Chapitre-1
Une nuit très chaude en B&B
En vacances, j’aime me faire plaisir par des rencontres improbables et de nouvelles habitudes d’hébergement. Certains ont lu mes précédents récits mais pour les nouveaux lecteurs laissez-moi me présenter. Je suis Damien, jeune trentenaire mince et à la musculature finement taillée. Mon corps est épilé partout, y compris dans ma raie fessière pour mettre en évidence mon petit œillet. Je ne ressemble pas à ces auteurs baraqués et virils qui postent leurs récits ici. J’ai un corps normal, juvénile mais pas dégueu avec mon petit cul rond et agréable à enfiler, ce que mes amants ne se gênent pas de faire.
Avec ces quelques rayons de soleil j’ai décidé de passer un week-end en Hollande, près de Catzand. La plage naturiste est super sympa. Pour le logement, c’est plus compliqué avec un afflux de touristes. Heureusement, un naturiste rencontré dans les dunes m’a donné l’adresse d’un bed and breakfast isolé dans les dunes donc peu connu de la foule des touristes. Pour le remercier du tuyau, je l’ai sucé et j’ai ouvert mes jambes pour le laisser me sodomiser, comme récompense. Il a bien juté le coquin. Quand je me suis relevé, le foutre coulait le long de mes cuisses. Le soir venu, j’ai quitté la plage pour trouver ce bed and breakfast tant recommandé. Ouf, trouvé entre deux dunes. Vraiment isolé. Chouette petite maison basse. Garé, je sonne, avec l’espoir qu’il reste de la place. Mon cœur bat fort, et plus encore quand la porte s’ouvre sur un homme qui m’accueille d’un large sourire. Et qui parle français avec ce délicieux accent hollandais. Un homme entre 60 et 70 ans, barbu comme un vieux loup de mer. « Bonsoir, vous auriez une chambre pour une ou deux nuits ? » « Bien sûr, mon ami m’a téléphoné cet après-midi pour m’avertir qu’un beau jeune homme allait venir sonner. J’ai donc réservé la chambre » me répond-il en me poussant doucement dans le dos pour me faire entrer devant lui. L’occasion sans doute de pouvoir mater mon petit cul moulé dans le maillot laissé. C’est vrai qu’il ne cache pas grand-chose recto et verso. « Vous êtes la bienvenue chez moi et vous êtes votre chambre et je vous fais couler un bain pour vous débarrasser du sable. » Wow, quel accueil, le fait que je sois plutôt baisable n’est pas étranger je pense. La chambre est petite mais agréable. Au rez-de-chaussée, face aux dunes. Tiens, il n’y a pas de rideaux ou de tentures. « Il y a un lavabo et la salle de bain est au fond du couloir » me dit mon hôte, de retour après avoir fait couler le bain. « Voilà, je vous laisse vous installer. On peut se tutoyer ? » « Bien sûr, avec plaisir » je réponds. Seul, je découvre la chambre. Surprise dans la table de chevet, je trouve un gode noir, des préservatifs et quelques magazines gay. Humm, la nuit sera chaude. Et à cette heure, j’ignorais combien elle allait l’être.
« Damien ? Ton bain est prêt » me crie mon hôte. D’un geste je retire mon maillot, mes baskets et mon tshirt. A poil je traverse le couloir. Dans la salle de bain, mon hôte s’est mis nu aussi. Un corps viril, le torse et le pubis poilu de blanc, un phallus épais avec son gland en forme de champignon. Son regard pétille quand j’entre et qu’il voit mon corps lisse et mince. Mon pénis pend sur mes testicules. J’entre dans l’eau et je sens une main me soupeser mes couilles. « Humm bien douces, tout comme cette queue ». Je sens sa main la serrer avant de la voir disparaître dans sa bouche. Il suce très très bien et je ne tarde pas à jouir dans un tremblement de plaisir. Le même que je ressens avec ses doigts enfoncés dans mon anus. Comme pour préparer l’entrée de son phallus épais. L’eau est bien chaude et je me détends dans ce bain merveilleux. Mon hôte me savonne le dos, le ventre puis explore mon intimité. Ce faisant, il s’est rapproché et j’ai accès à son sexe. Je le prends en bouche pour le sucer. Il gémit, je caresse ses bourses, énormes. J’aime l’odeur de sa verge et celle de son pubis, mon nez dans sa toison.
Le bain achevé, il me tend une serviette pour me sécher partout. Soudain, il me porte pour me ramener dans la chambre. Il me dépose sur le lit et me retire la serviette. Je suis nu, et chaud. J’ai envie de m’offrir à lui, de le sentir me pénétrer. Sans douceur, il me rabat les jambes sur le ventre pour mettre en évidence mon œillet. « Magnifique, ton petit trou a bien servi je vois. Tu as rendu des hommes heureux ». Son compliment me fait rougir tandis qu’il se couche sur moi. Je sens son gland se poser sur mon anus. D’un coup il me pénètre jusqu’à la garde. Il me ramone sans douceur. Je sens mon anus écarté au maximum. J’aime être sa femme, je le laisse faire, même quand il me retourne sur le ventre. Avec deux doigts, il écarte mes fesses et remet le couvert. Il m’encule sans douceur, ses couilles tapent sur mes fesses. Ses mains me serrent les tétons, massent mes seins. Puis l’apothéose, je sens un long jet de foutre taper contre les parois de mon cul. Il se retire, le souffle coupé, en sueur. « Je reviens » dit-il. Cinq minutes plus tard, le voici revenu avec des accessoires de SM. Le fouet à la main, il frappe mes fesses à les rendre rouges. J’adore, j’oublie la douleur. Important mais moins importante que celle ressentie avec la pose des électrodes sur mon prépuce. Le courant me fait sursauter, je suis comme en trance. Tout aussi douloureuse, la pose d’une sonde électrique dans mon urètre et dans mon anus. Je ne suis plus qu’une poupée sexuelle qui apprécie cela. Mon corps est collant, du foutre qu’il a joui par masturbation après m’avoir enculé. Collant et rouge par les coups de fouet et les traces d’électrode. Mon anus est ouvert, je le sens. « Je suis fatigué mais j’ai des amis qui habitent pas loin et qui vont me remplacer. J’espère que tu es endurant car ces vieux n’ont pas souvent un joli passif comme toi pour se vider. En échange tu n’auras rien à payer pour les nuits » me dit-il avec un sourire carnassier. Je n’ai pas le temps de répondre qu’il attache déjà mes bras et mes jambes en croix au lit. Me voici offert, la croupe ouverte, offerte avec un coussin placé sous mon ventre. Et oui, la nuit sera longue. Et je vais aimer ces vieux actifs. Il va de soi que dans un monde réel j’aurais mis des préservatifs. Comme vous je suppose.
Colinot
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