Je ne me connectais plus sur les sites de rencontre depuis quelques temps déjà. Mais en cet fin d’aprem, je retrouvai mon pseudo et restai connecté un bon moment. Comme souvent, il ne se passait pas grand-chose.
Je m’apprêtais à couper quand je reçus un message de Masterfister.
Salut, j’ai bien lu ta description. Ça te dirait de prendre un verre avec moi ?
Je cliquais sur son descriptif. La quarantaine, 1m85, 90 kg, brun barbe barbu, BM19x6, recherche mec pour moments chauds. Amateurs fist appréciés.
La dernière partie ne me branchait pas. Je répondais ok pour un verre et rendez-vous pris, je filais à l’adresse qu’il m’avait donnée, après une douche rapide.
J’arrivais dans une résidence calme, en retrait de la route avec végétation soignée. Le cadre était rassurant. Je sonnais et montais les escaliers pour arriver au 3ème étage. Sur le palier, 4 portes dont une entrouverte. Je frappais.
Le type se présenta. Jeans, T-shirt, pieds nus. Large sourire qui illuminait son visage. Il m’accueillit chaleureusement en me serrant contre lui. Je sentis son corps puissant contre ma frêle carcasse.
Il me servit un verre de martini et on papota de tout et de rien, jusqu’à ce qu’il devienne plus direct.
-Tu me plais beaucoup.
-Merci. Je te trouve aussi pas mal.
Nous étions assis sur son canapé, et les mains se baladaient lors de nos échanges. Des caresses anodines qui en disaient long sur l’attirance que nous éprouvions l’un pour l’autre. Puis il laissa une main sur ma cuisse. Je posai alors une main sur la sienne. Il serra ma cuisse.
-Balthazar, tu me donnes envie…
Je ne le laissai pas finir, et gobai sa bouche. Qu’il était doux de l’embrasser. Ma langue fouillait sa bouche qui avait le goût de martini. Sa langue charnue et ses lèvres épaisses se délectaient de moi. Mais il n’était pas homme à se laisser faire. Aussi, il me bascula en arrière. Il était sur moi. Fort et puissant, il m’écrasait. Puis il empoigna mes deux mains qu’il retint au-dessus de ma tête. Il glissa une de ses jambes entre les miennes. De sa main libre, il me caressait, soulevait mon polo et tâtait la marchandise.
J’aurais voulu le caresser à mon tour,mais entravé comme je l’étais, je ne pouvais que me coller contre lui. Je plaquais mon bassin contre le sien, j’embrassais sa bouche et gardais sa jambe entre les miennes. Ce mec m’excitait follement.
Lorsqu’il se redressa au-dessus de moi, son regard plongea dans le mien. Je fus comme hypnotisé. Il ôta son T-shirt et enleva mon polo. D’un geste vif, il dégrafa mon jeans qu’il fit glisser le long de mes jambes. Il me fit mettre debout et il m’attira contre lui. Mon torse contre le sien, sa peau chaude, nos cœurs qui battaient l’un contre l’autre. Ses mains qui agrippèrent mes fesses.
-Quel petit cul prometteur !
Je souris à ses mots, et fis tomber mon boxer. Nu contre lui, je caressais ses épaules et son torse. Puis je descendis jusqu’au jeans où une belle bosse déformait la braguette. Sans un mot, j’ouvris le jean qui chuta au sol, libérant par la même occasion l’érection triomphante fidèle à l’annonce.
Ma gourmandise se réveilla aussi sec, et je fondis sur le membre tendu. Gros gland et belle hampe ne m’effrayèrent pas et je n’en fis qu’une bouchée. Délicatement, je léchais le gland, puis j’avalais la hampe épaisse et généreuse. S’il voulait me sauter, je serais le plus heureux des hommes. Je m’affairais avec patience et savoir-faire. Mon hôte gémissait et me laissait toute latitude pour me rassasier de son membre.
Puis il retira sa verge de ma bouche et se pencha surmoi. Sa langue vint chercher le goût qu’il y avait laissé.
Il chuchota « viens-là » et m’attira contre lui. Il me tenait fermement et se déplaça sur le canapé où il s’assit et m’installa à califourchon sur ses cuisses. Je l’embrassais furieusement alors que de ses deux mains il massait mes fesses dont il écartait les globes. Il poussait sa verge dure et épaisse contre ma raie. Quel trophée ! Je ne désirais plus que ça. Qu’il me pénètre. Qu’il me fouille avec sa queue énorme. Je voulais qu’il me défonce en bonne et due forme ! Mes pensées me transformaient en chienne. Ma rondelle chauffait de s’élargir sous les coups du membre tendu. Je ne pouvais plus attendre. Je déposais de la salive sur mes doigts et je graissais mon œillet. Je lui présentais alors le gland que je tenais fermement d’une main. Je pris une longue inspiration et dirigeais le gland dans mon conduit. Mon hôte me laissait faire. Il souriait à mesure que je poussais sa verge en moi. Alors, lorsque je l’eus mis en moi profondément, je commençais de doux va-et-vient sur la hampe. Je gémissais et soufflais de bonheur.
Je me tenais aux épaules de mon hôte qui lui se cramponnait à mes fesses. Puis il prit le contrôle. Il me laboura copieusement. Son membre me percutait sauvagement le trou. La verge puissante ne cessait de m’élargir le fion qui chauffait sous les coups. Puis le membre quitta ma caverne. C’est alors que je me retrouvais à quatre pattes et que la raie bien offerte, le trou ouvert fut bouché par l’énorme engin qui s’engouffra entièrement en moi. La lente progression dans mon orifice me fit râler de plaisir. Un long râle rauque et profond. Caverneux même. Un de ceux qui fait comprendre qu’on est tout abandonné et prêt à encaisser. D’ailleurs, il ne s’y trompa guère et enchaina avec de longs coups profonds et bien sentis. Je sentais qu’il retirait sa verge de ma caverne et que le gland laissait ouvert ma rondelle mais qu’aussitôt il replongeait en moi.
Il me baisa encore longuement. Son pieux ne semblait jamais vouloir s’arrêter. Puis venue sans crier gare, je jouis sans me toucher. Ma verge raide se tendit et fut secouée par des spasmes qui crachèrent un jus épais sur le coussin. La verge, serrée dans mon fourreau qui la pressa un peu plus lors de mon orgasme, lâcha de longs jets puissants dans mes entrailles. Essoufflés, nous nous affalâmes sur le canapé.
-Balthazar, wahou
-Merci. Vraiment, c’était de ça dont j’avais besoin
On rit comme des gamins. Puis, toujours nus, on reprit notre conversation. On but encore un ou deux martini. Maintenant que la première excitation était retombée, nous étions plus calmes.
-Tu rencontres souvent sur ce site ?
-Ça faisait un moment que je m’étais pas connecté.
-Un coup de chance pour moi alors !
-Et aussi pour moi !
Il rit.
-C’est vrai que t’as bien encaissé.
-Tu m’as donné envie. Et toi, tu rencontres souvent ?
-Pas sur ce site, en général, je recherche des plans plus hard.
-C’est ce que tu mets dans ton profil.
-Et encore, là, j’ai rien mis.
-Ah bon ?
J’étais vraiment surpris. Je ne suis pas une sainte nitouche, mais moi et les réseaux sociaux, c’est pas mon truc.
-Ouais. J’aime bien des trucs comme les godes, l’uro, la domination.
-Des trips avec lesquels je suis pas trop à l’aise.
-Pourquoi ? Si t’as envie d’essayer des trucs, t’essaies. Si t’as pas envie, tu fais pas. Simple non ?
-Simple, c’est vrai. Mais je sais pas…
-T’hésites ? T’as peur ?
-Un peu.
-Tu sais, y a des règles. Faut les poser dès le début et c’est tout.
-T’as raison. Mais…
-Mais quoi ? Moi, je vais te dire. Avec ce qui vient de se passer, je peux te dire que tu as un gros potentiel.
-Potentiel de quoi ?
-De bonne salope.
Je le regardais incrédule.
-Pardon mais c’est vrai. Quand j’ai vu ton petit cul s’ouvrir sous ma queue. Ouah !
Je ne trouvais rien à répondre, mais mon regard devait parler pour moi.
-Je suis sérieux. Ton petit trou, il demande qu’à se faire dilater.
-Euh
-Mais si, doucement et avec savoir-faire.
-Tu m’as l’air bien sûr de toi.
-Je veux bien t’initier si tu veux.
-Je …
-T’en meurs d’envie. Tu commences à bander !
-Ah, pris en flag.
Il se leva. Lui aussi avait une nouvelle érection. Il me fit signe de le suivre. On alla dans sa chambre.
-Tu t’es déjà fait goder ?
-Oui plusieurs fois
-T’as aimé ?
-Oui. ça vaut pas une bite, mais c’est sympa.
-Et tu t’es déjà fait doigter ou fister ?
-Doigté oui. Mais pour le fist…
T’es pas obligé, ok ?
-Ok.
-Allonge-toi là.
Je m’installais sur le ventre où il glissa un oreiller sous moi pour que je relève mon cul. Il me caressait le dos, les fesses et très vite ses doigts visitèrent ma raie.
-T’es encore humide de tout à l’heure…
J’appréhendais la suite. En pourtant, je me sentais en confiance. J’aimais les caresses qu’il me prodiguait.
Je sentis un doigt entrer dans mon trou. Tout en douceur. Je savais que j’étais encore dilaté et qu’un deuxième doigt pouvait passer sans effort.
-Tu vois, j’y vais tranquille.
-C’est bien.
-Je continue ?
-Oui.
Il déposa du gel qui glissa dans ma raie. C’était un peu froid mais ses doigts glissèrent facilement.
-T’as pris combien de doigts ?
-Une fois, un mec en a mis cinq.
-Cinq ? bravo
-Mais je lui ai demandé d’arrêter
-Pourquoi ?
Je sais pas. J’ai cru que j’allais éclater quand il a voulu enfoncer sa main.
-Tu aimes ce que je te fais ?
-Oui. c’est bon.
-Oui, je sens que tu te détends bien.
Ses doigts me fouillaient délicatement. Ma rondelle s’habituait et s’ouvrait progressivement sous les mains expertes.
-T’as vraiment un super potentiel !
-Je gémissais.
-Tu sens comme tu t’ouvres ?
-Humm
-Je suis à quatre doigts et ça rentre facile.
Je soupirais et me laissais aller. Sa main tournait dans mon cul et je ressentais des sensations nouvelles. Je n’écoutais plus ma raison et mon corps prit le dessus. Je me calais encore un peu plus contre l’oreiller et j’écartais mes jambes. Instantanément, mon cul s’ouvrit un peu plus.
Du gel coula encore dans mon sillon. Un doigt courait autour de ma rondelle pour l’enduire généreusement. Parfois, il poussait contre les doigts qui fouillaient mon conduit. Je n’avais pas mal et mon cul s’ouvrait encore et encore.
-Je soupirai profondément quand il poussa son cinquième doigt. Il embrassa mes fesses.
-Ouais. C’est bien comme ça. Laisse-moi entrer.
-Humm
Je mordais dans l’oreiller et gémissais. Jamais je n’avais ressenti une telle extase. Puis quelque chose se passa. Un truc indescriptible. Il enfonça sa main entière en moi. Je sentis ma rondelle se refermer sur son poignet. La partie la plus large de sa main avait glissé dans mon conduit. Elle ressortit et tourna contre ma rondelle puis elle replongea en moi. La progression lente et régulière des doigts puis de la partie large de la main m’arrachait des râles bestiaux. Puis encore cette étrange sensation quand ma rondelle se referma sur le poignet.
-Joli. C’est bon ça ?
-Ah
-Je prends ça pour un oui.
Il fouilla mon cul encore un moment. Ma rondelle se dilatait et se refermait sur le poignet. Puis il retira sa main. Je le devinais observer ma rondelle béante. Il y posa son gland tendu. Mon trou affamé n’en fit qu’une bouchée.
-Comment y a d’la place là-dedans !
Il me chevaucha profondément. Mon conduit dégoulinait du gel épais et gluant qu’il avait utilisé. Alors qu’il avait poussé son dard au plus profond de mon trou, il mit un doigt de chaque côté de sa bite. Ma rondelle s’ouvrit sans difficulté et m’offrit un gémissement inattendu.
-J’étais sûr que ça passait !
Il me baisa avec sa bite et ses doigts en moi. puis il sortit d’un coup, mon trou émit un plop et je sentis ma rondelle béante comme jamais.
-Magnifique !
-Surprenant
-Je continue ?
-Ouais, vas-y
Aussi, il remit une bonne dose de gel dans ma raie. Une bonne partie coula dans mon conduit qui semblait ne plus vouloir se fermer. Puis les doigts reprirent leur exploration. Trois d’un coup, puis quatre puis cette intensité lorsque la main entière coula en moi.
-On passe un cran au-dessus ?
-Oui.
Les doigts caressèrent ma rondelle, puis le poing fermé massa l’entrée ouverte.
Je soufflais profondément. J’étais partagé entre peur et envie. Je cambrais mes reins et poussais sur le poing. J’étais déjà bien dilaté, le poing avait besoin d’un peu plus d’espace pour passer. Je m’abandonnais totalement à mon amant. Le poing entra. Mon conduit préparé et travaillé à la perfection, s’étira encore et encore jusqu’à absorber la masse.
Je râlais de plaisir. Mon amant retira le poing puis le renfonça. Encore. Puis il tourna en moi. Il le retira. Le plongea. Je râlais. Je pleurais de bonheur. Mes jambes tremblaient. Mon cul exultait de béatitude et d’allégresse. Je perdais pieds. Une main saisie ma verge. Et alors que le poing me percutait, la main s’activait sur ma verge. La jouissance fut telle que je criais de longues secondes lorsque mon sperme jaillit.
Je retombais épuisé sur le coussin. Le souffle court, je ne pouvais dire un mot.
-Je t’avais dit, gros potentiel !
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Balthazar
balthazarxxx@yahoo.com
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