue qui n’en finit pas en moi. Il pousse le vice à aller le plus loin possible pour me plaquer encore plus fort contre l’arbre et me faire souffrir. Au bout de quelques interminables minutes, la douleur se transforme en chaleur et mes jambes se mettent à trembler. J’ai l’impression d’être en coton. Je ne sens plus mon cul, je ne sens plus ma bite qui doit être en sang contre l’arbre ni mon torse collé à ce tronc. Le mec continue de me pilonner. Il se fait plaisir, il souffle fort.
Il sort complètement de mon cul et me repénètre d’un coup jusqu’au fond. Ça me fait sursauter et hurler… de plaisir. Je suis en train de me faire violer contre un arbre et je suis en train d’aimer ça. Tout un coup je sens qu’il se tend et se colle contre mon dos. Il donne 4 ou 5 coups encore plus violents et je sens le liquide chaud se répandre en moi. Au même moment sans même me toucher j’ai arrosé le tronc de foutre blanc.
Il continue de me plaquer contre l’arbre. Il sort de mon cul, essuie sa bite sur mes fesses remonte son short et reprend sa petite foulée. Il n’a pas dit un mot.
Mes jambes ne me tiennent plus. Je m’effondre. Son foutre coule le long de me fesses. Je suis vidé, rempli, et heureux.
Les histoires de confinement sont purement fictives, un fantasme.
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LE VIRUS A DEJA FAIT DES MILLIERS DE MORTS
Nables
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