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HISTOIRE

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La raclée du coach

Merci à mon « fesseur » favori venu d’un autre continent, pour m’avoir inspiré ce texte.

« Le match le plus humiliant de toute la saison !!! » hurle le coach dans les vestiaires que nous venons de rejoindre après une rencontre avec le club que nous étions tous sûrs de battre aisément il y a pas deux heures.

Nous sommes tous là, en sueur et piteux du 5-0 que nous a collé l’équipe adverse, des gars bien moins bons que nous à l’habituée.

Il est vraiment vénère et fait les cent pas en nous traitant de nazes et d’autres noms d’oiseaux.

On a tous la tête baissée, honteux de notre « performance » et impatients d’aller nous doucher, comme si un quelconque gel douche allait nous laver de la raclée que les « footeux du dimanche » , comme nous les avions surnommés, venaient de nous infliger.

« Et relevez la tête ! Bande de tarlouzes que vous êtes ! »

En relevant les yeux, je vois que le coach me fixe tout en continuant ses pas, mains dans le dos. Son regard est furax et il commence à m’engueler pour deux passes que je n’ai pu rattraper, puis c’est au tour du gardien.

« Cinq putains de buts, non mais je rêve ! Cinq putains de buts que t’as laissé passer ! »

Rodolphe, le gardien n’en mène pas large…pas plus que moi d’ailleurs car le regard du coach lance des éclairs de rage sur nous deux tout particulièrement.

« Les deux, là, suivez moi dans mon bureau ! Les autres, allez vous douchez et cassez-vous, je veux plus vous voir avant le prochain entrainement. »

Soulagés, certains s’assoient pour déchausser leurs crampons, d’autres enlèvent leur maillots au plus vite pour rejoindre les douches.

Le coach se retourne et nous le suivons en trainant des pieds sachant que l’engueulade aller perdurer, peut-être même allait-il nous virer de l’équipe.

Nous quittons donc le vestiaire pour s’engager dans le long couloir qui mène au petit local servant de bureau à notre entraineur.

Il est arrivé il n’y a pas longtemps, prenant la place de Marco, le précédent qui avait été muté dans un autre club.

Le nouveau coach, Joey, est arrivé il y a deux mois à peine et nous avions tout de suite senti la différence dans sa façon de nous manager, repoussant nos limites de manière parfois peu orthodoxe comme la fois où il avait giflé un des joueurs qui s’était foulé la cheville…

Nous en étions tous restés bouche bée, mais devant son autorité naturelle, nous avions tous fermés nos gueules.

Il faut dire qu’il en impose: la petite trentaine, dans les 1m85, excessivement musclé, surtout des bras, ce qui est rare pour un footballeur, mais c’est surtout son visage qui en impose. Mâchoire carrée, sourire (quand cela lui arrive…) carnassier, le cheveu blond et raz et des yeux bleus très clairs mais rien à voir avec le regard du beau Marc Lavoine.. non.. pas de ça ici. Des yeux « revolver » certes, mais pas de ceux qui vous font chavirer comme ceux du chanteur, mais qui vous clouent sur place, vous tétanisent.

Jamais un si petit trajet, celui des vestiaires au bureau, ne m’avait paru aussi long.

Il ouvre la porte et nous fait entrer dans ce petit espace qu’il a réaménagé à sa façon depuis le départ de Marco:

Sur les étagères trônent coupes et différents trophées gagnés par ses équipes précédentes, et sur les murs, divers fanions et surtout des photos de lui en action sur le terrain. En entrant, l’une d’elles retient mon attention, une photo en noir et blanc où il doit avoir la vingtaine, où, apparement très énervé, il fait un doigt d’honneur au photographe en se touchant le paquet…curieux choix pour sa déco vraiment perso, où on ne voit finalement que lui.

Seuls deux clichés avec son équipe, le reste, c’est lui, lui, lui, et encore lui.

Il s’assoie dans son large fauteuil, pose les pieds sur le bureau et nous fixe l’un après l’autre.

On reste là, dans un silence assourdissant, comme deux cons les mains derrière le dos, le regard bas.

Après nous avoir longuement scannés du regard, il prend enfin la parole:

« Sacrée raclée qu’ils vous ont mis, les soit-disant footeux du dimanche, hein?.. Qu’est-ce que t’en pense toi? » dit-il en s’adressant à Rodolphe.

Lui, d'habitude grande gueule, bredouille, un  « Oui, Coach » à peine audible.

« Quoi ? J’ai pas bien pigé ? »

« Oui, Coach, en effet on a pas assuré »

« Une raclée mémorable tu veux dire, et dont vous allez vous souvenir longtemps ! Virez moi vos maillots et vos shorts immédiatement ! »

Rodolphe et moi nous nous regardons d’un air aussi surpris l’un que l’autre mais on a à peine le temps de dire quoi que ce soit que l’entraineur nous gueule dessus « Plus vite que ça ! ».

Un peu consternés mais sous l’emprise de son autorité nous nous exécutons, et nous voilà à poil, avec pour seul vêtement nos crampons et nos grandes chaussettes.

Son regard est devenu noir et pervers.. il me demande de m’avancer jusqu’à son bureau et de me pencher.

Timidement, je me cambre et il me chope par la nuque. Mon torse encore en sueur se colle au meuble et je l’entend ricaner.

« Vas-y, gardien de mes deux, fous lui la raclée qu’il mérite. »

Dans cette position, je ne peux voir Rodolphe mais je l’imagine gêné, tout comme je le serai à sa place.

Je ferme les yeux comme si ça aller me sortir de cette situation totalement incongrue.

Je sens une petite claque sur ma fesse droite.

Rodolphe est un grand gaillard, avec des mains proportionnelles à son gabarit.

« Plus fort ! »

Une seconde claque, un peu moins timide que la précédente, se fait sentir.

Jamais je n’aurai cru ça mais je sens ma queue qui commence à grossir..

« Je vais te montrer, moi, ce que c’est qu’une vraie raclée », clame l’entraineur en se levant d’un bond de son siège.

« Et c’est toi qui va la prendre, précise-t-il à Rodolphe en passant de l’autre coté du bureau. Du coup, il voit que ma bite est durcie et rigole:

« Mais c’est que ça te plait, petit salopard ! »

Je suis rouge de honte, parce qu’en effet, ça me plait beaucoup.

« On va voir si ça plait autant à ton co-équipier »

Mais là, Rodolphe se rebiffe et refuse de se mettre en position. Il a à peine le temps de s’offusquer de la situation que l’entraineur lui fait une clef anglaise, lui éclate le torse contre le bureau, et le maintient ainsi.

Pendant que mon pote se débat - peine perdue -

Il m’ordonne d’aller prendre une raquette de ping-pong posée sur une des étagères et d’en faire bon usage.

Comme hypnotisé par l’excitation, j’assène un coup magistral sur le cul rebondi de mon ami qui hurle mais qui, dès le deuxième coup, se cambre encore plus, et plus encore au troisième coup. Son hurlement se transforme en gémissement au fur et à mesure que je le fesse.

De temps à autre, je jette un oeil à l’entraineur. Je le sens quelque peu étonné du retournement de la situation…

Lui qui voulait nous humilier et nous forcer, se rend compte qu’il nous a ouvert une porte sur des plaisirs que nous-même ignorions jusqu’alors.

Il matte la scène avec délectation et se caresse le paquet bien gonflé et manifestement bien rempli.

Quant à moi, même si nous nous étions souvent retrouvés nus sous les douches avec Rodolphe, jamais sa croupe ne m’avait attirée. Je me branle vigoureusement tout en continuant la raclée. Ses fesses sont totalement rouges et il gémit mais il ne bande pas totalement. Juste une demi-molle.. peut-être que la douleur l’empêche de bander bien dur comme moi, me dis-je, alors je cesse mon action, lâche la raquette et me positionne entre ses jambes, sous le bureau, à genoux, et me mets à le sucer.

Sa queue gonfle et se raidit en quelques sussions.

Il mouille beaucoup et je me délecte de son liquide salé, plus salé encore que le mien, le seul que j’ai eu l’occasion de goûter jusqu’alors.

Au repos, sous la douche, je me doutais qu’il était forcément bien monté mais, franchement, pas à ce point.

Impossible de l’avaler en entier.

« Oh là !!! Les deux.. c’était une punition à la base, pas un déchainement de plaisir, et j’apprécie encore moins que tu aies pris les choses en mains » se ré-énerve le coach soudainement.

« C’est pas que ça ne me plait pas de vous voir comme ça mais c’est qui est le boss ici ? »

Je m’arrête net (et avec regret, je dois bien l’avouer) la fellation que j’avais entreprise, sans qu’on me demande quoi que ce soit.

Je suis à genoux et pour me dégager d’entre les jambes de Rodolphe, je me mets donc à quatre pattes et avance ainsi de quelques « pas » pour me relever. Mais quand je tente de me redresser, je sens le pied de l’entraineur m’écraser entre les omoplates afin de me maintenir dans cette position « de clébard » selon sa formule.

« Ouais ouais ouais.. t’es très bien comme ça, à quatre pattes, comme un clebs. Bouge pas, et surtout ne lève pas les yeux»

Je ne vois que ses mollets et ses baskets dans mon champ de vision. J’avais déjà commencé à mouiller pendant que je suçais Rodolphe mais là, ma bite dégouline littéralement de ce liquide masculin et que je sais désormais si savoureux.

« Attends, il te manque un accessoire pour être mon clébard », et sur ce, mollets et baskets disparaissent pour revenir accompagnés d’une chaise. Il s’y installe.

« Relève doucement la tête »… j’obéis et quel plaisir de découvrir, à quelques centimètre de ma gueule, le sexe gonflé et les couilles du coach empaquetés dans un slip blanc, auréolé d’une belle tâche de mouille. Tout en fixant ses attributs, il fait passer sous mes yeux un collier de chien, bleu marine. Puis il le colle à mes lèvres pour me le faire lécher.

« Voilà.. vous êtes parfaits comme ça. ». Rodolphe, que je ne pouvait pas voir, était resté les jambes écartées, le boule offert, le torse toujours collé au bureau.

« Écarte bien ton cul, lui dit-il, pendant qu’il fixait l’accessoire canin à mon cou, laissant juste un peu d’espace pour y passer ses doigts. Une fois clos, il serra le poing autour de mon nouveau bijou et m’attira le visage contre son slip mouillé et manifestement pas « du jour ».

Un mélange d’odeur de sueur, de mouille et d’un soupçon de pisse envahi mes narines.

« Allez clebard, sens bien ton bâton ». Son autre main me caressait les cheveux quelques temps puis empoigna ma nuque pour faire pression et m’emprisonner la tête contre son sous-vêtement un peu douteux.

Sa bite épaisse et totalement bandée sortait par l’élastique de la cuisse droite et, tel un vrai clébard, je bavais dessus comme un affamé.

« Maintenant recule un peu et repasse entre les jambes de ton pote. » J’allais me retourner mais direct il me gueule dessus: « Nan !!! J’ai dit recule, tu restes face à moi et frotte ta tête contre sa raie. »

De nouveau sous le bureau, positionné ainsi, je sentais les couilles pendantes de Rodolphe contre ma nuque, pendant qu’il oscillait du cul contre mon crâne.

L’entraineur avait bien repris la situation en main et se branlait lentement en serrant fermement sa teub. Au bout d’un moment, il se leva et se débarrassa de son slip, se rassit, pour défaire les lacets de ses skets mais ne se déchaussa pas. De nouveau adossé à son siège, il mis son pied droit, toujours chaussé, contre la fesse encore rougie de Rodolphe. Il appuya fort, cessa, puis fît de même avec l’autre pied sur l’autre fesse.

Je ne pouvais pas voir mais je devinais les marques de ses semelles sur le cul de mon pote.

La perversité dans son regard était à son maximum, enfin, c’est ce que je croyais.

Après avoir admiré son « oeuvre », il se leva, me reprit par le collier pour m’obliger à baisser la tête et son gland prit la place de ma nuque.

« Allonge toi dos au sol, m’ordonna-t-il, et admire le dépucelage de ton copain… et sans lubrifiant, mec, que de ma mouille ! » et dans un ricanement, il pénétra Rodolphe, lentement, juste le gland, puis ressortit. Il réitéra l’opération trois fois mais à la quatrième pénétration, c’est sa bite entière que le gardien se prit dans le cul, entrainant un cri de douleur.

L’entraineur se pencha et lui mit la main sur la bouche.

« Chuttttt… ferme-la, puis en s’adressant à moi: toi, passe moi mon slip qui est là par terre ! »

Toujours sur le dos, je l’attrapais et le lui tendis.

Il le lui fourra dans la bouche puis commença ses va et viens, très vigoureusement et de manière très mécanique, presque robotique.

Aucune place pour la sensualité.

Je plaignais et enviais à la fois la place de Rodolphe. Drôle de sentiment, certes, mais ma queue dure et qui crachait sans cesse de la mouille indiquait que je l’enviais carrément.

Je repris ma masturbation d’une main et jouais avec mes couilles de l’autre tout en regardant le spectacle des burnes du coach s’écraser contre celles de Rod, toujours au même rythme, rapide et implacable.

Les gémissements étouffés de Rod m’excitaient encore plus que le spectacle qui m’était donné de voir.

Au bout d’un moment, je pris la liberté de tendre le bras et de masturber Rodolphe en même temps que moi.

Mal m’en a pris, le coach ne me l’avait pas demandé et j’allais bientôt regretter (enfin.. tout est relatif..) mon geste.

Il rejeta ma main et sorti de l’orifice, désormais béant, de mon pote. Sa main m’empoigna par le collier et il me fit glisser contre le sol pour me sortir de dessous le bureau.

« Relève-toi », et met toi dans la même position que ton poto. »

Comme au début de la scène, me revoilà plié en deux, les jambes écartées, contre bureau, à coté de mon collègue de terrain.

« D’ailleurs, tu ne l’as pas vraiment eu ta raclée, toi ? »

Effectivement à part les deux -trois claques sur les fesses, j’ai rien eu du tout, ressentant soudain une certaine jalousie envers Rodolphe qui lui y a eu droit, sodomie comprise.

Le coach vire d’un revers de semelle sa première basket qui voltige dans la pièce , puis l’autre avec sa main. Il la garde en main pour venir me l’attacher autour du cou en prenant bien soin de me coller le nez dedans ainsi que la bouche. Je ne peux plus que respirer l’odeur de transpiration venant de ses pieds.

C’est donc plus que revêtu des ses socks qu’il ouvre un des tiroir du bureau pour en sortir un martinet.

Il le tend à Rodolphe, et d’un ton les plus pervers qui soit, lui propose de prendre sa revanche sur les coups de raquette que je lui avaient donnés.

Complètement parti dans le délire, Rodolphe ne se fait pas prier, se redresse et commence sa « correction ».

« 5-0 .. cote à cote ça fait 50 si je ne me trompe pas »

Je blêmis à l’idée de me prendre 50 coups de ce fameux martinet et déjà je débande prenant soudainement conscience de la douleur qui m’attends.

J’entends le désormais familier ricanement du coach.

« T’inquiète pas, je suis pas sadique à ce point.. t’as quel âge toi déjà.

Je réponds 20 ans, difficilement audible à cause de la basket collée et recouvrant ma bouche.

« Alors 20 coups.. et c’est toi qui les compte » me dit-il

« À toi de jouer, gardien de mes deux »

Et c’est parti. Le 1er coup est tout à fait supportable, ce qui n’est pas du tout au gout du coach qui le fait savoir à mon bourreau par une menace.

« Tes fesses ne sont pas assez rougies comme çà ? Tu veux prendre sa place après ? Parce que c’est ce qui va se passer si tu claques pas plus fort.

Direct les lanières du deuxième coup se font bien plus ressentir que la première fois.

« Deux je crie en serrant les dents ».

Je me surprends à m’impatienter avant que le troisième coup ne se fasse ressentir. C’est presque trop long. Et il n’est pas assez fort pour me satisfaire, et le coach me rejoint sur ce point. Je ne vois que dalle, mais l’entends arracher des mains de Rodolphe, le martinet, et ce sans un mot, juste une respiration excédée.

Je sens tout de suite la différence dès le quatrième claquage de lanière sur mon cul. Plus viril et plus torride.

« Quatre » que je gueule, bravant la frontière de la godasse accrochée à ma tronche.

Et là, un déferlement de coups s’abat sur ma croupe. Je compte aussi vite que la cadence infernale.

« Cinq.. six.. sept.. » et ce jusqu’à douze.

Puis une pause. J’ai mal, certes, mais j’ai envie d’être le plus fort. Alors je me cambre un peu plus, telle une invitation à frapper. Je n’attends pas longtemps.

Le treize me brule le cul et mes larmes commencent à couler. Je l’entends rigoler et ça me plait. Je cambre plus encore, comme si je le défiais. Et en somme, c’est exactement ce que je fais.

Là.. j’attends. Le timing est parfait entre le treize et le quatorze pour me faire comprendre que, même si c’est moi qui récolte, je peux également semer. Mon cul se met à danser tout seul, comme pour combler le vide entre ce fameux treize et ce quatorze que je suis sûr de prendre, mais qui est long à arriver, il me tarde de l’hurler, ce quatorze, coincé dans ma gorge.

Il arrive enfin et je ne sais si je dois le regretter ou l’apprécier. C’est le bordel dans ma caboche comme jamais ça ne l’a été.

Comme s’il savait, l’entraineur interromps les coups sur mes fesses. Il s’amuse à faire passer les lanières contre mes couilles, ce qui s’apparente plus à des caresses qu’autre chose. Ça ne me fait pas plus bander parce que je suis déjà à mon maximum…

Tout en continuant le ballet de lanières contre mes burnes, je sens mon gland enserré par deux doigts qui s’amusent à le presser, en tirer ce qui en dégouline pour se délecter du liquide. Et c’est le grognement avide de Rodolphe que je devine. Dans un premier temps.. suivi d’un second que j’ai du mal à croire.

L’entraineur ?

Forcément que c’est lui. J’en frissonne de plaisir, surtout de celui de l’imaginer passant ses doigts salés de la bouche de Rodolphe à la sienne.

Mon cerveau se remet en marche et se questionne: il reste cinq coups. À quoi vont-ils s’apparenter ? Seront-ils en mode rapide? Ou en version lente et plus impitoyable encore ?

Ce que je comprends, c’est que c’est Rodolphe qui va me les donner.

« Tiens.. ceux là, je te les offre, mais tu as intérêt d’assurer désormais que tu m’as vu à l’œuvre »

Ces coups sont tellement surprenants et improbables que j’en oublie de compter. Mais mes glandes lacrymales n’oublient pas de continuer à fonctionner. La basket doit être couverte de larmes.

Comme les cinq derniers coups n’ont pas été oralement décrétés par moi-même, ils ne comptent pas et il faut reprendre à quinze, nous fait comprendre le coach de sa voix autoritaire.

Il n’avait absolument pas besoin de le dire, je l’avais compris et me demande si je ne l’ai pas fais exprès, histoire de faire durer le moment.

Je reste sans réponse à cette étrange question mais ce dont je suis sûr, c’est que les coups rapides sont moins douloureux que les lents. Et au plus la pause est longue, plus la sensation est intense.

L’entraineur lui dit de reprendre et à moi d’hurler, comme je le peux dans la moiteur de la basket un « Oui mais fais le bien ! »

Un silence stupéfait s’ensuit.

« Tu trouves que c’est mal fait ? »

Et du tac au tac je réplique: « Plus lents les coups et plus fort aussi. »

Je suis halluciné d’avoir sorti un truc pareil mais pas le temps de me questionner plus longtemps que les coups reprennent. Longs, lents et fracassants comme je venais de le demander.

Mon corps se rétracte après chaque coup comme s’il voulait s’échapper, mes genoux fléchissent tous seuls et mes talons rejoignent mes fesses dans un mouvement symétrique. C’est incontrôlable mais je bande toujours autant.

Mon esprit ne sait où aller, la grande majorité de mon corps veut se tirer de là, mais ma bite dit reste.

Soudainement, je sens une main qui attrape mes couilles et ma teub férocement et tire sur le tout.

« Ne bouge pas mon garçon ! » que j’entends mais ce n’est pas la voix du coach. C’est Rodolphe..

D’autres mains me maintiennent les poignets dans le dos pendant que ma tête oscille dans tous les sens. Et une fois de plus je n’ai pas compté..

Je m’arrête de gigoter, ou plutôt, « on » me fait arrêter de gigoter.

Je pleure à chaudes larmes quand j’entends pendant une pause la voix de l’entraineur toujours plus directif:

« Tiens, les clefs de mon casier. Vas dans les vestiaires et prends le ceinture qui sangle mon jean, et t’oublie pas de refermer ! »

Un « Ok » complice s’ensuit. Je ne suis même plus étonné, puis la porte claque.

La douleur m’empêchait de penser jusqu’ici mais là, une avalanche de questions s’empare de mon cerveau et ce, tellement rapidement que je n’ai pas le temps de faire le tri.

Je ne sais plus si je veux que ça s’arrête ou que ça continue.

Ma jambe droite tremble frénétiquement

J’ai envie de mordre dans quelque chose mais rien ne m’est proposé.

Deux grosses mains se posent sur chacune de mes fesses et commencent à les caresser. Tout doucement puis ces mêmes mains les écartent, puis le son d’un crachat jeté contre mon anus bien ouvert. Une langue lèche le tout.

Je me laisse aller et tout ce que je sais, c’est que je veux que ça ne s’arrête pas. Jamais.

Mais un second claquement de porte met un terme à ce doux et tendre plaisir contrastant avec la violence précédemment vécue. Ma jambe se remet à trembler, je donne des petits coups de talons sur le sol…

« Regardez, Coach, j’ai pris votre ceinture et je me suis dit que deux, c’est mieux qu’une, donc j’ai pris la mienne aussi. »

« Excellente initiative, mon garçon.. et je vais te remercier pour ça. Mais avant ça, on va positionner ton pote autrement, et enlève lui la basket qu’il a sur la gueule »

Ce que Rodolphe fait immédiatement.

Les mains robustes de l’entraineur me prennent par les hanches et me fait pivoter sur le coté du bureau, m’écarte les jambes et sort du tiroir (c’est la caverne d’Ali Baba ce tiroir..) trois cordelettes.

Il s’en sert pour m’attacher les mollets aux pieds du bureau et ce, de façon bien serrée.

La troisième sert à m’attacher les mains dans le dos puis il me pousse pour que mon torse soit de nouveau collé au bureau.

« Et regarde maintenant »

Et là quelle ne fut pas ma surprise de voir le coach s’accroupir devant Rodolphe, lui attraper la bite et commencer à le sucer goulument. Il sert bien la base et pompe avidement le reste de sa queue jusqu’au bout et visiblement il adore ça. Il alterne lèche et biberonnage en bavant beaucoup. De la salive coule en abondance sur la bite de mon ami et dégouline sur ses couilles.

Ropdolphe émet des râles de plaisir de plus en plus conséquents jusqu’à ce qu’il soit prêt à juter.

Là, l’entraineur s’arrête net et se redresse.

« Tu cracheras plus tard mon garçon » lui dit il en lui donnant quelques petites tapes complices sur la joue.

« Pour l’instant, c’est l’heure du ceinturon! »

À ces mots, mon corps se raidit et tous mes muscles se bandent. Ma bite, déjà en érection à cause du spectacle pour le moins surprenant qu’il m’a été donné de voir, subit un regain de sang, et se durcit au maximum.

Les deux compères se placent derrière moi, et commencent leur besogne.

« Tu commences, suggère le coach à Rodolph, qui ne se fait pas le dire deux fois, et m’assène un grand coup.

Cette fois ci je n’oublie pas de compter:

« Un ! »

Puis c’est au tour de l’entraineur, un coup plus fort encore.

« Deux »

Les coups successifs partent en rafale donc la douleur est continue mais dès le dixième coup, ils ralentissent la cadence. Une pause est marquée entre chaque volée de ceinture.

Le « Onze » est vraiment à la limite du supportable et je hurle le chiffre tout en sanglotant.

« On va aller jusqu’à quinze » affirme l’entraineur, ses fesses sont vraiment très rouges et je ne veux pas qu’il saigne »

Me voilà rassuré un temps mais voilà qu’arrive le douzième coup. Je serre les dent autant que je peux et essaie de retenir mes larmes pour leur prouver mon endurance.

C’est donc d’une voix plus posée que je compte les trois derniers coups. Difficilement, certes, mais j’y parviens, en tendant mon cul encore un peu plus entre les éclats du cuir contre ma peau.

Mon corps est trempé de sueur et mes deux bourreaux reviennent dans mon champ de vision.

Ils ont l’air manifestement très satisfaits, échangent un regard complice et leur deux corps s’enlacent pour une pelle longue et baveuse, leurs queue se frottant l’une contre l’autre. Rodolphe attrape les deux et branle leur deux teubs du même calibre en les serrant très fort l’une contre l’autre.

Ça dure un bon moment avant qu’ils ne viennent me détacher. Je suis abasourdi quand je me relève et le coach me prend dans ses bras. D’une tendresse dont je ne pouvais le soupçonner il y a encore une minute.

« C’est bien mon garçon, tu t’es bien donné, comme quoi ça a ses avantages de perdre un match. C’est du bon boulot les gars » et sur ce, il se met carrément à genoux devant nous, nous félicitant pour ce moment, il déclare qu’il va nous faire jouir tous les deux.

Sur ce, il se met à nous pomper, l’un après l’autre, alternant ma bite à la bite de Rodolphe très rapidement puis nous prenant tout les deux en bouche. Il se branle rapidement tout en jouissant de cette double fellation.

Rodolphe passe son bras autour de mon cou et je fais de même. Quand je sens l’étreinte de son bras plus forte, je sais qu’il va cracher, et je sens direct mon foutre monter.

Quasiment en même temps, nous jutons en poussant des râles extatiques, dans la bouche et sur le visage du coach.

Nos spermes lui repeignent la tronche en plusieurs jets, il se redresse et nous nous embrassons tous les trois, mêlant nos jus dans nos bouche, sur nos lèvres, sur nos visages.

Puis le coach me retourne et décrète qu’il veut cracher sur mon cul rougi. Je le lui présente et il lâche un jet puissant sur mon cul, sur chaque fesse et étale le tout avec son gland. Longuement..

Mais une dernière surprise m’attend: tout en me barbouillant le cul, son gland se fixe entre mes fesses et dans un dernier râle, il me pénètre.

« T’y avais pas eu encore droit.. » me susurre-t-il à l’oreille tout en commençant de lents vas et viens dans mon cul, sans débander une seconde. Il est increvable, ce gars..

Le sperme salé sur mon cul provoque des picotements très agréables et je savoure sa bite qui me bourre de plus en plus vite, glissant parfaitement grâce au lubrifiant naturel sorti de sa teub.

Il se vide ainsi les couilles une seconde fois en moi, dans un gémissement qui s’apparente plus à un cri d’animal qu’autre chose.

Lorsqu’il reprend ses esprits, son autorité revient et il nous ordonne d’allez rejoindre les douches. «  Immédiatement » crie -t-il en nous montrant du doigt la porte.

Rodophe et moi rassemblons nos affaires et suivont la directive de l’entraineur au regard si bleu, et si noir à la fois.

Sous la douche, une gêne soudaine nous fait nous laver dos à dos, en évitant tout regard, mais quand nous nous rhabillons, Rodolphe jette un oeil sur mon fessier et je le vois se décomposer.

« Je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris »

Je ne lui ai rien répondu mais j’étais plutôt enclin à le remercier… Tout en espérant une prochaine défaite.

AlexandreBT

alexandrebt@mailo.com

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L’ensemenceur | 4 | +1 Meetmemz
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Bénévolat en Australie | 8 | +1 Meetmemz
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ET CE N'EST PAS TOUT !
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