Plan imprévu

1 | Au Bureau

(Merci à Williams pour m'avoir inspiré cette fiction)

C’est sans slip que je suis sorti de chez moi ce matin pour aller au taf. Problème de machine, donc lavage à la main et évidemment aucun n’est sec.

Il fait chaud aujourd’hui, je m’habille en conséquence: polo bleu, pantalon en toile beige et des new balance.

Il n’y a pas grand chose à faire au bureau, c’est les vacances scolaires donc tout est au ralenti. J’en profite pour chatter un peu sur un site de rencontre SM. En me connectant, je vois que j’ai une réponse à mon annonce.

Annonce qui disait:

JH 34 ans dominateur, ch jeune soumis à éduquer depuis les bases. Bi, jeunes curieux bienvenus.

J’avais ajouté une photo visage, comme ça çà va plus vite, ceux qui n’aiment pas ma gueule ne me contactent pas.

Sa réponse:

J Bi, 25 ans sportif (rugbyman mais pas enveloppé), TBM, d’habitude dominateur soft, veut passer de l’autre coté et me soumettre à un seul Boss (Boss que j’appellerai Maitre s’il en a la carrure).

Il est connecté donc je lui envoie un message illico presto. On fait connaissance. Il me dit que d’habitude c’est lui qui prends en main des petites Lopes… mais qu’il avait envie d’être docile, obéissant. Il me pose quelques questions pour me tester… quelles sont mes limites?

« Mes limites sont les tiennes, gars, tu te fais prendre ? »

« Jamais essayé mais c’est l’occasion. Je veux un plan long pendant lequel tu pourras jouer avec mon cul pour bien le préparer.l »

Lorsque je lui demande ce qui l’amène à se soumettre, il me raconte:

« Quand j’ai eu 18 ans, mes parents m’avaient laissé la maison pour fêter ça dignement mais j’étais alors chétif et très solitaire. C’est mon grand frère de 20 ans qui avait invité la grande majorité des convives… la totalité des convives pour être honnête.

Une fois la teuf achevée, il ne restait plus que deux potes de mon frangin. Nous avions pas mal picolé, et mon frère n’a pas tenu le choc. Il s’est endormi direct et les autres, tout bourrés, commençaient à partir dans un drôle de délire… Ils avaient sortis leurs bites et me tannaient pour que je leur embrasse le gland. Bien évidemment je refusais mais ils m’ont chopé et j’ai été obligé de le faire. Le plus grand me tenait les bras croisés dans le dos et l’autre poussait mon visage jusqu’à son zob.

« Allez… petit bisous » ricanait il !

« Non surement pas » je criais en essayant de bouger la tête mais son autre main vint bloquer ma tête et ainsi mes lèvres se retrouvent à un centimètre de son gland.

« Allez allez soit pas timide »

Mais comme je refusais toujours, celui qui me présentait sa queue (appelons le, Fred) se mis à me pincer le nez par surprise et très fort. Par réflexe j’ouvris les lèvres et il en profita pour y introduire le quart de sa bite mi-molle qui commençait déjà à durcir dans ma bouche.

Alors le petit frérot, t’as pas voulu embrasser alors maintenant tu pompes.

Il continuait à introduire son chibre tout en me bloquant totalement la tête, je ne pouvait pas le ressortir. Il m’ordonnait de pomper plus fort. J’avais lâché prise, j’allais être leur Lope.

Le second copain (disons Pierre) continuait son étreinte dans mon dos et me fit basculer sur les genoux.

« Voilà c’est comme ça qu’on veut te voir,, sur les rotules, à la hauteur de nos bites » dit Pierre en faisant glisser son pantalon et en se masturbant. Maintenant à mon tour. »

Je protestait toujours un peu quand même, ce qui a eu don de les énerver et c’est de force que j’ai du les sucer. Ils se passaient ma bouche pour me faire faire une gorge profonde à l’un, puis à l’autre, comme ça, des tas de fois puis, déchainés, ils mirent leurs deux bites dans ma bouche. J’avait les deux glands que je devais pépon et surtout bien baver. Je faisais le « dégouté » mais en fait je kiffais total. »

« Et donc ? »

« Et bien suite à cette situation, je me suis rebellé mentalement parlant, je me suis inscrit à la muscu, dans un club de rugby et j’ai enfin commencé une vie sexuelle certes tardive, mais intense. D’abord avec des filles puis, avec des gars, toujours très salopes, dans des sex clubs essentiellement. J’adore les entendre couiner lorsque je les défonce. Mais à force, c’est moi qui ai envie de couiner désormais. »

Son histoire me fit bander direct et comme il était libre en milieu d’après-midi, je lui filait mon adresse pour un premier plan. Je quittais mon bureau en quatrième vitesse pour prendre le métro.

2| Dans le métro

Arrivé sur le quai, je concentre tous mes efforts pour ne pas bander. À une certaine époque, j’étais tombé sous le charme d’un gars qui m’appelait en pleine journée pour me demander d’enlever mon boxer dans les toilettes du premier café venu. J’ai adoré cette période. Photo à l’appui, je m’exécutais et continuais mon chemin en essayant de ne pas bander. Je m’en suis tapé des hontes, mais cet exercice a finalement eu raison de mes érections, et j’arrivais à me contrôler. En revanche, impossible de dominer la mouille qui s’échappait de mon sexe, et là, même topo; une auréole commence à se former sur le haut de ma cuisse… Quelle idée de porter un pantalon clair sans sous vêtement aussi.. Tant pis, j’assume.

Le métro se pointe enfin et je m’engouffre dans une rame quasiment vide et prends place sur un siège, personne à coté, personne en face… tranquille.

Mais à la station suivante un jeune gars se pointe et s’installe sur le siège face à moi. La vingtaine, une gueule d’ange avec tout ce que j’aime: des lèvres pulpeuses, les joues légèrement creusées, le cheveu court et surtout un regard perçant. Regard qui se pose direct sur cette foutue auréole. Il esquisse un sourire gêné, puis tourne la tête en direction de la fenêtre. En fait, il continue de me mater dans le reflet de la vitre, prend ses aises et écarte des jambes.

Là, c’est foutu, ma bite se remet à gonfler et une tonne de mouille se déverse sur la toile de mon froc.

Comme pour me narguer, il écarte encore un peu plus les jambes et sa main droite, jusque là posée sur son genou, glisse lentement jusqu’à l’entre jambe de son jean.

Nos regards se croisent enfin mais notre petit jeu prend fin à l’arrêt suivant. Deux pétasses décolorées débarquent et s’installent dans les deux sièges restés vides. Par réflexe, je croises les jambes… mais pas lui. Au contraire, il commence à se caresser de façon tout à fait indécente sous les yeux des deux connasses. Je me marre intérieurement au vu de la tronche qu’elles tirent.

Je me dis que ce petit jeu n’est qu’un apéritif du plan que j’ai prévu avec le mec du site, et il ne reste plus que deux stations avant d’arriver à destination. Par chance, ou par dégout, les deux grognasses quittent la rame. Le beau gosse en profite pour s’assoir à coté de moi. Là je n’ai plus le choix et je me lance:

« Je sors à la prochaine station, j’habite à côté »

« Hum hum » qu’il fait en frottant son genou contre le mien.

« Mais j’attends un plan, je te file mon numéro ? »

« Non non, je te suis »

Quel culot ! Je suis scotché et en reste bouche bée. Je n’ai même pas le temps de lui expliquer que c’est du sexe hard que je kiffe que le métro ralenti, s’arrête, ouverture des portes…

Il se lève en premier et me sort: « Bon alors, on y va? »