« Viens avec moi. »
Sa voix chaude m’hypnotisait et j’obéis. Je me levai et suivis le beau métis aux yeux clairs.
Lorsqu’un peu plus tôt j’avais franchi le pas de la porte du bar, une ambiance lugubre y régnait. Puis quelques lumières allumées et une playlist plus tard, les habitués débarquèrent. Les conversations prirent un rythme de croisière et un métis s’installa au comptoir et me fixa avec insistance.
Il planta ses yeux clairs dans les miens et m’offrit un verre. On discuta un moment ; je payais un verre et lui remit ça. L’alcool me montait à la tête doucement. Et j’avais envie de pisser.
La porte à battant claqua derrière nous, étouffant la sono qui n’était plus qu’un murmure.
Je ne tenais plus et me précipitais vers une pissotière. Mon nouvel ami s’installa juste à côté. Nos regards se croisèrent dans le miroir suspendu au-dessus des urinoirs. Il fut évident qu’on se forçait pour ne pas baisser les yeux vers l’objet du désir.
J’eus à peine le temps de finir qu’il me projeta contre le mur. Il colla son torse au mien. Je le sentais musclé et tendu. Il m’embrassa goulument. Ses lèvres charnues sur les miennes éveillèrent un désir ardent.
Dans l’oreille, il me glissa un « j’attendais ça avec impatience » teinté d’ivresse.
Il caressa mon entrejambe et commença à branler ma verge tendue. D’une main experte, il libéra mon sexe.
-Très joli, dit-il tout sourire.
Aussitôt il s’agenouilla et sans avoir rien demandé, il me bouffa la teub. Sa langue suave et humide glissait le long de la hampe et avalait ma queue qui appréciait la caresse.
Je ne sais pas combien de temps dura la pipe, mais soudain il serra ses lèvres sur ma queue et quelques instants plus tard je crachais mon foutre dans sa gorge.
Lorsqu’il se releva, il souriait.
-On va bien s’marrer ce soir, viens !
À nouveau je le suivis au comptoir où on reprit un verre.
-Je te sens plus détendu maintenant.
-Avec l’alcool…
-Et une bonne pipe, dit-il en rigolant.
-Ouais.
-Et c’est qu’un début.
-J’ai hâte de voir la suite.
-Tu vas pas être déçu.
Il leva son verre et on trinqua, une fois encore. Son regard perçant attrapa mes yeux.
-Moi c’que j’aime c’est élargir des petits trous.
Je pouffais.
-Préparer ton petit trou, bien te détendre pour que tu sois prêt à me recevoir et te baiser à fond. C’est ça le programme. Ça te dit ?
Je bafouillais et ne savais pas trop si c’était du lard ou du cochon.
-Je suis sérieux, mec. Je vais te défoncer ton petit cul. Enfin, si t’es d’accord.
-Putain, tu m’chauffes grave.
-Et t’en redemanderas.
-On verra.
-C’est tout vu. Et tu diras merci !
Il vida son verre d’un trait. Je fis pareil. Le barman nous offrit un shooter de je-ne-sais-quoi. Et on posa nos verres vides sur le comptoir et on quitta l’ambiance électrique du bar.
Mon nouvel ami, Rémi, habitait à quelques pas de là. On marchait côte à côte. De ma taille, il était plus large d’épaules que moi. Je notais aussi que ses cuisses étaient bien moulées dans son pantalon. On marchait vite. Enfin on arriva chez lui. Petit appart sympa au premier d’une résidence avec peu de voisins.
La porte tout juste fermée, il se jeta sur moi. Sa bouche me dévora. Il m’embrassait et me gobait tout à la fois. Les mains sur mes hanches, il me poussa contre un mur. Il se collait à moi. Ce type m’enivrait. Je m’agrippais à ses épaules. J’enroulais mes bras autour de lui et mes baisers firent écho aux siens.
D’une main il attrapa mon menton, et releva ma tête pour m’obliger à le regarder. Son regard plongea dans le mien.
-J’ai très envie de toi.
-Moi aussi.
-Dis-le
-Je veux que tu me baises.
Je sentais ma queue se réveiller alors que j’avais joui peu de temps avant. Alors il commença à me déshabiller. Mes fringues et mes pompes s’entassèrent à côté de nous. Lui restait habillé. Il observa le corps mince que je lui offrais.
Alors il m’enlaça et me serra contre lui. Puis il empoigna mes fesses. Petites mais fermes.
-Comment je vais trop kiffer te la mettre.
-J’en meurs d’envie.
Bientôt ses doigts séparèrent mes globes pour écarter ma raie.
-Voici une petite rondelle qui ne demande qu’à s’ouvrir…
-Oui…
Un doigt poussa contre mon œillet. Il appuyait puis relâchait la pression. Ma rondelle s’assouplissait sous le doigté expert de Rémi. Puis il me fit retourner et m’appuyer contre le mur, les jambes écartées. Il se plaqua contre moi. Il embrassa ma nuque et ses mains caressèrent mes épaules. Son bassin avança contre mes fesses. Son ceinturon se cala contre mes reins. Une bosse épaisse et dure frotta contre ma raie. Ses mains couraient sur ma peau et ses baisers ne s’arrêtaient pas. Rémi m’ensorcelait. Je m’évaporais sous ses gestes tendres et virils à la fois.
Il ôta d’abord ses chaussures qu’il jeta avec les miennes, puis son pull, alors il se colla de nouveau contre moi. Son torse ferme était velu. Ses poils frisés caressaient mon dos. Derrière moi, la boucle de son ceinturon sonna. Puis le bruissement du pantalon qu’il retirait me fit frissonner. Enfin il allait venir. Je n’en pouvais plus d’attendre. Mais Rémi se colla un peu plus contre moi.
-Je vais prendre le temps, ok ?
-Ok
-Je veux profiter de ton corps toute la nuit.
Son souffle chaud, mêlé à ses mots, me faisait frissonner de désir.
-Tu seras à moi pour la nuit.
-Oui
Ses mains sur mes hanches se crispèrent. Il cala mon cul contre son barreau. Alors qu’il avait gardé son boxer, il se frotta langoureusement contre ma raie. Un barreau de chez barreau élargissait mes globes. Puis je sentis une pression forte à l’entrée de ma grotte. Je me tendis.
-Chut…reste-là. C’est juste pour que tu sentes ce que tu vas prendre.
-Mais Rémi, c’est trop gros
-T’inquiète, je vais bien te préparer.
-Ça passera jamais.
Il appuya son gland contre ma rondelle. Un gland énorme et dur. Large et épais. Tendu et fort. Même si je le voulais, je ne crois pas que je pourrais prendre un engin pareil en moi.
-Je t’ai pas tout dit tout à l’heure. J’aime ouvrir des petits trous, mais j’aime aussi les élargir. Tourne-toi !
J’obéis et il passa une main chaude sur mon crâne rasé.
-J’aime bien ton air de petit mec bourge qui s’la joue à la cool.
J’étais tellement excité. Rémi me mettait dans tous mes états. Il réveillait la salope qui n’était pas bien loin, il faut bien le dire.
-À genou.
Sans le quitter du regard, je me laissais glisser sur le sol et me tins droit sur mes genoux. Rémi approcha vers moi. Nos regards figeaient l’un dans l’autre. Il avait gardé son boxer. Je vis alors la déformation du tissu.
-Tu vas pas être déçu.
-La nature a été généreuse, on dirait.
-T’as pas idée. Attends de voir. Suce-moi !
Je tirai sur l’élastique du boxer qui s’accrochait anormalement à la protubérance. Un gourdin énorme s’en échappa. Rémi posa le gland violacé sur mes lèvres entrouvertes. Une goutte perlait au bout du gland. Je passai ma langue gourmande dessus et goutai le miel du sucre d’orge. Alors j’entrouvris mes lèvres pour engouffrer le chibre énorme.
Rémi appuya une main à l’arrière de ma tête. Je ne baissais pas les yeux, et sans un mot je m’appliquai pour avaler la tige monstrueuse. Le gland buta au fond de ma gorge. Je dus m’y reprendre plusieurs fois avant de pouvoir l’avaler correctement.
Dans un soupir, Rémi apprécia ma prouesse et ma baisa la bouche copieusement. Je bandais comme un fou.
Puis Rémi me releva et enfourna sa langue dans ma bouche. J’avais encore le goût de sa bite sur la langue. Je m’accrochais à ses bras musclés et enfonçai ma langue dans sa bouche. Rémi me plaqua contre le mur, me retourna et écarta mes jambes. D’un mouvement rapide, il colla mes mains au mur. Puis son menton glissa le long de mon dos. La barbe naissante égratignait la peau fine au-dessus de la colonne. Ses mains fermes séparèrent mes globes. Rémi embrassa ma rondelle. Sa langue allait le long de ma raie. Il humidifiait ma raie et ma rondelle. Parfois sa langue poussait mon œillet pour y entrer. Rémi me bouffa le cul comme un roi. Mes gémissements l’amusèrent.
-Ton cul est trop bon à bouffer.
Je ne voulais pas qu’il s’arrête. Je voulais qu’il continue. Je gémissais comme une chienne. De ses doigts il écartait un peu plus ma raie. Puis Rémi introduisit son index dans ma caverne. Délicatement, il tourna son doigt, poussa de la salive dans mon conduit et massa généreusement mon trou. Je me laissais aller à tant de caresses. Je savais que ma rondelle se détendait facilement.
Rémi prit le temps de préparer ma rondelle. Lorsqu’il estima que l’heure était venue, il se redressa.
Je vais y aller tout doucement.
Je soufflais lorsque le gros gland frappa ma rondelle. Bien détendu, je n’en avais pas oublié le mastodonte pour autant. J’expirai profondément et poussai sur l’énorme engin.
Tranquille, mec. Je veux pouvoir te baiser comme il faut.
Il retira le gland et aussitôt le représenta à ma rondelle. Il enduisit copieusement son membre de salive à chaque tentative. Après plusieurs essais, mon œillet se détendit parfaitement et Rémi poussa son gland une dernière fois.
Un cri de surprise m’échappa. Je me sentais comme gonflé de l’intérieur. Une sensation étrange.
-Allez, laisse-moi entrer.
-Oh, c’est énorme.
-Détends-toi. Respire.
Je calais ma respiration sur la sienne. Mon cul me faisait mal. L’intrus n’avait pas assez de place. J’avais l’impression que mes entrailles allaient éclater.
Rémi commença à faire de petits mouvements du bassin. Doucement, il murmurait à mon oreille.
-Chut. Tranquille. C’est trop bon.
-Oh
-Tu la prends sans effort.
-Ah. Oui, vas-y!
Rémi allongea ses gestes peu à peu. La verge dure me pénétrait un peu plus profondément à chaque coup. Je m’habituais au calibre imposant du chibre. Je tendis ma croupe vers Rémi. Les va-et-vient reprirent.
-Tu t’ouvres bien comme ça, tu vois.
-Oui. ça le fait grave.
-Ça te plait ?
-Oui. Vas-y baise-moi bien.
Sans prévenir, Rémi retira sa queue de mon trou qui émit le bruit d’une capsule qu’on fait sauter. Puis il offrit sa bite à mon trou qui l’accueillit avec plaisir.
Alors qu’il me besognait, et sans que je puisse le contrôler, ma queue cracha deux ou trois jets de sperme. Je tremblais de la tête aux pieds. Ses bras, son torse, ses jambes. Bien sûr sa verge qui ne débandait pas.
-Tu veux que je recommence ou tu préfères qu’on arrête ?
-J’ai pas encore dit merci.
Rémi se fendit d’un grand sourire. Il m’installa sur le dos et releva mes jambes sur ses épaules. Mon trou s’ouvrait déjà et aspirait l’air. Pas bien longtemps, car le gland, majestueux, cogna à l’entrée. Enduit d’une belle dose de gel, il glissa sans effort dans mon trou. Je soupirais d’extase. L’énorme engin m’élargissait le cul à chacun de ses passages. J’étais étonné d’une part par les sensations extrêmes que je vivais, mais aussi par la facilité avec laquelle mon trou avait accepté, et adopté, le calibre xxl.
Mes râles s’intensifiaient à mesure que Rémi poussait plus loin et plus fort son glaive. Il approcha son visage du mien. Sa queue buta encore plus profondément en moi.
Rémi me roula une grosse pelle et me dit
-Je suis content que tu aies dit oui.
On changea de position plusieurs fois. De côté, de face, moi sur lui. La chienne que je suis, braillait de bonheur. Rémi me culbuta longuement, et c’est quand il me prit à quatre pattes sur son lit qu’il jouit dans mon trou dilaté.
La nuit fut longue. Rémi semblait insatiable. Il me prit encore deux fois après ça. Mon petit trou avait été bien ouvert et bien élargi, comme il l’avait dit.
Ce n’est qu’après quelques heures de sommeil et le petit déjeuner, suivi de l’encas que je lui offris, que je le remerciai chaleureusement, sa queue bien installée dans mon petit trou.
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Balthazar
balthazarxxx@yahoo.com
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