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HISTOIRE

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Premier épisode

Plan imprévu

3 | Dans le salon

Le trajet jusqu’à mon appartement se fait sans un mot. Arrivés devant l’entrée, je me dis qu’il faut quand même que je lui fasse part de mes préférences.

« Je t’ai pas dit mais… »

« Chut ! Je sais qui tu es et ce que tu kiffes »

Les bras m’en tombent.

Il poursuit

« J’ai vu tes pics sur un site SM, je t’ai reconnu direct dans le métro. Il arrive quand l’autre gars ? »

« D’ici une demi-heure environ mais.. »

Je m’interromps parce que l’ascenseur arrive et une de mes voisine de palier en sort.

Salutations d’usage puis dès que les portes se referment sur nous, il me chope la bouche pour une pelle intense.

« J’ai hâte que tu me mettes le collier »

Je reprends mes instincts de dominateur (enfin !) et lui dis:

« Appuie sur le bouton 4, une fois arrivés à l’étage, tu fermes ta gueule »

« Ok, David »

Et en plus il connais mon prénom..il commence à m’agacer ce petit con. Je le retourne, passe ma main sous son T-shirt pour lui choper un téton et me colle à lui. Je lui lèche l’oreille et lui dis :

« Ici, c’est Monsieur, c’est bien compris ? »

Les portes s’ouvrent enfin au quatrième et, toujours collé à son corps finement musclé, je l’amène jusqu’à ma porte, fouille dans ma poche avec ma main libre et en sors les clefs. Je tourne la clef dans la serrure et fais de même avec son téton. Il grogne…

Je pousse la porte avec son corps et le lâche dès que le passage est libre. Il se vautre sur la moquette. Je le relève par le col et le conduit dans le salon. Je le place debout devant le canapé et m’affale dans la douceur du sofa.

« Reste debout, écarte légèrement les jambes, qu’elles soient à la même distance que tes épaules, passe ton T-shirt par dessus ton cou. »

Il s’exécute sans broncher. Je peux admirer ses petits tétons d’adolescent et salive d’avance de les triturer, les déguster, les mordiller. Mais je me réserve pour plus tard. Pour l’instant, je me caresse la queue, totalement gonflée toujours emprisonnée dans la toile beige humidifiée.

Je l’invite à avancer vers moi en prenant ses épaules et fait glisser son visage contre ma poitrine.

« Vas-y, fait moi les tétons avec tes lèvres à travers mon polo. Commence par le droit, quand le coton sera bien humide, tu passeras à l’autre. »

Il se débrouille vraiment bien mon inconnu du métro. Désormais, j’ai trois auréoles: deux sur chaque coté de ma poitrine, et celle plus que persistante, sur mon pantalon clair.

Je vire mon polo, le jette au milieu de la pièce et le fait mettre à genoux entre mes pattes.

Je prends ses mains et place son pouce et son index pour lui ordonner de me pincer les tits, et les lui fait rouler entre ses doigts. D’abords doucement, puis, progressivement il les serre de plus en plus fort en effectuant de petites rotations. Je suis aux anges.. Les tétons, avec l’aine, sont mes zones les plus érogènes hors zones classiques (bite, couilles, cul).

« Fais le mieux que ça » je gueule un peu mais pas trop.

Il me regarde un peu interloqué.

« Mieux que ça, ça veut dire plus fort »

Il ne faut pas lui dire deux fois, il appuie vraiment intensément, et je kiffe ma race.

Nos regards de pervers s’aiguisent en même temps, ma langue ne peut s’empêcher de mouiller et remouiller mes lèvres. Son regard n’a plus aucun secret pour moi désormais, si ses pupilles pouvaient parler, elles diraient « Je suis tout à toi ».

« Viens t’en occuper avec ta bouche maintenant, mordille doucement, et lèche de manière concentrique l’un, puis l’autre. Applique toi petit Batard, sinon, ma bite, tu peux l’oublier direct. N’oublie pas qu’un plan arrive d’ici peu et que je peux te virer fissa si le mec se débrouille mieux que toi. D’ailleurs arrête toi là, redresse toi et dégrafe ton ceinturon.»

Lentement. Il se remet debout, défait la boucle de fer et retire la ceinture des passants de son jean à l’entre jambes toujours bombée.

J’ai hâte de savoir ce qu’il porte en dessous. Une fois les boutons du froc dégraffés, je découvre un slip blanc Dscared2, bien rempli qui emprisonne une queue prometteuse en largeur sur le coté droit. Son jean glisse le long de ses jambes et viens s’arrêter au niveau des mollets.

Là je ne tiens plus, j’ouvre également mon froc et ma bite en sort comme un diable de sa boîte.

Il la regarde longuement et commence à se masturber devant moi.

"Woh woh woh… Qui t’as permis de te toucher ? Il baisse les yeux gêné et je lui ordonne de se mettre à quatre pattes entre mes jambes."

« Admire la teub de ton maître petit Batard, Dans son regard, je devine l’impatience qui le ronge .. Je lui chope la tête et approche sa gueule d’ange à quelques centimètres de ma bite.

« Regarde, regarde bien ce que tu vas devoir pomper d’un seul coup, d’un seul. Fait toi saliver et prends là en gorge profonde direct, je veux que tu la fasses disparaitre. Il avance un peu, bouche grande ouverte mais je l’arrête net.

« Quand tu l’aura bien à fond dans la gorge, je t’expliquerai ce que veux le mec qui doit se pointer. Il hoche la tête.

« Ouvre ! » Sa bouche est suffisamment humide pour que ma queue glisse jusqu’à la garde dans sa gorge bien accueillante. Je lui bloque la tête et il toussote à peine.

« N’arrête surtout pas de biberonner, et continue à jouer avec mes tits», ce qu’il fait à merveille.

Je commence le topo:

« Le gars qui vient est un actif dominateur qui veut se faire loper, C’est parfait que tu sois là parce que tu serviras de transition, tu vas l’exciter avec ta petite (grande !) bouche de bouffeur de queues et moi j’en profiterai pour le batarder en douceur pour commencer, puis quand il sera prêt, on ira dans la chambre où tu fera exactement ce que je te dirais de faire. »

Çà l’excite grave parce qu’il biberonne de plus en plus fort, de la bave dégouline de ses lèvres mais il a réussi l’exploit de ne pas la sortir de sa bouche. Son cul se cambre sans que j’ai besoin de le lui demander.

« Il ne sait pas que tu est là donc je compte sur toi pour lui faire passer un moment inoubliable. Tu sera peut être actif aussi, mais en tous cas, j’ai la ferme intention de lui faire pomper nos deux bites, ça lui rappelera des souvenirs… »

Sa bite à lui est toujours dans son slip mais le gland s’est échappé par l’élastique sur le coté. Il est circoncis, et commence à mouiller sévère. Je me penche, passe un doigt sur son urètre et récolte le précieux sésame pour qu’on se le partage, d’abord moi (je fonds de plaisir à cette salaison dans ma bouche, puis lui fais lécher le reste.)

Mais déjà l’interphone retentit, c’est parti pour quelques heures de plaisir et de découvertes, pour lui qui veut se faire dominer pour la première fois avec consentement.

Une fois le gars entré dans l’immeuble, j’en profite pour sortir de ma commode deux colliers, un en cuir, l’autre en métal, les pose sur la table basse et sors quelques produits d’usage, poppers, deux paires de menottes, l’une en cuir plus confortables, et l’autre, de vraies menottes de flics, métalliques. Je laisse le bâillon Ball dans le tiroir, je bâillonnerai au « naturel », c’est plus intime.

Le reste, si le besoin se fait ressentir, se trouve dans la chambre.. Divers plugs vibrants, pinces à tits, et martinets de circonstance (le plus petit, après tout c’est son premier vrai plan soumis.)

La sonnette résonne, je rajuste mon pantalon vite fait et demande au gars du métro de virer ses pompes et son jean. Il se retrouve en slip blanc et socquettes de la même couleur. Çà a un petit coté visite médicale qui n’est pas pour me déplaire. Mais il lui manque le collier en fer, voilà qui est réparé. Je lui demande de disparaitre dans la cuisine le temps que j’accueille mon invité.

C’est donc un peu débraillé que je l’accueille chez moi.

J’ouvre la blindée et découvre un gars d’a peu près ma taille, cheveux très courts, petites oreilles décollées (j’adore… et ça peut servir). Il est en tenue de sport, short mi-longs, qui laisse deviner de larges cuisses, des chaussettes de foots, des crampons (oh putain je kiffe) et un débardeur blanc qui colle à son torse de par la sueur. Il est plus costaud que moi et ça me plait. Loper plus fort que soi, c’est un de mes trucs préférés.

Je l’invite à entrer, lui fait signe de prendre place ds le canapé et lui propose une bière.

« C’est pas de refus, je crève de soif » dit-il un peu gêné par la situation inédite pour lui.

« Ramène deux Heineken, petit Batard ! »

Surpris, il voit arriver le Batard en question les mains prises par deux bouteilles bien fraiches mais pas décapsulées.

Une fois posées sur la table basse, le Batard du métro sort son briquet pour enfin virer les capsules. La première s’ouvre sans problème mais la seconde lui échappe des mains et, de par la secousse, de la mousse se répand sur la table.

Je m’énerve:

« Lèche tout ce que tu as laissé échappé de la bouteille, petit con, j’ai cleaner hier.

Ni une, ni deux, il est déjà à quatre pattes avec pour seule éponge sa langue.

« De toute façon, c’est tout ce que tu boiras… à moins que… »

« C’est qui ce gars, demande le rugbyman en se grattant les couilles? »

Je lui tends la canette et lui explique que ce petit gars va lui servir de transition pour son passage de domi à soumis. Je prends ma canette et la fait rouler entre ses jambes..

« Çà rafraîchis bien, non ? »

Il rigole.

J’explique:

« Tant qu’on est dans le salon tu vas te laisser aller et quand je te sentirai prêt, on ira dans la piaule pour que tu douilles un peu, à ta convenance bien sûr, mais pour l’instant, pour te mettre en route, le petit Batard va te chauffer un peu. Allez mec, au pieds du rugbyman. Enlève lui ses crampons. »

Il fait ça de manière tout à fait symétrique, défait les lacets en même temps, puis déchausse la pompe droite, puis l’autre. Il se remet à quatre pattes entre ses guiboles. Assis à coté sur le sofa, je lui chope les cheveux et plaque sa gueule contre la bite du gars et je commence à l’engueuler pour la bière renversée.

« Ben alors, un peu de nerfs, enlève lui son short. Le «collègue » de Chabal lève les fesses pour faciliter le glissement du vêtement. Le voilà en jockstrap, un classique parmi les classiques.

« Prends sa teub entre tes lèvres et fais le bien bander à travers le Jock. Ce qu’il fait divinement bien puisque l’autre durcit à vue d’œil. Un queue bien épaisse, pas spécialement longue, mais très épaisse. Il a une bite très droite, ce qui fait que son gland s’échappe par l’élastique de la ceinture du slip.

Il commence à lécher ce qui dépasse à petits coups de langues, réguliers et bien humides. Quelques centimètres de plus sortent et son gland, bien décalotté, se fait non seulement lécher mais pomper doucement. Les bruits de sussions et les premiers râles de mon invité m’excitent de plus en plus.

Je me lève et regarde le spectacle en sortant ma teub, pas encore totalement bandée.

Il est temps de m’occuper de la bouche fan du ballon oval. Il a la tête renversée donc je me place sur le côté et lui présente mes attributs. Je frotte mon gland contre ses lèvres et c’est le bout de sa langue qui viens titiller mon frein.

« Jusque l’urètre , puis tu reviens sur le frein, tu vas pas sortir d’ici sans avoir appris à bien sucer, c’est la base. » Sa bouche s’entrouvre et j’y glisse mon gland.

« Pompe maintenant » et mon gland se fait doucement aspirer.

Çà ne me satisfait pas alors je l’engueule.

« T’as intérêt à faire mieux que ça, déjà, c’est moi qui devrais être comme un pacha »

Du coup, je m’assois, et le place sans lui demander son avis à genoux entre mes pattes.

L’autre Batard n’a pas lâché le zob du rugbyman et s’allonge donc dos au sol, pour ne pas perdre le mouvement. Pour plus de confort, il sors la totalité de la queue et les couilles du Jocks pour pouvoir le biberonner au maximum.

« Reprends depuis le début, tu commence par me lécher les burnes, à petit coups de langues.. voilà comme ça, crache dessus et étale bien ta salive sur la surface de mes couilles. »

Il s’applique mais c’est pas encore ça. Je sors de mes gonds:

« C’est pas bien fait, si je suis pas satisfait, c’est 5 gros coups de zob dans la gueule que tu vas prendre. Allez compte: 1), petite bilfe sur la joue. 2) bifle plus forte sur les lèvres; 3) il tire la langue et j’en profite pour lui assener les trois bifles restantes crescendo.

« Merci Boss » susurre-t-il…

« Quoi ? J’ai pas entendu ? »

« MERCI BOSS !! »

« C’est mieux, on recommence. Cette fois-ci tu pars de la base des couilles et tu remontes le long de ma queue »

« Ok Boss »

« Je veux pas de ok Boss, je veux que tu le fasses, et bien !"

Il remet ça mais l’humidité de sa langue a disparue en remontant sur le frein…

Baffe, petite baffe… mais baffe quand même, il est surpris mais je ne le laisse pas souffler.

« Recommence, humidifie bien ta langue avant de lécher.

Et c’est reparti, cette fois il s’applique,

« C’est bien, mais tu t’arrête pas, de toute façon tu va bien me lécher la bite pour qu’elle glisse en gorge profonde direct, quand je te le dirai. Et regarde ton Boss quand tu t’occupes de sa teub..Ouais, comme ça, ne me quitte pas du regard. ».

Je le chope par les oreilles pour lui donner le rythme. Et il assure. Au bout de quelques minutes ma bite est trempée.Il est bon pour une bonne gorge profonde. Je le lui ordonne mais il s’étouffe dès que mes couilles ont touché son menton.

« C’est quoi cette pipe de merde, pour la peine tu vas te prendre dix coups de zob dans la tronche, c’est toi qui décompte, mais à 10, t’ouvre grand la bouche et tu sais ce que tu dois faire »

Neuf coups de matraque dans la gueule et à lorsqu’il prononce « dix », je lui pince le nez et cette fois, il la bouffe en entier, sans tousser mais j’abuse et lui bloque la tête pour qu’il ne puisse pas la sortir. Faut pas longtemps pour que de la bave épaisse sorte de sa bouche. Il se dégage, tousse pas mal mais je le rechoppe direct par les tifs, le baffe plus violemment. Il est un peu sonné, je me calme deux secondes.

Le Batard du métro, lui, s’en donne à coeur joie en revanche. C’est un pro car la queue du rugbyman est vraiment épaisse, Sa gorge est comblée.

Pour ma part, ça va être encore laborieux.

Peut-être que la laisse va le motiver un peu plus. Je la lui met autour du coup sans serrer trop fort. Pour faire un break, je le remonte jusqu’à ma poitrine pour qu’il me fasse les tétons, mais puisque’ils sont deux, autant en profiter.

Voilà donc les deux gars sur mes tétons mais bien sur, le batard du métro se débrouille bien mieux que l’autre.

« Vas-y, apprends lui » lui dis-je.

Et là c’est parti pour une leçon improbable… mais qui porte ses fruits. Il est pas si godiche que ça le mec en jock, il apprends vite et je me laisse aller dans le canapé, le souffle court, avec la main du Batard qui me caresse les burnes, et l’autre qui me branle doucement.

Je m’allume une clope pour que le plaisir soit complet, Je sais que dans quelques instants nous serons dans la chambre pour une suite, un cran au dessus… mais le rugbyman a encore des progrès à faire. Une bonne déculottée le motivera surement.

Les voilà tous les deux sur mes tétons, le gars du métro les mordille, tandis que le rugbyman les lèche. Je tire quelque lattes sur ma blonde et souffle la fumée vers le visage de l’un puis de l’autre. Une fois terminée, j’écrase le mégot contre l’épaule du petit jeune, ce qui a pour effet une morsure plus vive sur mon téton.. J’adore.

Le rugbyman toujours en jocks me regarde consterné. Je le rassure:

« Je n’irai pas jusque là avec toi, t’inquiète, mais, Bâtard, c’est quoi ton prénom ? »

« Julien »

« Julien, avant que je ne te brûle, ne flippes pas, il y a de la marge, je vais m’occuper de tes fesses, ton beau gros cul rebondi va en prendre un max, coté extérieur pour commencer. Lève toi, tu peux garder le jocks, une bonne correction t’attends dans la pièce à coté. Mais avant cela, il ya quelques souvenirs que j’aimerais te remémorer.. Tu sais de quoi je parle ? »

Il hoche la tête.

« Alors à genoux, range ta queue dans ton jocks et mets les mains dans le dos. »

Ni une ni deux, il se met en position.

« Reste comme çà, un moment, le temps qu’il faudra. »

J’invité l’autre bâtard à me suivre dans le dressing et lui fait part du plan que j’ai en tête.

« Tu vois là dans le tiroir du haut, j’ai des jeans moulants, déchirés et bleachés. Des chaussettes et des rangos aussi. »

Pas besoin de lui expliquer il est déjà en train de farfouiller dans le tiroir et en tire la tenue adéquate pour lui.

« Je préfèrerai que tu portes un slip en dessous mais les miens sont encore sur le séchoir sur le balcon, va vérifier si c’est sec et prends en deux, des blancs, de préférence.

Il reviens avec un bon vieux Dim blanc, et un Calvin Klein, gris clair. On fait à peu de chose près, la même taille. J’opte pour le CK, et lui enfile le Dim, un peu trop petit pour lui mais qui lui fait un paquet d’enfer. Je l’enlace pour une pelle baveuse et on se caresse mutuellement les burnes à travers nos slibards à peine secs. Il se remet à bander direct.

« Tu m’as pas dis ton prénom » je dis.. « Petit Bâtard » suffira qu’il me souffle dans l’oreille d’une voix rauque et aux relents de nicotine.. Va pour « Petit Bâtard »..

C’était mon pseudo quand j’étais soumis à un bolosse du BDSM, une Lope en puissance mais qui préférait jouer les durs.

Déformation professionnelle sans aucun doute, il était keuf, En banlieue nord, et « Dressé par les flics » l’avait fait kiffé,. Je me suis toujours demandé pourquoi puisque, manifestement, et d’expérience, son truc était d’inverser les rôles pré-établis dès le deuxième rencard.

Il n’avait pas apprécié que je relate cet épisode en commentaire (pourtant, lui, si avide de ce genre de chose) sur son site « terrain de chasse » et m’avait blacklisté direct.

Dommage, sa bouche était si accueillante.

Mais je peux quand même lui accorder le mérite de m’avoir mis le pied à l’étrier du BDSM.

Même si le plan en cours restera soft.. Du « lopage », comme il disait..

On enfile nos jeans délavés, chaussettes et rangers, noires pour lui, marrons pour moi.

Un dernier coup d’oeil dans le grand miroir, sourire complice et client d’oeil.. Je sens que ce « petit bâtard » a un excellent potentiel pour dominer notre ami sur les rotules, tête baissée et jock désormais auréolé d’une tâche qui en dit long sur son excitation.

Nous nous avançons, il relève la tête.

« Mais tu fous quoi là? Petit merdeux, continue de mater nos godasses.. Je passe mon bras autour du cou de mon partenaire, le regarde droit dans les yeux et pas besoin de parler.. il ouvre la bouche pour y recevoir un molard, fort bien visé. Ma bouche rejoint la sienne et une longue pelle baveuse démarre.

Une fois celle ci terminée, je me décolle et me place derrière le rugbyman.,attrape ses poing et lui passe la paire de menotte en cuir. Confortables, c’est parfait pour un premier plan de ce genre pour lui. Je prends mon temps, je veux qu’il kiffe la lenteur de la situation. Je fixe bien et reviens à ma place originelle.

J’ai la soudaine envie que le petit bâtard prenne les choses en main:

« Qu’est-ce qui te ferais plaisir ? »

Je m’attendais à un truc classique, du genre, qu’il nous lèche les rangos.. mais non, il regarde notre soumis d’un air pervers, et me sort:

« Je veux voir ce gars nous faire bander avec sa tête, écarte un peu les jambes, comme moi et avec son crâne, il va nous malaxer nos paquets.. Exécution immédiate! Hurle-t-il.

Et ça traine pas.. le soumis glisse sa tête entre mes pattes et commence à frotter son crâne rasé contre mon entre-jambe. Je bande direct quand il effectue de petites rotations et, ce qui n’est pas pour me déplaire, donne des tout petits coups de boules contre la couture de ma braguette.

« Bien.. à mon tour maintenant » dis le bâtard en me chopant le paquet avec sa main pour que le plaisir continue.

Pendant que l’autre poursuit son travail, l’invité surprise défait mon ceinturon, le fait glisser le long de ma taille et une fois en main, le lèche tout en me matant dans les yeux.

Que de scintillements pervers se dégagent de ses mirettes.. Il pousse le crâne du rugbyman en direction du sol, lui demande de cambrer, et là sans prévenir, lui assène un premier coup de ceinturon sur les fesses. Pas fort, puis un second, pas fort non plus.

« Je vous laisse faire, me dit-il en me tendant l’accessoire en cuir », après tout, c’est vous le Boss dans cette histoire ».

La voix de ce gars est hyperbandante et de la mouille s’échappe de ma queue toujours emprisonnée dans le slip et le jean. Je suis conquis, et, une fois la ceinture en main, je commence à frapper le cul bien rebondi de notre jouet. Plus fort que lui. Une fois, deux fois.. j’airai jusqu’à une dizaine de coups, jusqu’à je que je sente que l’autre n’en puisse plus.

Tout est tacite dans cette affaire. Pas besoin de « Stop », on se comprend et on s’arrête quand il le faut. D’ailleurs, l’expression faciale du rugbyman en dit assez, Entre satisfaction et douleur, des larmes commencent à couler sur ses joues.

En guise de récompense, je l’invite à relever la tête. Son regard se fige sur mon paquet totalement gonflé. Je dégrafe le premier bouton du jean. L’autre m’imite.

« C’est nos queues que tu veux? »

Les yeux embués par les larmes, il grommelle un « oui » trop chétif à mon goût.

« Pardon ? Qu’est-ce que tu veux ? »

Et là il se mets à gueuler d’un ton supplicié;

« Je veux vos teubs.. Je veux les bouffer jusqu’aux couilles, je veux les deux dans ma bouche, je veux que vous me baisiez la gueule ! »

Avec l’autre on se regarde et d’un mimétisme à coupez le souffle, on dégrafe nos jean moulants.

Avec la laisse, je le remonte à hauteur de nos slips.

« Commence par donner des petits coups de langues sur le pourtour du slip de mon pote ».

Il le fait fort bien et ne tenant plus, l’invité surprise sort ses couilles sur le coté du slip. Il lui ordonne de les lécher. Il fait ça fort bien alors je sors ma queue pour me branler lentement devant ce spectacle plus que bandant.

« Vas y, lèche les burnes du Bâtard, et regarde ma bite en même temps.. Ses larmes ont séchées et c’est avec envie qu’il reluque ma teub que je secoue lentement, de plus en plus lentement.jusqu’à me titiller le gland avec seuls, deux doigts humidifiés.

Je l’attrape par ses petites oreilles et fourre le maximum de ma bite dans sa petite gueule.

Il fait ça mieux que tout à l’heure, alors je m’abandonne à une gorge profonde. Parfaite, sans toussotements, rien, il avale tout.

« Tête progressivement, voilà doucement, respire bien par le nez. »

Je n’ai jamais été branché rugby, mais si toutes les troisièmes mi-temps sont ainsi, j’irai m’inscrire dès demain.

Il continue de bien biberonner devant le nez de l’autre qui n’a toujours pas sortie sa queue du slip mais que je tapote tranquillement de main libre.

Je l’attrape, libère sa bite du même coté que ses couilles sont sorties et le branle doucement.

Je suis au bord de la jouissance donc me retire et invite le rugbyman à pomper mon pote.

Il bave comme c’est pas permis et passe d’une bite à l’autre sans qu’on ne lui ai rien demandé.

Les gémissements pleuvent, de plus en plus sonores.. La tension est trop forte, il faut ralentir, alors d’un revers de main, je me dégage de sa bouche. Par réflexe, il se tourne vers le zob du batard mais je lui dis que non, que c’est terminé. Qu’il faut faire une pause en tout cas.

Il reste là, n’en croyant pas ses petites oreilles, le visage rougi par tant d’excitation.

« On va te laisser là, à genoux et attaché, faut pas abuser. Mais avant ça, je veux que tu nous dises que tu nous appartient »

« Bien sûr « répond-t-il du tac au tac.

« T’es bien sûr de cela ? »

« Je viens de le prouver, non ? Je peux pas faire mieux..

Mon partenaire imprévu et moi, on se regarde et je sais qu’il pense exactement à la même chose que moi. On ricane d’ailleurs..

Je l’attrape par la laisse et le fais avancer vers le salle de bain. Pas en mode dog training, j’ai toujours trouvé ça ridicule et grotesque, mais on fait pire.. et comme il a toujours les menottes on le porte jusqu’a la salle de bain où très franchement, il ne comprends pas vraiment ce qui lui arrive.

C’est par les aisselles que je l’attrape et l’autre par les pieds. Arrivés dans la salle d’eau, on le jette dans la large douche italienne. Il est en position foetale et je lui arrache son jock strap, le fais glisser le long des ses jambes musclées et le lui fourre dans la bouche.

Son regard est stupéfait, il a l’air d’un petit animal qui n’y comprend plus rien.

On a toujours nos jeans et juste la bite sortie du slip, on a débandé un peu durant l’opération ramassage de Lope.

Et là, debout et face à face, on commence à pisser. C’est moi qui commence par un premier jet en direction de la teub du batard qui m’imite direct.

Nos jeans s’humidifient assez rapidement. Puis nos jets de pisse se décalent contre le corps du rugbyman halluciné. Moi je vise son torse, l’autre son visage, plus particulièrement le jock qui sert de bâillon;

AlexandreBT

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