Chapitre 1
J’avais souvent entendu raconter par des amis que ça draguait dur dans les hôtels. Et comme pour mon boulot je me déplace souvent, je me disais super, je vais pouvoir niquer tranquille. Mais bon, jusqu’à présent, je n’ai jamais croisé personne… J’en concluais que c’était des bavardages et rien d’autre. Et pourtant, il y a quelques mois, tout a changé.
Le matin au petit-déjeuner, la salle était déjà bien fréquentée. 7h00 en semaine, tous les travailleurs en déplacement étaient tombés du lit. Bref, je prends mon plateau, me trouve une petite place et m’y rends en passant devant un type qui m’a littéralement bouffé du regard. Il est resté hébété. La bouche ouverte devant sa tartine, à me reluquer.
Dans ces cas-là, je ne me vexe pas, loin de là, et je regarde dans les yeux. Durant tout le temps du petit déj, nos jeux de regards n’ont pas cessé. Il s’est levé avant moi, et en quittant la salle a jeté un dernier regard vers moi. Je ne manquais pas d’accrocher ce regard pétillant. Un signe de tête entendu clôt l’échange.
Je reste songeur devant cette première fois. Le type était pas mal du tout. Grand brun, athlétique, barbe courte entretenue. Ce qui m’amusa, il était en tong et survêtement. Un peu lâche le survêtement. Lorsque le mec était assis, le pantalon glissait et laissait voir le haut de son cul. J’adore imaginer que c’était une invitation. J’aurais bien voulu le baisser entièrement ce pantalon…
Et puis rien de plus… je ne l’ai pas croisé dans les couloirs, l’ascenseur ou sur le parking. Alors je suis parti bossé en restant sur ma faim.
La semaine suivante, me voilà à nouveau dans le même hôtel. Et bingo, le mec est là. La fréquentation est plus calme. Cette fois, c’est moi qui ouvre les festivités. Un regard et un sourire. Léger. Touché, le mec baisse les yeux. Puis, on recommence.
Mais cette fois, pas question de rester sur ma faim. La branlette de la veille ne m’a pas suffi et je me taperais bien ce mec. Voyons ce qu’il a dans le ventre.
Je prends le temps de déjeuner et je en le quitte pas du regard. Je comprends bien qu’il hésite. Il me regarde, puis tourne la tête, puis se retourne vers moi. Et puis soudain, il se lève et quitte la salle. Attends bonhomme, j’arrive !
Et je le suis. Je prends le couloir juste derrière lui et le rattrape devant la porte de sa chambre. Je m’apprête à passer devant, histoire de faire comme si je rejoignais ma propre chambre. Là il m’arrête. D’un signe de tête, il me fait signe d’entrer. Il tient la porte quand je passe devant lui.
On se jauge. Il est plus grand que moi. Il ferme la porte.
« Bon, pour ce matin c’est mort. J’ai pas le temps. Sa voix est grave. J’adore.
- Dommage.
- Ce soir ?
- Avec plaisir.
- J’arrive vers 19h.
- Ok.
- J’ai envie d’un avant-goût. Et là, il me plaque contre le mur, me roule une grosse galoche et se colle contre moi. Je sens sa bite contre ma jambe. L’enfoiré bande comme un âne.
D’un geste sûr, il me met la main au paquet. Il malaxe mon sexe à travers mon jeans. Il le déboutonne et me suce la teub. Tout en douceur. Il l’avale goulûment. Sa langue tourne sur mon gland. Il me pompe le dard comme un dieu. J’appuie mes mains sur sa tête. Et je l’encourage. Je m’enfonce entièrement dans sa bouche. Il me gobe la teub et l’avale entre ses lèvres charnues. Je kiffe grave.
Je le relève et lui roule une pelle. Sa bouche a le goût de ma bite. Je fouille sa bouche avec ma langue. En même temps, je branle son membre à travers le survêtement. Vu comment ça se balade là-dedans, il ne porte pas de caleçon. Je glisse une main dessous. Oh le gros paquet. Une belle teub large et bien raide m’attend. Je vais lui montrer de quoi je suis capable. Je me fous à genou et avale en gorge profonde le membre. Je fais quelques va-et-vient. Le gros gland passe au fond de ma bouche sans problème. Je continue à jouer avec sa bite. Je suce l’engin sur toute sa longueur. Du gland jusqu’à la hampe. Progressivement j’avale un peu plus le membre.
Alors je me relève. « On finira ce soir. Je le fixe du regard. Je sens mes yeux pétiller.
- Bel aperçu. On va bien s’amuser.
- À ce soir.
Une journée à fantasmer là-dessus… ça va être long.
Chapitre 2
Cette scène ne m’a pas quitté la tête. Une journée à s’échauffer et puis le soir du rendez-vous est arrivé.
Ponctuel. Sur le parking, peu de véhicules. On s’est vite repéré. On se présente à la réception. Chacun récupère sa chambre. Il m’attend.
- Retrouve-moi dans ½ heure. J’ai besoin d’une douche.
- Moi aussi.
30 minutes plus tard, je frappe à la porte. Je suis arrivé en jeans, avec un pull léger.
La porte s’ouvre. Il est en serviette. Il me sourit. Il me tire par la main. Dans le mouvement, je le pousse contre le mur. J’attrape sa nuque et l’embrasse passionnément. De la main libre, je caresse son torse. Je pince son téton entre mes doigts. Il gémit de plaisir. Je sens son désir gonfler sous la serviette.
C’est alors qu’il pose ses mains sur mes fesses et m’attire à lui. Il malaxe mon petit cul à travers mon jeans. Il passe ses mains sous mon pull. Je n’ai rien dessous. Il caresse mon dos et ses mains glissent dans la cambrure de mes reins. Ses mains fondent sur mes fesses. Hum. Il apprécie de me découvrir sans caleçon. Je bouffe sa bouche de mes lèvres. J’aspire sa langue et j’agrippe son crâne rasé. J’appuie et l’oblige à se mettre à genou. Il ne se fait pas prier et aussitôt il me débarrasse de mon jeans. Je suis à poil devant lui. Je bande dur. J’empoigne sa nuque et fourre sa bouche avec ma bite. Trop bon, il me pompe comme il l’avait fait le matin. Langoureusement, il m’avale et me gobe entièrement.
On est toujours dans l’entrée de la chambre. Je peux apercevoir nos silhouettes dans le miroir juste à côté. Il me suce divinement. Ses mains parcourent mes jambes. Mes fesses. Mon torse. Il embrasse ma bite et la lèche. Il me regarde et sourit. Il jette un œil vers le miroir. Ça l’excite.
Je l’aide à se relever. La serviette tombe. Sa bite se dresse devant moi. Superbe. Bien grosse. Un bon calibre. J’en salive de bonheur. Je suis chaud comme la braise. Je me fous à genou et caresse le membre. Je souffle dessus. Il est épilé. Ses couilles sont lisses. Je leur mets un coup de langue. Puis un autre. Et hop, je les gobe. Je les garde en bouche et ma langue les masse doucement. Son sexe se cambre au-dessus de mon visage. Il souffle fort. Il se pince les tétons. Je branle un peu la tige. Ma main dirige l’engin près de mes lèvres. Elles déposent un baiser puis un autre. Et comme ça sur la longueur raide et épaisse. Je reviens vers le gland. Beau. Rose du désir qui grimpe. Un baiser léger. Puis un autre les lèvres entrouvertes. Enfin je lui offre ma bouche. Extase, première étape accomplie.
Le mec est là, devant moi. Il bande fort. Je le tiens dans ma bouche. Il se caresse le torse et joue avec ses tétons. Mes mains le caresse. Il a la peau douce. Je pince ses tétons. Il gémit. Il ondule son bassin pour me fourrer la bouche. Il veut la spéciale. Je lui rejoue la partition matinale. Je l’avale en entier. Sans forcer. Son gros gland passe dans ma gorge. Je reste ouvert et il me baise la bouche. Il donne le rythme. Il sort de ma bouche et se renfonce entièrement. Plusieurs fois. Il respire fort.
D’un coup il s’arrête et me remet debout. Il me retourne et écarte mes jambes. Il se met à genou et il me bouffe le cul. Il y met de l’ardeur. Il a son nez dans ma raie. Il secoue la tête pour forcer le passage. Sa langue force la porte. Ça y est, elle est entrée. Il dépose de la salive et ouvre mon œillet. Il se redresse et se colle contre moi.
Son gland trouve le chemin et commence à vouloir entrer. Je souffle et me recule sur le membre. Sur toute la longueur. Puis j’avance et avant de le faire sortir, je me recule à nouveau. Le passage est vite fait.
Je glisse sur la bite tendue de plus en plus vite. Il me remplit le cul. J’aime sentir son membre au gros gland me fouiller. Il reprend les commandes. Il accélère les coups de piston. Parfois, il va taper bien au fond et ressort. Puis il me remet sa bite en entier au fond de mon cul. Nos regards se croisent dans le miroir. Nous sommes tous les deux ici, dans l’entrée d’une chambre d’hôtel à baiser devant un miroir. Gros kiffe. Il continue à me baiser. J’adore. Il m’embrasse la nuque, me mordille l’oreille. Ses mains tiennent mes hanches fermement. Il me laboure le cul avec son gros piston. Puis il arrête.
On se rapproche du lit. Il jette un coussin au sol. Il m’allonge par terre et relève mes jambes et il me rapproche du sommier. Ma tête et mes épaules sont sur le coussin. Avec les jambes en l’air, mon cul est offert. Je sens que je suis bien ouvert. C’est dans cette position qu’il m’enfourne sa bite. Dès le premier assaut, il la rentre entièrement. Puis il la ressort et revient où il était. C’est bon. Il reste là, sa bite au fond de mon trou et il se remue de gauche à droite. Comme s’il voulait m’élargir un peu plus la rondelle. Il me secoue tellement que j’en gémis de plaisir. Il reprend ses va-et-vient. Je vois sa bite aller et venir dans mon trou. Je me sens tellement ouvert et rempli en même temps. C’est un régal. Je vois dans son regard qu’il aime aussi le plan. Il est en sueur. Il se cramponne à mes jambes.
Je le vois qui sort sa bite et dans un gémissement rauque, il décharge de belles giclées de foutre qui tombent sur mon torse, mon menton, ma joue. Il m’inonde littéralement de sa semence. Il m’empoigne ma queue et me branle.
Sa main experte a raison de mon plaisir. J’envoie à mon tour de belles giclées qui viennent se mélanger aux siennes. Elles glissent sur mon corps. D’une main, il étale le jus sur moi. Il se lèche les doigts.
Cette nuit-là, je suis remonté me coucher tard. Très tard. Très dilaté aussi. Nous avons baisé plusieurs fois.
Comme quoi, les plans dans les hôtels, ça existe !
Balthazar
balthazarxxx@yahoo.com
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