Premier épisode
2| Le donjon
J'avais eu beaucoup de plaisir durant la séance découverte, du plaisir comme rarement et pas seulement grâce à la taille xxl de son membre. C'était plutôt son savoir faire qui m'avait fait découvrir des plaisirs qui m'étaient encore inconnus.
De fait, quelques temps après ce premier rendez-vous, Je n'ai pas résisté à le rappeler. ..
- je peux te proposer un "stage d'endurance" ? Me dit-il laconique.
- que voulez-vous dire ?
- si tu me fais confiance, tu ne le regretteras pas mais je ne peux rien te dire.. si tu es partant, on se retrouve dans le bois de Vincennes, Je te ferai un plan d'accès. .. ah! Et ne prévois rien pour le week-end.
Après nous être arrangés pour le prix exorbitant de cet énigmatique stage surprise, je reçus un sms avec un point de rencontre en plein bois. Il voulait sans doute m'organiser une séance en extérieur genre exhib qui flippe d'être surpris par une famille en promenade...
Samedi vers 14 heures comme convenu, Je me suis rendu dans le bois en suivant ses indications et à l'endroit prévu, j'ai quitté le sentier pour m'enfoncer dans le bois.
Au bout de longues minutes de recherche infructueuse, j'étais toujours seul. Était-ce un canular ?
Et puis enfin, je l'ai aperçu à quelques mètres de moi, à peine caché derrière un arbre. Marrant, il s'était tout de noir vêtu et recouvert d'une sorte de cape noire mais ce qui se voyait le plus dans tout ce noir, c'était son braquemart dressé à l'horizontale !
Je me suis doucement approché tout content de l'avoir enfin trouvé, de commencer "le jeu" et bien sûr de revoir cet exceptionnel mandrin et d'en profiter !
Non seulement, il était tout en noir mais son visage restait à moitié caché par un foulard genre "bandit de grand chemin ".
Arrivé à sa hauteur, je ne voyais plus que cette "massue de chair" qui dépassait. J'ai fait un vague sourire et baragouiné un vague bonjour mais déjà je tendais la main vers sa verge tendue .
Soudain, un choc, le trou noir. Plus rien.
Acte 1, préparation
Je me suis réveillé les yeux bandés, juste vêtu de mon boxer, pieds et poings liés sur quelque chose en bois. Depuis combien de temps étais-je resté évanoui? je n'avais plus de montre, rien que mon boxer... et de toutes les façons impossible avec le bandeau de distinguer quoi que ce soit. Je percevais juste comme une odeur de poussière, d'humidité.. peut-être un garage, un grange,....ça commençait bien!
J'avais beau me démener impossible de me libérer , les chaines me permettaient juste de me mettre à quatre pattes.
Un bruit de porte derrière moi; il est arrivé tout près de moi, a caressé mes fesses, mon dos, a tâté rudement mes couilles.
- Bienvenue dans mon donjon, esclave ; tu as voulu être ma chose pendant ce week-end et me donner les pleins pouvoirs sur ton corps et ton esprit, maintenant tu es à moi.
Je n'ai pas pu m'empêcher de sourire à l'écoute de ce discours convenu et théâtral.
- Tu te moques, esclave?! tu vas déguster! excuse-toi!
Et voilà qu'il m'assène sèchement des tapes avec ce qui pourrait être une "tapette à mouches" sur les pieds , sur les fesses et surtout, beaucoup plus douloureux, sur mes boules; je ne rigole plus...
- excusez-moi, maître, je suis désolé, je ne recommencerai plus; il me fallait jouer le jeu; de fait j'avais payé cher pour cela!
Contact froid sur ma cuisse, du métal... des ciseaux qui découpent mon boxer; je sens l'air frais caresser mes fesses, mes poils se hérisser; chair de poule. Ma queue se libère, je bande dur.
- Hmmm! je me rappelle bien maintenant de ce petit cul bien serré, trop serré, on va le décoincer; c'est bien cela que tu veux?! C'est ça que tu es venu chercher?!
- oui maître!
- j'ai pas bien entendu! tu veux que je te défonce le cul?! tu veux apprendre à encaisser!
- Oui maître, je veux que tu me pilonne l'anus!
- Tu bandes mon salaud! T'as faim! et il me tapote les fesses, les cuisses et surtout la queue et les boules ; je couine un peu sous la douleur, je tente d'esquiver mais les chaînes m'en empêchent . Il se marre doucement...
- j'ai ici une petite collection de plugs préparés exprès pour toi! voyons par quoi je commence?
il a tartiné mon sillon et ma rondelle de gel puis m'a caressé la raie avec ce qui semblait être une tige de boules; voilà, ça commence, une petite boule s'est introduite en moi, suivie d'une autre, puis d'une autre, à chaque fois plus grosse. combien en a t-il mis, je n'ai pas compté, mais c'était une sensation étrange au-delà de la taille des boules, le plus étrange était la longueur de la tige surtout quand il s'est amusé après deux va-et-vient, à la faire vibrer en moi.
- tu aimes ça, esclave?! et hop il l'extraie d'un coup pour l'introduire une dernière fois d'un coup cette fois ; j'ai crié une nouvelle fois ce qui m'a valu une claque violente.
Il m'enfonce ensuite ce qui doit être un plug, Je l'accepte sans difficulté et avec soulagement
- serre le bien, il ne faut pas qu'il tombe si non , je claque... trop facile celui-là, je vais passe direct au plus gros me dit-il en ôtant enfin mon bandeau.
Il était là devant moi, son corps massif, musclé et tatoué et sa queue imposante, enserrée, tuméfiée par un cockring en acier, dressée à l'horizontale. En me montrant la table derrière, il se saisit du plus gros et commence à me l'introduire par de petits va-et-vient; celui-là, je le sens passer et tout en écartant bien les cuisses, je gémis doucement pour ne pas subir sa colère. Quand enfin il est tout entier en moi, j'ai beaucoup de mal à l'enserrer afin qu'il ne glisse pas mais je n'y arrive décidemment pas. A chaque fois qu'il glisse, il l'enfonce à nouveau d'un coup sec puis il me montre alors une vieille chignole... que veut-il en faire?!
Il la visse alors sur le gros plug qu'il m'enfonce direct au fond puis se met à le tourner à grande vitesse dans mon tréfond tout en le manœuvrant dans tous les sens; ce coup-ci impossible de me retenir tant la sensation est forte. ma queue est toujours bien raide et je vois un mince filet de mouille s'écouler sur le socle de bois.
Quand enfin, il me libère, je sens l'air frais entrer en moi.. je dois avoir la rosace grande ouverte.
- Putain, t'as la chatte béante! Baisse-toi que je t'embroche, dit-il en me tirant par les hanches et m'empalant avec son vit.
J'avais oublié l'exceptionnelle longueur et largeur de l'engin qui me fracasse le fondement. Pendant combien de temps m'a t'il laminé ? j'ai eu l'impression d'une éternité; sa verge fouillait, fouillait chaque recoin de mon anatomie, m'arrachant de grands cris de plaisir; ma queue dressée mouillait abondamment et puis, enfin, il s'est retiré et dans un râle bestial a trempé mes fesses de foutre qu'il a soigneusement nettoyé en le glissant dans mon fion. Après cela j'ai eu l'honneur de pouvoir nettoyer son braquemart jusqu'à la dernier goutte de sperme... j'ai pu enfin sous ses ordres, éjaculer de copieuses salves de foutre sur le socle de bois où il m'avait enchainé. Après m'avoir remis le bandeau et resserré mes liens, il m'a abandonné là malgré mes suppliques.
Acte 2 la cage
Après une éternité de solitude , il est enfin venu me chercher. Il m'a mis une sorte de collier de chien autour du coup et après m'avoir libéré de mes liens, il m'a tiré de la laisse,
- t'as envie de pisser? chier? les toilettes sont là.
sans aucune intimité , j'ai du pisser devant lui sur un chiotte posé là dans un coin du hangar
- je te conseille de chier aussi car après ça on va à la douche...
Là encore, j'ai du me resigner à faire mes besoins devant lui... Après cela, il m'a mené vers une salle de bain sommaire. Il a fait couler l'eau puis m'a poussé sous le jet et à ma grande surprise, Après cela, passant sa main partout sur mon corps, sans oublier les recoins les plus intimes, il m'a méticuleusement savonné. Puis rincé. Puis, il m'a tendu une douchette longiligne
- lave-toi le cul avec ça! il me demandait, là encore sans intimité de me faire un lavement. Je me suis là encore exécuté devant lui. Après s'être assuré que tout était propre il m'a tendu une serviette. Nous sommes retournés vers ce qui était effectivement une grange et il m'a débarrassé de la serviette, me laissant entièrement nu et il m'a ordonné de m'enfermer dans une toute petite cage où je ne pouvais tenir qu'assis.
J'ai attendu, attendu. L'obscurité se faisait plus intense, le soir tombait. Quand il est revenu il faisait bien nuit.
il s'est approché encore habillé, doucement, comme pour me faire saliver, seule sa verge raide dépasse de sa braguette. je bande à nouveau et j'attends avide sa queue. Il l'a glissée entre deux barreaux de ma cage; Je l'ai gobé toute entière dans d'affreux borborygmes, je n'ai rien eu à faire, par ses coups de reins, il m'a baise littéralement la gorge.
J'en pleurait tellement c'était profond et intense et plusieurs fois j'ai faillis rendre.. Mais je voulais assurer !
Après ça, il s'est dévêtu lentement, dévoilant peu à peu son corps musclé. Il m'a libéré de la cage pour mieux me lier à une croix de Saint André, bras et jambes bien écartées, face au mur. Il m'a alors embroché direct m'arrachant des larmes de douleur. Puis mon corps s'est adapté à sa verge fouillant profondément mon anus et à ses coups de reins écrasant son ventre contre mes fesses. Puis le plaisir est venu comme une vague qui submerge tout et qui souvent me transporte au bord de l'extase alors il s'extraie totalement me laissant le temps de redescendre un peu et m'empale à nouveau d'un coup sec. Le silence de la grange, son "donjon" n'est rompu que par mes gémissements, mes suppliques et les borborygmes des chairs pénétrées. Après cet épisode sur la croix,
Il me détache pour me conduire à un instrument de torture, un joug! Trois orifice dans lesquels il m'oblige à glisser mes bras et ma tête et des repose pieds qui me forcent à rester jambes très écartées. Il me tend sa verge qui me baise sauvagement ma gorge, Je ne puis ni reculer ni tourner la tête et à plusieurs reprises je me trouve au bord de l'étouffement.. quand il s'arrête, c'est quand même un vrai soulagement et j'apprécie cette pose! Peu après, Il se pose derrière moi, m'écarte les globes, crache sur ma rondelle, enfonce un doigt puis deux,
- il y a encore du travail ! On va faire un nouveau training, et il s'enfonce en moi si brutalement que mon cou choque violemment contre les parois en bois du joug, Je hurle mais il continue à me pilonner fortement tout en me maintenant par les hanches. Son jeu de reins est magique et fait se mouvoir en moi la tête chercheuse provoquant des sensations extraordinaires. J'en veux, j'en veux tellement que mon cul souvent l'accompagne , c'est un ballet érotique dont je ne me lasse pas à ma grande surprise. Mais, il a très envie de me faire essayer tout son matériel et après m'avoir libéré du joug, Je dois m'installer sur un sling et très vite il reprend ses va-et-vient tout en provoquant un balancement de plus en plus fort, jusqu'à ce que sa verge s'extraie de mon cul pour mieux s'empaler à fond au retour dans un gargouillement atroce. Quand j'ai compris qu'il était proche de l'orgasme, j'ai pris ma verge tuméfiée et trempée de sueur et de mouille en main et j'ai accompagné ses coups de butoirs.
J'étais tellement excité que je n'ai pas mis longtemps à jouir suivi de près par lui qui tenait visiblement à mélanger son foutre au mien sur mon ventre. Après cela il m'a de nouveau enfilé "Pour bien nettoyer sa queue ".
Avant de me permettre de m'extraire du sling, il m'a enfoncé un plug anal vibrant.
- c'est pour pas que tu t'ennuies sans moi... Je peux le commander à distance pour te donner du plaisir et n'essaie pas de l'ôter...
- à la niche maintenant et repose toi bien car j'ai une surprise pour toi ce soir. Si tu es obéissant, tu dormira dans un lit cette nuit.
à suivre
Certaines histoires sont inspirées de petits films de boules que j'ai bien aimé et que j'aime raconter avec des mots ; si elle vous plait et si vous voulez en voir l'illustration filmée, rendez-vous sur mon blog MOIHIMSELF.
Garbxc
garbxc@gmail.com
Certaines histoires sont inspirées de petits films de boules que j'ai bien aimé et que j'aime raconter avec des mots ; si elle vous plait et si vous voulez en voir l'illustration filmée, rendez-vous sur mon blog MOIHIMSELF.
Autres histoires de l'auteur :