Salut ami lecteur, j’espère que tu as aimé mes deux précédents récits érotiques. Celui-ci risque de te séduire aussi et te pousser à en savoir plus. Pour rappel je suis Damien, la petite trentaine, 35 ans mais comme je suis fin et glabre on me donne dix ans de moins. Contrairement aux autres auteurs du site je ne suis pas un homme balèze avec des tablettes de chocolat et des muscles d’athlète. J’ai un look normal, cheveux bruns mi longs et visage fin. Bref, passons. J’habite un petit immeuble de quelques appartements dans une ville de province très calme. Depuis quelques mois l’appartement voisin était à louer. Mais depuis hier, j’entends des bruits, une voix. Masculine. Il semble bien que le vide locatif ne le sera plus longtemps. Cool, cela me fera de la compagnie à mon étage.
Occupé à la rédaction de mon roman érotique gay, je n’ai plus fait attention au déménagement en cours. La semaine a passé. Et ce matin en revenant de la boulangerie, j’ai croisé mon nouveau voisin dans l’escalier. « Bonjour, je suis votre nouveau voisin, Alexandre » se présente cet homme imposant, barbu de poivre et sel, cheveux blancs soignés. « Bonjour, je suis Damien » je lui réponds, le rouge aux joues. Je ne sais pas pourquoi. « On peut se tutoyer ? Veux-tu venir prendre le petit-déjeuner chez moi ? » me demande-t-il ? « Avec plaisir, le temps de rentrer et me changer, la pluie m’a trempé ». « Parfait, à toute de suite » me lance-t-il en passant sa langue sur ses lèvres.
Je rentre chez moi, je dépose mes achats dans la cuisine et je me rends dans ma chambre pour me changer. Je me déshabille rapidement. Nu devant la penderie, j’observe mon corps dans le miroir. Mais pourquoi cette érection puissante ? Etrange. Le miroir reflète mon corps lisse et ma jolie queue tendue. Je me retourne et j’admire, c’est vrai mes petites fesses rondes et blanches. Elles cachent ce petit œillet qui a bien servi avec ces phallus d’hommes qui ont élargi le passage. Je passe un t-shirt, je mets un string ficelle noir et un jeans moulant, parfait pour mettre en avant mon petit cul.
En quittant l’appartement, jamais je n’aurais imaginé ce qu’il allait se passer après. Je sonne chez mon voisin. Des pas se font entendre et la porte s’ouvre sur mon voisin. Qui me laisse entrer. Sa tenue me fait rougir, il est en peignoir de soie noire, manifestement nu dessous. Je devine ses poils blancs sur le torse. S’il savait que j’aime les hommes mûrs depuis mon dépucelage il y a des années. « Installe-toi le temps que je prépare le café et que je ramène les croissants » me dit-il. Une étrange musique lancinante se fait entendre dans l’appartement. Une douce odeur d’épices me séduit. La pièce est bien décorée de vieux objets, des tableaux de nus masculins sont accrochés au mur et sur la table basse du salon une pile de magazines attire mon regard. Des magazines dans une langue étrangère et plutôt hot. Du X masculin avec des photos de domination. Cool, mon voisin est gay, comme moi. C’est à ce moment que mon voisin revient avec un plateau, posé sur la table. Il verse le café et dans le geste son peignoir s’ouvre, me laissant voir un immense phallus entouré de poils blancs. Son gland a la forme d’un champignon. Sans y faire attention, mon voisin s’assied à côté de moi et me regarde dans les yeux. Je me sens hypnotisé et j’ai l’impression de perdre le contrôle de moi. Je vois mais je ne peux plus bouger. Comme une souris blanche devant un boa. Mon voisin approche son visage du mien, m’embrasse sur la bouche. Sa langue entre et cherche la mienne pour s’enrouler autour d’elle. « Tu sais que je t’observais depuis longtemps de la rue ? Je t’observais le soir quand tu te promenais nu dans ton appartement. Et quand j’ai vu cet appartement à louer, j’ai tout fait pour l’avoir » me souffle-t-il dans l’oreille tandis que ses mains se mettent à me déshabiller. Mon t-shirt est retiré par-dessus tête. La bouche quitte la mienne pour descendre sur mes tétons. J’adore ses petites morsures et ses mains qui massent mon torse puis ma nuque. Le temps d’après, elles ouvrent mon pantalon et le font glisser jusqu’à mes chevilles puis à mes pieds. Je n’ai plus que mon string. Je n’avais, car avec un coup sec mon voisin le déchire et le jette par terre. Me voilà nu tandis que les mains passent sous mes jambes et mon dos pour me soulever. Je suis encore dans un état second. Je me vois traverser la pièce pour rejoindre une chambre.
Une chambre ? Non, une pièce peinte en noir avec des bougies, des miroirs partout et un lit, immense, équipé de chaînes. Mon hôte m’attache dessus sur le dos, jambes et bras écartés. Je me sens offert, excité tandis que mon voisin semble auréolé d’une lueur rouge. Il retire son peignoir livrant à ma vue son corps nu, très poilu, son phallus dressé. Il s’approche de moi avec une potion dans une vasque. Il en tartine mon œillet. C’est froid, gluant mais cela sent bon. Le voisin s’approche, me caresse, me masse partout et engloutit ma verge dans sa bouche. Un plaisir intense m’envahit tandis que ses doigts me pénètrent l’anus. J’ai mal, mais pas longtemps. A l’aide de poulies, mes jambes sont soulevées puis écartées, livrant à la vue du voisin mon anus étoilé. Il se penche et sa langue lèche mon œillet pour le mouiller davantage. Puis le choc, il se couche sur moi, son phallus me sodomise d’un coup de boutoir. Le souffle coupé, je subis, j’aime en même temps. Il entre puis sort plusieurs fois de suite. Je me sens comme une poupée aux mains d’un pervers. Puis je sens un jet puissant de foutre au fond de mon cul. Par ma position, il s’écoule par l’anus et coule sur mes fesses. Mon amant se dirige vers une table pour ramener des accessoires, posés sur le plateau posé à côté du lit. Un fouet de cuir, des électrodes, un spéculum et des pinces. Puis le choc me transperce, mon voisin passe devant le miroir et…rien. Pas de reflet. Suis-je en train de rêver ou mon voisin vient d’un autre monde, surnaturel. Il est sorti et le voilà revenu avec une vasque remplie d’eau et de la mousse à raser. « Je veux que tu sois parfaitement lisse » me dit-il. « Mes amis, qui ne vont pas tarder, aiment les petits gabarits lisses comme toi. Ils vont jouer avec tes orifices et te faire subir des jeux qui seront peut-être douloureux mais qui te rendront heureux à la fin. » me souffle-t-il avec un sourire tandis que ses mains me soupèsent et serrent mes bourses. « Ouvre la bouche et accueille ma semence du diable en toi. » J’obéis et j’ai l’impression d’avoir du fer en fusion en bouche. Mais pas le temps de réfléchir car la sonnette de l’appartement retentit. J’entends des voix et cette question qui me fait frémir : « il est là ? Nu et prêt pour nous servir ? » « Oui mes amis, et il vous servira bien, par l’Enfer. »
Excité et effrayé, j’entends les pas s’approcher de la pièce, des rires résonnent. Et quand les invités entrent, je ne vois plus rien, je suis tombé dans les pommes. Que m’est-il arrivé après ? L’histoire est à suivre.
Une histoire de fiction mais pas à 100%, j’ai effectivement un voisin impressionnant et amateur de mon corps. Il va de soi que j’utilise des préservatifs pour mes sodomies.
Colinot
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