Premier épisode | Épisode précédent
Je ne sais absolument pas combien de temps je suis resté prostré à genoux, couvert de pisse mais quand j'ai bougé et tenté de me relevé, c'était bien sec sur moi et presque par terre. J'ai eu terriblement mal aux genoux, les membres engourdis alors que j'aurais pu bouger comme je voulais.
Un oeil vers le radio réveil... Il est 15h... 15h et alors ? Je ne sais même pas à quelle heure je suis descendu.
Je renifle, je pue la pisse ! J'entends que Théo et Paul travaillent dehors et je suis au sous-sol, consigné sans savoir pour combien de temps. Je marche et tourne en rond tel un chien en cage. Oh oui, juste un chien, je n'ai rien d'un lion après cet épisode pathétique. J'ai honte mais pas une bonne honte, pas celle qu'on a quand on a fait ce qu'il fallait mais que ce n'est pas " convenable ". Non, là j'ai en moi le sentiment d'avoir tout raté et que tout est MA faute.
16h... La porte s'ouvre, je me remets à genoux dans la petite flaque restante et baisse la tête. C'est Paul qui descend. Il me regarde d'un air strict.
- Lève-toi et enlève ton jean, je dois le laver...
J'obéis, il en profite pour m'attacher les bras en l'air à la poutre puis les pieds bien écartés, je me retrouve en croix comme dimanche soir. Il me regarde toujours avec cet air sévère.
- Théo est dehors et il exige de t'entendre...
Je vois Paul porter les mains à sa ceinture, je me mets à trembler...
- Non... Pitié, pas ça... Non... je vais obéir ! Je lui ai dit que ça n'arrivera plus ! Paul s'il te plaît !
- Je ne sais ce qu'il t'a pris mais t'as été un vrai connard, à cause de toi il m'a battu aussi ! Et de toute façon, j'obéis aux ordres.
La ceinture est défaite, il ne la passe pas sur mon corps comme la dernière fois, il se met sur le côté, prêt à faire voler le cuir dans les airs.
- Combien de coups ? Dis-je la voix tremblante.
- Un toutes les 30 secondes jusqu'à ce qu'il descende...
Je ferme les yeux et je pleure avant même que le premier coup ne tombe.
Lorsqu'il tombe, c'est dans mon dos et c'est puissant, je gueule, me tortille. Demander à Paul d'arrêter est peine perdue. 30 secondes plus tard le second arrive, tout aussi fort et je cris de nouveau. Je n'ai pas besoin de me forcer à hurler, c'est naturel. Nous en avions discuté avec Théo samedi soir : pas de punition trop violente... J'ai envie de dire qu'il dépasse les limites mais au fond de moi, après l'avoir tellement déçu, je me dis que je le mérite et que je dois endurer cette torture. Je dois encaisser, lui montrer que je comprends.
Je compte les coups, nous en sommes à 14... Je souffre, j'entends et vois enfin Théo descendre les escaliers, l'air sombre et mécontent. Il regarde Paul et fait un geste brusque de la tête, un nouveau coup tombe, il est bien plus fort que les autres.
Théo se dirige vers l'armoire, prend mon bâillon et vient me le poser, il va ensuite devant le canapé et claque des doigts. Paul vient le déshabiller. Théo s'assoit, puissant, la queue raide, les bras posés de chaque côté de son corps sur le dossier du canapé, les jambes bien écartées. Paul enlève son pantalon et son plug puis met un préservatif à son Maître avant de s'asseoir sur sa bite dressée et de commencer immédiatement à aller et venir dessus.
Théo me regarde, toujours l'air mécontent, Paul lui semble de plus en plus apprécier de se faire enculer, il gémit à peine 30 secondes après avoir commencé. Il s'active dessus en me regardant et il commence à bander...
Je ne détourne pas les yeux, je regarde impuissant la scène. Au bout d'un moment, Théo pousse Paul et se lève, il me détache, je reste immobile. Lorsque la dernière chaîne à ma cheville droite est enlevée, je me mets à 4 pattes devant lui. Il retourne sur le canapé et s'astique lentement son gros manche, il me fait signe de venir vers lui, j'avance à 4 pattes, limite en rampant. Il me fait un " Stop " de la main lorsque je suis bien entre ses jambes puis ordonne à Paul de m'enculer... Ce dernier rentre en moi rapidement, comme d'habitude, mais me tient aussi par les cheveux, tête bien tournée vers Théo. Il me démonte comme il sait si bien le faire. Théo se branle lentement, ma gueule bâillonnée à peine à 10 centimètres de ses couilles.
10 minutes plus tard, je vois son sperme sortir de sa queue, un foutre blanc, épais, crémeux, je l'ai juste devant moi, il en a un peu sur le torse et le reste coule lentement sur sa tige de mâle dominant. Paul est sorti de mon cul et il vient lécher en me regardant, il lui lèche le torse puis sa bite avant de l'engloutir dans sa bouche pour bien la nettoyer. Je regarde, envieux, humilié de nouveau mais je comprends très bien pourquoi il fait ça et il a raison...
- File te laver yan, tu pues la pisse, lance Théo en m'enlevant mon bâillon.
Sans dire un mot, je file à la salle de bains suivi de près par Paul qui, à peine entré, me plaque contre le mur et m'encule.
- J'avais pas fini tout à l'heure...
Il m'écrase contre le mur, il est violent, bestial, sauvage...
- Paul... Tu me fais mal...
- Ta gueule sale pute, j'ai un compte à régler avec toi, c'est la dernière fois que je prends des coups à cause de toi !
Il me besogne sans s'occuper de savoir si j'ai mal ou non, il se venge, il a raison, j'ai été tellement idiot... Alors je le laisse se terminer, se faire du bien, se défouler.
Il ouvre le robinet de la douche et l'eau froide coule sur nous 2, nous arrachant un cri, puis elle devient tiède et chaude, très chaude, la vapeur envahissant peu à peu la salle de bains. Paul s'est totalement radoucit, il m'encule lentement maintenant, avec un plaisir certain et ses lèvres se posent sur mon épaule. Il relâche sa prise, je décolle mon torse du mur, ses doigts sont sur mes tétons, je couine en posant mes mains sur le carrelage.
- Vas-y yan, couine, tu m'excites trop quand tu fais ça et ça me calme.
Sa bouche s'approche de mon oreille, il murmure...
- On va baiser comme des fous, nous avons ordre d'avoir les couilles complètement vides pour demain matin...
Paul sort de mon cul, ferme le robinet, me retourne, me plaque le dos contre le mur, je grimace un peu, j'ai encore le feu de la ceinture qui se rappelle à moi. Il me roule une pelle, ses doigts sont sur mes tétons puis il descend lentement, léchant l'eau sur mon torse pour finir à genoux devant ma queue raide qu'il pompe.
La salle de bains est encore pleine de vapeur et je me fais sucer activement par Paul.
Je ne suis vraiment plus habitué à ce traitement, je redécouvre ce plaisir intense. Cela fait plusieurs années que je m'offre à des mâles sans scrupule qui me liment le cul et la gueule mais ne touchent jamais à ma queue. Même moi pendant les plans, je ne touche pas à la mienne, ce n'est que lorsque je rentre seul chez moi que je me fous à poil et que je me branle frénétiquement, souvent à genoux devant un miroir et plusieurs fois à m'en vider totalement les couilles. J'aime gicler, j'adore me branler mais je ne suis plus habitué à ce que quelqu'un d'autre que moi s'occupe de ma queue. Et je suis idiot car c'est délicieux, Paul me fait revivre des sensations presque oubliées et en tout cas, il me fait oublier la douleur de mon dos et mes fesses.
Il cesse de me sucer et m'emmène dans la " chambre ", il monte sur le lit, alors qu'il est encore trempé et je le suis. Il s'allonge sur le côté, nous met en position de 69 puis me bouffe les couilles, je l'imite. Quelques minutes plus tard, nous nous bouffons le cul mutuellement avant de revenir sur nos bites que nous suçons avidement.
Je suis le premier à gicler, étouffant mes " hurlements " de plaisir en enfonçant le plus possible la bite de Paul dans ma gueule. Il reçoit mon foutre en gémissant et je l'entends avaler sans qu'il cesse de me sucer. Sa bite est alors prise de spasmes, je la sens gonfler et quelques jets viennent heurter mon palais. Il a tellement joui ces derniers jours que c'est très liquide, ses couilles sont presque vides, les miennes beaucoup moins. J'avale son sperme avec délectation et continue de le sucer tant qu'il me suce.
C'est à ce moment que Théo descend, il nous regarde en souriant et dépose une assiette avec des sandwiches sur la table de chevet. Il reste immobile à nous observer nous sucer mutuellement et grogne de satisfaction. Nous n'arrêtons pas pour autant, n'ayant aucun ordre particulier. Il se régale juste du spectacle que ses 2 bâtards lui offrent.
Puis il se dirige vers l'armoire et revient avec des menottes en cuir qu'il pose aux chevilles et aux poignets de Paul. Il attache les chevilles de Paul aux bracelets de mes poignets puis ses poignets aux bracelets de mes chevilles. Il reprend l'assiette de sandwiches et s'apprête à remonter.
- Je viendrai vous détacher demain matin, vous venez de manger je crois. Si vous avez soif, le robinet est déjà dans votre gueule, dit-il en riant. Et je veux que vos couilles soient complètement vides pour demain matin...
Il remonte et nous restons ainsi attachés l'un à l'autre...
Nous nous sommes sucés plusieurs fois et avons bien entendu pissé avant de nous endormir. Certes la position n'était pas des plus confortables mais nous y sommes parvenus.
Lorsque le réveil a sonné à 7h, nous nous sommes vidé la vessie et les couilles une dernière fois puis avons attendu que Théo vienne nous détacher.
Yan
ftasm@yahoo.fr
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