Hormones à l'envers

3| L'épreuve

Acte 3, montée en puissance

J'ai passé le reste de la journée enfermé dans la pénombre de la grange, dans la petite cage. Périodiquement il commandait à distance le plug et pendant des séances plus ou moins longues et des intensités plus ou moins forte, mon corps et surtout ma prostate entraient en communion avec les vibrations. C'était épuisant mais parfois très jouissif. Je comprenais mieux tous les mecs branchés sur les sites de chat. À un moment Il est passé, toujours aussi beau, toujours à poil, pour m'apporter un bol de céréales..

-on fait quoi maintenant ?! Je vais passer mon temps dans cette putain de cage ! Et j'ai envie de pisser !

- t'es pas près de sortir si tu gueule ! Et si t'as envie de pisser te gêne pas..

Il est reparti...

Et puis pourquoi pas ! J'étais déjà bien crade, le ventre collant de sperme sans parler de mes cuisses et de mon cul. Je me suis soulagé en essayant de ne pas trop m'en mettre partout.

J'ai du finir par m'assoupir car je ne l'ai pas entendu s'approcher.

- allez debout là-dedans !

La porte de la cage ouverte, je suis sorti tant bien que mal et tout courbatu.

Il m'a remis le collier autour du cou et d'un coup sec de la laisse, m'a ordonné de le suivre.

Il faisait nuit et frais ; nous avons rejoint une maison attenante à la grange.

Il y faisait bon et elle était pour ce que j'en voyais simplement mais joliment meublée. Il m'a emmené vers une salle de bain

- prends ta douche ! Et lave-toi à fond.

Je me suis bien sûr exécuté et je me suis longuement lavé sous son regard attentif et.. directif.

- tourne-toi quand tu te lave le cul ! Écarte bien les fesses ! Montre moi ton petit trou et savonne le bien.

Après cela, toujours à poil mais sec, nous sommes allés à la cuisine où il avait réchauffé des pizzas que j'ai mangé en deux temps trois mouvements et...en silence sous sa surveillance. Resté debout toujours nu devant moi tandis que j'engloutissais sa pizza infâme, il se tripotait le sexe tout en me "surveillant". Mon Dieu quel engin ! De fait c'est la première fois que je voyais son sexe au repos.. sa longue et épaisse tige reposait, quand il ne l'agitait pas devant moi sur de grosses et lourdes couilles bien pendues que j'avais déjà eu l'occasion de bouffer... A mon corps défendant, Je sentais ma queue se raidir doucement mais sûrement.

- viens maintenant, et il me tire fortement sur la laisse, on passe à l'épreuve de résistance... assied-toi là.

Et il me désigne un banc de musculation redressé et m'ordonne de m'y asseoir. Après m'avoir lié les mains derrière le dossier et les pieds au banc, il m'a posé un bâillon boule dans la bouche et un masque sur les yeux. Il a ensuite lié fermement ma queue et mes testicules façon cockring et ball stretcher.

- maintenant, après avoir commencé à éduquer ta chatte, tu vas apprendre à te retenir le plus possible.. cela s'appelle du "edging".

Et il a commencé à jouer avec ma verge qui s'est dressée d'un coup. Les liens étaient très serrés et je pouvais sentir mes veines gonflées de sang entravées par les liens, saillir sous sa main. Bientôt bien sûr, l'orgasme s'est approché : quand il a senti que j'étais au bord de l'éjaculation, il a stoppé et lâché ma tige. J'ai hurlé dans mon bâillon et j'ai essayé de me libérer mais il a recommencé, recommencé.. Bientôt, Je suppliais qu'il me laisse jouir, qu'il me libère de ce plaisir accumulé en moi et je soulevais mon bassin pour chercher la main libératrice. Parfois il frappait de petits coups secs sur mon périnée ce qui décuplait encore mon désir de jouir. Combien d'orgasmes m'a t'il empêché d'avoir, Je n'ai pas compté .. quand enfin il m'a laissé aller au bout, j'ai jouis sans doute comme jamais, j'avais les larmes aux yeux et j'ai envoyé de longues giclées de foutre sur mon torse et mon visage.

- pas trop mal, a t'il simplement dit..

Après m'avoir libéré, je l'aurais embrassé pour m'avoir donné un tel plaisir.

- va te coucher, ta chambre est là . Demain, j'ai de belles surprises pour toi.

J'ai dormi d'un profond sommeil , épuisé, le corps encore endolori; chaque cellule gardant la mémoire de la journée passée. Le lendemain, quand je me suis réveillé, j'ai ouvert mes volets et le soleil était déjà bien haut. Je n'avais pas idée de l'heure mais il devait être tard dans la matinée. Il m'avait donc laissé dormir tout mon saoul. Je l'ai retrouvé dans la cuisine en train de préparer une omelette, toujours à poil. Toujours aussi beau.. son sexe reposé, imposant. J'ai ressenti une telle poussée de tendresse, d'affection, de reconnaissance. Je me suis doucement collé derrière lui , ma verge calée entre ses fesses; j'ai caressé ses larges épaules tatouées et j'ai continué jusqu'à entourer de mes deux mains son sexe lourd. il s'est laissé faire, son vit palpitant dans mes paumes.

- mange, ta journée va être intense. Après on passe à la douche...,

Il s'est douché avec moi ; corps contre corps, sexe contre cul, sexe contre sexe. Nous nous sommes savonnés avec tendresse de mon côté... .et je veux le croire du sien aussi, je crois. Après la douche Il m'a massé tout le corps avec une huile essentielle à la grenade puis il m'a rasé la raie du cul et il m'a juste laissé une courte et élégante couronne de poils autour du sexe. J'ai du aussi revêtir un jockstrap noir. Pourquoi tout ça , j'avais ma réponse...

acte 3, le cadeau

- je t'ai vendu pour l'après-midi à un monsieur très bien, tu verras, tu es son genre et tu n'auras qu'à faire ce qu'il demande. Je te rassure tout de suite, c'est un doux. Après si ça t'intéresse, j'ai des amateurs pour tous les goûts mais pour ta première, je t'ai réservé du haut de gamme, ne me déçois pas !

Je suis retourné attendre dans la cage. Quelque temps après, un beau jeune homme, mince, élégant est venu me libérer.

- viens vers moi, m'a t'il commandé d'une voix douce en ôtant sa veste, défait ma cravate et pose là sur ma veste.

Assis entre ses cuisses, je me suis exécuté tandis qu'il me caressait le dos et les fesses comme pour s'assurer de la qualité de la marchandise.

-déshabille-moi.

J'ai commencé par déboutonner sa chemise blanche, bouton par bouton découvrant peu à peu son torse. Lui caressait mon corps.

La chemise ôtée, il m'a embrassé. C'était bien...

J'ai déboutonné son pantalon faisant apparaître un slip blanc bien distendu ; j'ai caressé la bosse de coton immaculé, je l'ai mordillée ; c'était chaud et vivant c'était la preuve de son désir brûlant.

- aide-moi à l'enlever.

J'ai délacé ses souliers et je l'ai aidé à baisser son pantalon. Il m'a ensuite attiré vers lui pour m'embrasser et mieux caresser mes fesses et explorer mon sillon. Un doigt est venu caresser ma rondelle et j'ai commencé à gémir...

Il s'est alors levé. Son bassin à quelques centimètres de mon visage , le tissu de son slip complètement distendu par sa queue. Je l'ai à nouveau mordillé de partout impatient de découvrir ce qui se cachait là dessous mais n'osant pas prendre d'initiative.

Il m'a alors demandé de me coucher sur l'espèce d'estrade sur laquelle il était assis et de bien écarter les cuisses.

Mon sexe raide était à moitié sorti du jockstrap noir mais ce qui l'intéressait c'était mon sillon fessier qu'il caressait tout en se caressant le sexe gonflé sous le slip. Ses doigts caressaient ma rosace m'arrachant de petits couinements de plaisir .

- je vais te baiser, tu le sais ?

- oui monsieur,

- ton maitre m'a dit qu'il t'avais bien préparé, c'est vrai ?

- oui monsieur

Il a serré mes boules dans une main et il venu doucement les lécher..

Ce mec était effectivement un doux, soucieux de mon plaisir aussi, bonheur !

Puis il est venu lécher mon périnée et je n'avais plus qu'une idée en tête, sentir sa langue dans ma raie et ma rondelle...

Mais non, il fallait encore patienter.. Il avait encore son slip toujours aussi distendu et il voulait me voir caresser, lécher, mordiller le tissu et sa queue en dessous. Quand enfin il a libéré sa verge , ça a été comme un cadeau ! Épaisse, veineuse, un gland proéminent; je l'ai immédiatement prise en bouche, sucé son gland, léché ses veines saillantes, ses couilles poilues.

Il a commencé à me baiser la gorge avec de petits va-et-vient tout en me caressant la tête ; malgré sa taille imposante c'était doux et presque émouvant.

Mais, c'était mon cul quand même le but final.

A quatre pattes, cuisses bien écartées, il m'a pénétré doucement et baisé longtemps mais toujours en prenant en compte mon plaisir. Il a joui sur moi, tout en regardant les derniers spasmes de mes sphincters . Récupérant son sperme sur mes cuisses avec sa verge encore bien raide, il m'a enculé une dernière fois.

Ensuite, sortant un grand mouchoir blanc de sa veste posée à côté,

- essuie moi le ventre et la queue et essuie toi ensuite le cul.

- retourne en cage..

Il s'est rhabillé et a disparu.

Mon maître est arrivé peu après.

- mon client t'as vraiment trouvé à son goût et il veut te revoir mais dans d'autres circonstances plus habituelles, si ça te vas, Je lui envoie tes coordonnées.

- ok dis-je sans hésiter, ce mec m'avait plu.

- quartier libre maintenant, jusqu'à ce soir pour l'épreuve finale..

acte 4, apothéose

Il est venu chercher dans ma chambre , habillé cette fois-ci d'un survêtement infâme.

- viens, c'est l'heure de l'expérience finale, suis-moi.

De nouveau dans la grange mais dans une partie que je n'avais pas encore vu.

C'était une sorte de labyrinthe de planches de bois qui menait à une paroi en bois elle aussi mais percée de sortes de lucarnes.

- va derrière et déshabille-toi, tu vas vite comprendre ce que j'attends de toi pour cette première étape.

Fallait pas être grand clair pour devenir ce qu'était cette mise en scène. Elle reproduisait tout bêtement des gloryholes. Il y avait deux lucarnes, l'une devait être un gloryhole "classique " l'autre était équipé d'un banc collé à la lucarne et je voyais à peu près à quoi ça pouvait servir.

J'ai entendu des pas, des voix... puis j'ai vu arriver deux ou trois mecs qui se sont posés sur des bancs derrière moi ; il devait y en avoir aussi de l'autre côté car j'entendais également des voix chuchotées.. le salaud avait prévu des spectateurs, voulant sans doute titiller mes penchants exhib.

Dans la première lucarne est apparue une longue verge que je commençais à bien connaître..

Je me suis approché et j'ai commencé mes préliminaires à petits coups de langue ; gland, prépuce, méat, veines saillantes. Le corps plaqué contre la paroi, sa queue tressaillait de plaisir, affamée elle me cherchait dès que je faisais une petite pose dans mes assauts.. j'entendais de part et d'autre les murmures commentant la scène et je prenais bien soin de me tenir accroupi, cuisses bien écartées ; cela devait bien les exciter car un des spectateurs derrière moi, est venu glisser sa main dans mon sillon et caresser d'un doigt mon œillet qui, je le sentais était bien ouvert.

Pendant un long moment, mon maître a été à la manœuvre, poussant son vit bien profond dans ma gorge à la plus grande joie de l'assistance qui très nettement l'encourageait de son côté et je devais faire de gros efforts pour maintenir ma tête droite à chacun de ses coups de reins.

Finalement, il a passé la tête par la lucarne,

- va te coucher sur la banquette ; tu te mets sur le dos et tu passe tes jambes et ton cul par la lucarne.

Je ne voyais rien de ce qui se passait de l'autre côté mais la plus part des spectateurs sont y sont allés.

Le maître a soulevé mes jambes très écartées et très haut et à attaché mes pieds.

J'avais conscience d'une soudaine fragilité à me retrouver ainsi les cuisses largement écartées, le sexe et le cul sans protection aucune devant des inconnus.. qu'avait t'il prévu maintenant, une tournante? Je m'étais engagé à faire tout ce qu'il souhaitait mais étais-je prêt pour un gang bang?

Mon maître, j'ai reconnu son toucher, m'a caressé le sexe, comme pour mieux me rassurer; inquiet, j'avais commencé à débander. Puis il m'a copieusement terminé de gel l'anus. Ses doigts entraient sans difficulté et j'étais de nouveau très excité.. Il les tournait et retournait en moi, écartant doucement mais fermement mes sphincters.. C'était une sensation nouvelle, douleur et plaisir alternant. J'ai enfin compris ce qu'il faisait et j'ai débandé aussitôt ; un peu d'angoisse mai aussi une envie irrépressible de plaisirs nouveaux. De moi même je me suis concentré sur ces doigts qui tournaient et tournaient en moi, entrant millimètre par millimètre. j'ai adapté ma respiration à cette pénétration pour me détendre le plus possible. Puis une fulgurance de douleur; j'ai hurlé d'un subtil et enivrant cocktail de douleur /plaisir quand le passage s'est fait, quand la crête du poing est entré; comme une libération et en même temps une explosion de sensations. Après tout doucement tout est devenu plus facile; quelques petits va-et-vient du poing, puis il est sorti et revenu pour recommencer et le plaisir m'a envahi. J'ai gémis, gémis, sans retenue, Je voyais ma queue bien raide frapper contre mon ventre au rythme des mouvements de son poing maintenant entièrement en moi.. et puis alors que son poing enfoncé jusqu'au poignet fouillant mes entrailles, l'orgasme puissant, unique;

ma verge s'est dressée, douloureuse de tension, de puissantes giclées de foutre se sont écrasées sur mon ventre.

Cela a continué, longtemps, immense, inouïe; par trois fois, ma verge s'est dressée, vaincue, déversant des quantités insoupçonnées de foutre. Enfin, sa queue à remplacé le poing, il lui fallait lui aussi prendre un peu du plaisir qu'il me donnait.

Il a jouit, répandant sa semence en moi.

Les spectateurs ont applaudi , certains sont venus me caresser le ventre et goûter à mon sperme d'autres se sont penchés pour voir mon cul déchiré ou même lécher ma rosace encore bien ouverte.

- viens, tu as été formidable, à la douche !

à suivre....

Certaines histoires sont inspirées de petits films de boules que j'ai bien aimé et que j'aime raconter avec des mots ; si elle vous plait et si vous voulez en voir l'illustration filmée, rendez-vous sur mon blog MOIHIMSELF.