Depuis plusieurs jours je m’ennuyais. Je trainais seul à la maison et broyais du noir. Aussi je me décidais à me secouer, et je montais dans le prochain train pour Paris. Aussitôt arrivé, je pris le métro, direction un grand sauna.
Je me déshabillai rapidement et gagnai les douches. Petit tour par la douche intime, puis je passais la porte du hammam.
Mes yeux n’étaient pas encore habitués à la pénombre. J’apercevais deci-delà des corps se frotter les uns aux autres. Je ne m’attardais pas et laissais les vapeurs envelopper les peaux anonymes.
Je grimpais les étages et je déambulai dans les couloirs. Journée naturiste, les queues s’affichaient triomphantes ou demi-molles, mais prêtes à l’action. Les regards ne s’attardent pas toujours alors que les mains effleurent une épaule, un bras ou pour les plus audacieuses, les fesses.
Je passais par la salle aux glory-holes. Des bruits de succion, des respirations fortes. J’observe un type en train de sucer une belle tige. Je m’appuie contre le mur. Je me caresse le sexe. Je commence à durcir.
Puis je me décide à explorer les cabines. Dans un long couloir, une porte ouverte. Un type est allongé. Jambes écartées, queue bien raide entre les mains. Il redresse la tête. Il me sourit et fait un geste pour me faire entrer.
J’accepte l’invitation. Ses yeux dans les miens, je l’observe. La cinquantaine. Cheveux courts grisonnants. Allure sportive ou au moins qui prend soin de lui. J’attrape sa queue d’une main ferme. Beau calibre. Je tâte la paire de couilles. Les bourses gonflées et remontées vers la tige. Je les malaxe délicatement, puis je reprends le manche en main. Sa main sur ma nuque, il m’attire vers son visage. On ne s’est pas quitté des yeux. Il embrasse ma bouche. Sa langue fend mes lèvres. Sa bouche est sucrée. Je bande.
Je m’agenouille et prends la verge tendue dans ma bouche. Elle glisse entre mes lèvres. Ma langue englobe le gland et j’offre quelques va-et-vient sensuels jusqu’à avaler entièrement la queue puissante.
Mon hôte gémit. Il aime ma manière de faire. Il m’encourage par de petits mouvements du bassin puis je lui laisse le choix du tempo. Il accélère et me baise la bouche. Lorsqu’elle ressort de ma bouche, un filet de salive suit la verge tendue.
Il me fait me relever et m’embrasse à pleine bouche. Il pince mes tétons. Je gémis. Je me colle à lui. Son torse contre le mien. Je l’enserre de mes bras. Ses deux mains se posent sur mes fesses. Ses doigts se retrouvent dans mon sillon. Il me retourne, et m’installe au bord de la couchette, les jambes écartées.
Derrière moi, il s’agenouille. Il écarte mes fesses et plonge sa bouche contre ma rondelle. Il joue avec ses lèvres et sa langue. Il embrasse mon œillet. De sa langue, il l’enduit de salive. Que c’est bon. Je ne tiens plus. Je veux qu’il me prenne. Je veux sa queue en moi. Il le sent car il se redresse.
Une noisette de lubrifiant le long de sa tige puis il pose son gland contre ma rondelle. Il pousse son membre tendu et mon cul s’ouvre délicatement pour accueillir le bel invité.
Il me baise, doucement d’abord, puis lorsqu’il sent que le passage est taillé à ses mensurations, les coups de rein se font plus rapides et plus profonds. Le manche me pilonne longuement. La pénétration dure un bon moment. Il agrippe mes épaules de ses mains et son pieu ramone mon cul sauvagement.
Ma verge est tendue et bat contre mon ventre.
- C’est c’que tu voulais ?
- Ouais
- Une bonne teub qui défonce ton p’tit cul
- Ouais, vas-y. Baise-moi.
- Prends ça !
La verge poussa encore plus loin dans mon cul. Le mec bourra encore un instant puis retira sa verge. Mon trou resta ouvert.
- Putain, ton cul, il envoie du rêve.
Je le remerciai. On ne voulait pas jouir à ce moment-là. On voulait encore profiter de l’après-midi. Essoufflé, j’attendis un instant avant de sortir de la cabine et de poursuivre les rencontres. L’après-midi fut longue et bien remplie…
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Balthazar
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