Chaque début d’année j’ai tendance à prendre des résolutions que je ne tiens pas longtemps. « cette fois, tu n’y couperas pas, tu vas m’accompagner aux séances de yoga, cela te fera un bien fou et tu vas découvrir quelque chose de bien particulier : le yoga nu. » Ma sœur a souvent le don de me surprendre mais je ne m’y attendais pas à celle-là. Elle sait que j’aime le sexe au masculin et elle a sûrement quelque chose derrière la tête. « D’accord, je suis curieux. Je t’accompagnerai ce soir pour me faire une idée. » Dans un large sourire elle me souligne juste d’apporter un legging et un t-shirt ample.
L’heure venue, ma sœur me prend en voiture, direction le club de yoga. Club est d’ailleurs un grand mot, il s’agit plutôt d’un vaste appartement aménagé. Le moniteur nous accueille avec davantage d’attention portée à ma modeste personne, nouveau dans la bande. Fin, belle silhouette avec une jolie chevelure grise le moniteur dit s’appeler Emmanuel. En legging t-shirt, apparemment sans sous-vêtement au vu de l’engin qui se laisse deviner dans le pantalon. « Bienvenue Damien, content de t’accueillir dans notre petit groupe. Tu peux aller te changer dans la chambre. J’espère que tu n’es pas contre la mixité des vestiaires. » Sous son invitation j’entre dans la pièce où se trouvent déjà le reste des membres de la séance du jour. Des hommes et femmes de tous les âges. Ils sont déjà presque en tenue et m’attendent tandis que je me déshabille dans mon coin, sous leurs regards. Ma sœur a l’œil qui brille, comme à chaque fois qu’elle me voit àpoil. Et pourtant ce n’est pas la première fois. Trentenaire elle aussi, elle doit se souvenir des bains que nous prenions ensemble quand nous étions encore aux études.
Legging et tshirt enfilés, je suis le groupe dans la pièce, où chacun prend sa place. Je suis derrière un jeune homme, fin vingtaine. Joli petit cul moulé et surtout cheveux roux. J’adore. J’ose espérer qu’il a gardé sa toison pubienne rousse. Pas le temps d’y penser que la séance commence, avec une succession de poses aux noms abscons pour le néophyte que je suis. J’ai du mal à suivre, d’autant que je ne peux m’empêcher de reluquer le cul de ce beau rouquin devant moi. Un cul de danseuse, féminin comme le mien. La pause de mi-séance est la bienvenue. Et mon regard croise celui de Loïc, l’objet de mon désir de ce jour. Nul doute qu’il a dû sentir mon regard posé sur lui car il me regarde presque avec envie. Et soudain, la surprise. Le professeur pose cette question qui va complètement modifier ma vision du yoga : « qui est partant pour finir la séance du jour nu, comme la semaine passée ? » La réponse affirmative est unanime et ma sœur me regarde en souriant, avec l’air de dire « tu vois je t’avais promis une surprise. » Comme un seul homme le groupe se déshabille, et se dévoilent les corps nus des membres. Je ne peux m’empêcher de loucher sur les sexes épais et poilus des hommes sexagénaires présents avant de m’extasier intérieurement sur le corps de Loïc, d’un blanc laiteux comme je l’aime, avec un corps lisse sauf autour de sa verge, avec une abondante fourrure rousse. Un gros gland en forme de champignon surmonte sa queue d’environ 18 à 19 cm. Elle repose sur ses deux belles bourses poilues. Dans le groupe je suis le seul à être complètement rasé. « Bon, on reprend avec quelques dernières poses » lance le moniteur, lui aussi nu. Voir Loïc faire le pont et me laisser voir sa raie poilue me donne le rouge aux joues. Ses fesses blanches sont superbes avec ces quelques poils roux qui sortent de sa raie. Comme la mienne est épilée, l’homme derrière moi doit voir ma petite rondelle et deviner qu’elle a servi. Qu’importe.
« Bon, on va finir par notre rituel de fin classique, cet échange de fluide positif », les propos du moniteur qui s’est approché de moi me laissent surpris. « Damien, cela veut dire que tu choisis un membre du groupe et que tu échanges avec lui ou elle des caresses, des étreintes pour partager tes bonnes ondes. Comme ta sœur m’a dit que tu aimais plus Adam que Eve, je te propose de le faire avec Loïc. Nous allons t’aider à réussir cet exercice qui fera de toi un membre à part entière. » Déjà le groupe s’est resserré autour de nous. Loïc s’est retourné face à moi, bras ouverts. « Viens, n’aie pas peur » me lance-t-il. J’obéis et je l’enserre contre moi, peau contre peau. Sa main me presse la tête contre son visage, sa langue entre dans ma bouche et s’enroule autour de la mienne. Ses mains me caressent le dos, la nuque puis s’aventurent dans ma raie. Je soulève quelque peu ma croupe pour leur faciliter le passage. Un doigt, puis deux se glissent en moi par mon œillet. Ma sœur ne perd pas une miette du spectacle, tout comme le reste du groupe, hommes comme femmes. Pendant ce temps, je procède de même avec Loïc, qui frotte son sexe contre le mien. Un phallus épais et chaud que j’ai envie de prendre en bouche. D’un geste, Loïc écarte les jambes pour me faciliter l’accès. Je suce son membre, le nez dans ses poils roux et luisants de transpiration. C’est divin. « Bon, les hommes, il est temps de vous partager les fluides, l’heure tourne ». Le moniteur a raison. Je me soulève et je me glisse sur le sexe de Loïc, empalé sur ce sexe épais qui ouvre mon anus au maximum. La douleur est là mais tolérable. Quelques mouvements permettent à Loïc de jouir rapidement. Je sens son jet de foutre me réchauffer le fondement. « A toi Damien de te libérer » me souffle le moniteur, en érection. Loïc, en habitué, s’est placé en levrette. Son anus est plus serré que le mien mais d’une poussée je suis en lui pour jouir moi aussi tandis que le moniteur en a profité pour m’enfiler et ajouter son foutre à celui de Loïc, s’écoulant de mon petit trou. Un dernier moment d’une séance sympa qui s’achève sous les applaudissements du groupe. Du groupe ? Pas totalement car ma sœur en a profité pour prendre son pied avec une sexagénaire bcbg, avide de lécher son con. Décidément, elle a eu raison, le yoga nu c’est sympa et je pense tenir mes résolutions cette année. Pour le fun mais aussi pour revoir Loïc et son corps à découvrir plus longuement. Son cul blanc, une pure merveille les amis.
Colinot
tonlibertin@netcourrier.com
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