Ce jour là je remontais à Paris. J’abandonne ma voiture de location à l’arrière de la gare St Charles et me dirige à pied vers le hall. Comme j’ai une heure à attendre et qu’il fait chaud je me dis que je vais m’arrêter boire un verre. Les bars installés à l’extérieur étant en plein soleil, je rebrousse chemin et découvre que l’hôtel bon marché collé à la gare dispose d’une petite terrasse ombragée. Je m’installe à une table et commande un café. Comme je m’ennuie un peu je me connecte à une application de rencontre bien connue. Je me rends compte qu’il y a deux mecs à quelques mètres de moi. Et comme il n’y a que des familles sur la terrasse, je me dis qu’ils doivent être au-dessus, dans une chambre. Le premier disparaît soudain de l’application. Je tente le second qui se fait appeler « Mr Propre » et qui n’a pas mis de photo de son visage. Pas de réponse. Tant pis. Je bois lentement mon café allongé, quand passe devant moi un mec gaulé, très brun en short et t-shirt moulant. Ses biceps et ses pecs sont à l’étroit dans son fin t-shirt blanc qui fait ressortir son bronzage et ses muscles saillants. Je ne le quitte pas des yeux. Il s’arrête un instant, semble chercher l’entrée de l’hôtel. Il sort une capote de sa poche qu’il cache dans sa main. Je l’imagine en plein rencart. Et si par hasard il allait voir le mec qui ne m’a pas répondu. J’imagine la scène et je me fais un film tout seul devant mon café, au milieu des gosses qui crient. 15 minutes plus tard je revois passer le mec dans l’autre sens. Je suis certain qu’il est allé se vider les couilles. Je reprends mon tel et me reconnecte sur l’application. Mr Propre me répond.
La curiosité l’emporte. Je décide de monter à la chambre 214. Je règle mon café et m’engouffre dans l’hôtel. Je prends l’escalier pour éviter la réception. La porte de la 214 est entre-ouverte. J’entre. Mr propre est à poil, à quatre pattes sur le lit. Son cul est face à moi. Il a un gros boule, assez ferme. Le mec est trapu mais imberbe. Sur son dos une longue giclée de sperme coule vers la raie de ses fesses.
Je ferme la porte. Il ne dit rien moi non plus. Je passe la main sur son cul musclé. Son corps est chaud, brulant même. Il a des marques rouges sur les fesses. Le mec d’avant a dû le fesser.
- Baise moi.
Je baisse mon pantalon et mon slip juste en dessous de mes couilles, prêt à repartir. Je sors une capote de ma veste. Je déchire l’emballage avec les dents. De la main droite je me branle pour faire durcir ma queue. Même si j’ai trouvé la situation excitante depuis la terrasse, au pied du mur dans la chambre face à ce gros cul dégoulinant, je fais moins le fier. Mais comme je suis là, autant aller jusqu’au bout. Je ferme les yeux et j’imagine un mec canon. Je pense au mec d’avant, beaucoup plus mignon, qui est venu se vider les couilles rapidement.
Ma queue reprend du volume. Je déroule le préservatif. Ma queue est prête, j’approche du mec. Il a placé son cul à la hauteur de ma bite. Avant que j’ai pu faire quoique ce soit, il se recule d’un coup sec et aspire ma queue dans son cul. Je me retrouve en lui sans même l’avoir voulu. Il continue et me pistonne avec son cul. Il serre et desserre son anus autour de ma queue, c’est divin ! Je le laisse me masturber avec son anus de longues minutes avant de reprendre la main et le pilonner un peu violemment.
Dans l’action je n’ai pas entendu que derrière moi la porte s’est ouverte et qu’un mec est entré. Tout à coup je sens deux mains m’attraper les hanches. Je m’arrête net et tourne la tête. Je découvre un mec baraqué à poil, à 30 cm de moi. Il me sourit.
Avec un accent anglais il me dit qu’il nous observe depuis quelques minutes
- Je ne t’ai même pas entendu entrer
- Je suis discret
- Mr Propre, tu m’avais pas dit que tu avais fait venir un autre mec.
Mr Propre se met à ricaner et reprend son mouvement sur ma bite, pendant que l’anglais me fait un bisou dans le cou en me disant qu’il va m’enculer. Il baisse mon pantalon jusqu’aux chevilles. Je l’entends cracher dans sa main et se lubrifier la bite. Je ne bouge plus. Ses mains m’attrapent les hanches, son gland vient s’écraser sur ma rondelle. Ma bite est prisonnière du cul de Mr Propre. Je suis coincé entre ses deux males épais. La bite de l’anglais force le passage. J’hurle de douleur. Ca ne l’arrête pas. Il enfonce son interminable et épaisse bite dans mon cul tétanisé par la douleur. Mr Propre accélère ses va-et-vient, on dirait que ça l’excite. Pendant que j’hurle de douleur, il gémit de plaisir. Je pense même qu’il est en train de jouir. L’anglais commence à me pilonner. Je vais perdre ma voix à force de hurler. Je pense que ca l’excite aussi. Au lieu de ralentir, il accélère. Je l’entends grogner à chaque fois qu’il pousse sa queue au fond de moi. Un sportif dans l’effort… jusqu’à l’ultime « I come, fuck, I come ». Il décharge 5 longs jets dans mon cul meurtri puis se retire.
Je sens l’air frais de la pièce s’engouffrer dans mon cul qui ne se referme pas. Le sperme de l’anglais coule le long de mes cuisses. Mes jambes flagellent, je sens que je vais tomber. L’anglais me rattrape. Il me soulève et me jette littéralement à l’extérieur de la chambre. Je me retrouve la bite à l’air, le cul dégoulinant de sperme dans le couloir de l’hôtel avec un train à prendre dans 10 minutes…
Nables
anthoine02@gmail.com
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