Premier épisode | Épisode précédent
Lundi soir, 19h, on frappe à la porte de notre chambre, Simon se lève nu pour aller ouvrir, je regarde mon mâle musclé, poilu, viril se diriger vers la porte. C'est Alban, il discute tout bas avec Simon, je n'entends pas, ils rentrent enfin tous les 2 dans la pièce.
- Vas prendre une douche Yan, me dit Simon sans me regarder.
- Mais je...
Il a juste tourné la tête et ses 2 billes noires se sont rivées sur moi, c'est suffisant pour que je m'immobilise quelques secondes avant d'obéir sans en demander plus, cet homme a un charisme de fou, il n'a pas besoin d'élever la voix pour être obéi.
Je me douche et reviens quelques minutes plus tard dans la chambre, une serviette autour de la taille, Alban s'approche de moi et me caresse tout en ôtant ma serviette.
- Allez mon cher cousin, j'ai envie de me vider les couilles avant le repas, me dit-il.
Je regarde Simon qui s'est confortablement installé dans un fauteuil, il me regarde, je monte à 4 pattes sur le pieu sans quitter mon mâle du regard. Alban s'applique à me lécher le cul et commence à y mettre les doigts, je gémis, Simon regarde, nu, il bande, il écarte ses jambes mais il est hors d'atteinte.
- Ne prends pas de précaution Alban, il est ouvert avec toutes les cartouches que je lui ai mises cet aprèm, démonte-le, pour toi, c'est juste un vide-couilles.
La remarque me vexe mais elle est pourtant vraie, le " pour toi " me fait plaisir, ce n'est pas ce que je suis pour Simon et nous avons un deal, je me suis engagé, je vais donc honorer ma part du marché. De toute façon, Simon a été clair sur ce qu'il attend de moi si je veux que l'on construise quelque chose après cette semaine alors je vais jouer le jeu...
- Je suis une lope Alban, si Simon m'offre à toi pour que tu me baises, utilise-moi comme tu en as envie.
- Putain Yan, ça, tu me le diras pas deux fois ! Réponds Alban.
Je sens alors son gland se poser sur ma rondelle et je crois qu'on peut dire qu'il m'empale littéralement, il entre avec force et à fond, m'arrachant un petit cri. Ses mains se posent sur mes hanches, il monte à genoux sur le lit et il m'encule avec violence en m'insultant de tous les noms. Je fixe Simon et commence à couiner, il se marre, se saisit de son portable et me prend en photo puis il ne fait plus attention à moi, je le vois pianoter sur son mobile pendant qu'Alban me défonce. Après de longues minutes intenses Alban râle de plaisir et déverse en moi sa semence, je ne bouge pas, je le laisse m'utiliser comme bon lui semble, il reste en moi un long moment sans arrêter de m'insulter et intérieurement, je prends mon pied.
Alban sort enfin de mon cul, il me présente sa queue que je nettoie.
- On va descendre manger, annonce Simon, et ce soir on sort...
- J'ai mon rendez-vous avec Benjamin et Sarah ce soir, annonce Alban.
- T'inquiète mec, vas prendre ton pied, j'ai trouvé un plan sympa pour ma pute...
Les mâles s'habillent, j'attends les ordres. Simon farfouille dans son sac à malices et je le vois transvaser des objets vers son sac à dos. Il finit par me jeter mon collier sur le lit.
- Jean, chemise ouverte, collier et baskets Yan, dit-il d'un ton détaché.
- À tes ordres, dis-je naturellement, ça les fait rire.
Nous descendons manger, rapidement rejoints par Sarah et Benjamin. Ce soir je ne passe pas sous la table, les discussions tournent bien sûr autour du sexe.
- Simon, j'aimerais pouvoir niquer ton bâtard avant qu'on parte, annonce brutalement Benjamin.
- On peut voir ça demain si tu veux mais ce soir il est réservé.
- Ah ? Vous allez faire quoi ?
- Je ne vais pas dévoiler la surprise devant lui, il te racontera demain pendant que tu le ramones si tu veux.
Je baisse la tête, ils parlent de moi comme d'un objet ou d'un animal et au fond de moi, j'aime ça. Le repas terminé, Simon et moi prenons congé, nous allons à la voiture et nous partons, je ne pose aucune question. Nous roulons un bon moment jusqu'à arriver dans une petite ville dont je ne fais pas attention au nom. Simon gare la voiture, descend, je le suis tel un petit chien. Il sonne à la porte d'une maison, un superbe beur torse nu vient ouvrir, il nous regarde et nous laisse entrer, une fois la porte fermée, il parle enfin.
- Emmène ta lope à la cave, j'ai préparé ce que tu m'as demandé.
Je suis Simon, un peu inquiet, nous descendons les marches qui mènent à la cave, j'ai Simon devant moi et le beur dans le dos. Lorsque nous arrivons en bas, je visualise une table avec 9 chaises et un matelas non loin de là contre un mur.
- À poil Yan... Dit Simon très doucement.
J'obéis bien entendu, pendant ce temps il sort une chaine de son sac à dos et l'attache à mon collier. Il m'amène vers le matelas, m'y fait mettre à 4 pattes et attache la chaine de mon collier à un mousqueton solidement fixé au mur, je ne peux plus redresser la tête, il y a à peine 30 centimètres entre le mur et ma gueule.
- Mes potes arrivent dans une demi-heure, annonce le beur.
- Il sera prêt bien avant et on va pas l'utiliser tout de suite de toute façon.
Simon me pose des menottes aux poignets qu'il relie aussi à des mousquetons au mur puis mes jambes sont écartées par une barre, m'interdisant toute possibilité de les resserrer.
- Je te laisse finir de le préparer, je remonte chercher à boire et à manger pour ce soir.
Je me retrouve seul avec Simon, je tremble et le regarde, il s'accroupit et me sourit.
- Je pense que tu vas découvrir quelque chose de nouveau ce soir mon chéri... Quelque chose que j'aimerais te faire vivre assez souvent si on va plus loin.
Je vais pour parler et demander mais il m'intime de me taire.
- Quand tu sentiras qu'on va t'utiliser, pose ta tête sur le matelas, sinon, si c'est trop violent, tu vas te prendre le mur dans la gueule...
Il me présente un bâillon, celui que j'aime avec plug intégré, j'ouvre la gueule, il le positionne, je le regarde amoureusement, il sourit.
- Je serai là tout le temps, il ne t'arrivera rien que je ne veuille pas, sois rassuré...
Je ne comprends pas trop pourquoi il me met autant en confiance et puis il me pose un bandeau sur les yeux, je souffle dans mon bâillon, je panique un peu, il me caresse la tête accompagné d'un " shhhhhhh "...
- Si à un moment tu n'en peux plus, tu grattes le mur avec tes mains, je ferais tout arrêter immédiatement, tu as bien compris ?
Je fais un signe de tête positif mais je souffle encore, j'essaie de ne plus paniquer mais c'est difficile.
- La touche finale Yan et tu seras prêt pour nous donner du plaisir et tu vas en prendre aussi j'en suis sûr, souviens-toi que je suis là, je ne sors pas de la pièce, j'aurais toujours un oeil sur toi, aucun mal ne te sera fait et tu vas être le plus merveilleux des vide-couilles ce soir...
Alors qu'il termine sa phrase, il me pose je ne sais quoi dans les oreilles, je n'entends absolument plus rien. Simon vient de me priver de la vue et de l'ouïe, je ne sais pas ce qui m'attend et je garde en tête ses paroles pour ne pas totalement paniquer. Je reste là, attaché au mur, à 4 pattes sur un matelas, les jambes écartées par une barre et je ne sais pas ce qui va m'arriver même si je m'en doute un peu.
J'attends... J'attends longtemps, très longtemps sans qu'il se passe quoi que ce soit et je perds la notion du temps. Lorsque je sens des mains se poser sur mes fesses et les malaxer, je sursaute et immédiatement, je pose ma tête sur le matelas comme me l'a conseillé mon homme...
Je me fais pétrir les fesses et rapidement les mains claquent dessus, de plus en plus fort, je panique intérieurement et je me rappelle des paroles de Simon, il est là, rien de ce qu'il ne veut pas ne m'arrivera alors c'est qu'il est d'accord pour qu'on m'inflige ce traitement. Subitement, les mains se retirent, je n'entends rien, ne vois rien, je ne sais pas ce qu'il va se passer. Lorsque je sens une lanière de cuir descendre le long de ma colonne vertébrale, je tremble... Je sais ce que c'est, je dois avouer que ce n'est pas trop mon trip mais là encore, si c'est ce que Simon veut, il l'aura.
Je m'attends à recevoir un coup de ceinture mais je sens qu'on la pose sur mon dos, puis une autre, encore un autre... Au moins 7 ceintures sont déposées sur mon dos, peut-être plus, je ne suis pas sûr.
Subitement, je suis tiré en arrière, je m'affale sur le matelas, la chaine qui relie mon collier au mur se tend, je n'irai pas plus loin et avant que je ne puisse bouger, je me fais enculer avec force et violence. Le plus frustrant, c'est que je n'entends pas si le mec prend son pied ou non, je sens qu'il a gardé son pantalon et il me bourrine à fond, il entre, il sort, il s'enfonce au maximum et il s'astique le manche avec mon cul écarté, je couine dans mon bâillon mais ce n'est pas trop long, je sens sa queue grossir rapidement, il ne reste pas longtemps en moi. En revanche, lorsqu'il se relève, il se saisit d'une ceinture et je prends quelques coups sur les fesses, ce n'est pas mon truc mais bizarrement, j'aime à ce moment-là, puis plus rien pendant je ne sais pas combien de temps.
Je perds de nouveau la notion du temps et je sursaute encore lorsque je sens le matelas bouger. Cette fois, je ne me fais pas pétrir les fesses, la queue entre direct en moi, là aussi le mec a gardé son pantalon, il me besogne comme on besogne les salopes de mon espèce et je commence à prendre du plaisir à ce petit jeu. Lui aussi, lorsqu'il en a fini, se saisit de sa ceinture et je prends des coups sur les fesses, bien appliqués et bien forts, je me surprends à remonter un peu mon cul comme pour en demander plus mais je n'ai pas le pouvoir sur le nombre et la force. Je passe le reste de mon temps ainsi, des moments dont je ne parviens pas à déterminer la durée à attendre puis je me fais enculer et lorsque c'est terminé, la ceinture est enlevée de mon dos et je prends des coups sur mes fesses. Simon avait raison, je suis juste un vide-couilles ce soir et j'espère que les mâles prennent leur pied. Personnellement, plus ils me passent dessus, plus je prends le mien.
Lorsqu'une nouvelle paire de mains se pose sur mes fesses, je sursaute un peu mais je les reconnais et quand le torse velu de Simon se pose sur le mien je m'électrise, sa barbe arrive dans mon cou, il me le lèche puis il me mord fermement l'épaule, je couine de joie, je sens mon mâle sur moi et même s'il ne m'encule pas, je suis en transe, privé de l'ouïe et de la vue, mon sens du toucher est décuplé en sachant qu'il est sur moi, je le sens onduler, je sens ses dents plantées dans mon épaule et j'ai envie d'hurler, de lui demander de continuer encore et encore mais il se relève, je le sens se saisir de la ceinture qui glisse sur mon dos. Alors, allez savoir pourquoi, je commence à ma trémousser pour relever un peu mes jambes et tendre mon cul. Le premier coup tombe, il est puissant et je couine en posant ma gueule sur le matelas. Je bouge de nouveau pour présenter un peu mieux mon cul même si j'ai aussi un peu perdu la notion de l'espace. Le second coup tombe, plus fort, je me crispe mais je reste en position. Le troisième s'abat avec une puissance plus importante encore et je redresse la gueule, ma tête part en arrière et je prends conscience que si je n'avais pas mon bâillon, j'aurais poussé un gémissement de plaisir. Je me redresse un peu le bassin et j'attends le quatrième qui arrive et celui-là me fait très mal pourtant, je tiens bon et j'aime ce traitement parce que c'est Simon qui en est l'auteur. Je baisse la tête à présent, reste en position et attends le cinquième. Mais il n'arrive pas. Je sens qu'on défait mes liens et qu'on me libère de la barre, je m'affale sur le matelas et ne bouge pas. Je reste je ne sais combien de temps ainsi à reprendre des forces jusqu'à ce que je sente une main me caresser les cheveux, celle de Simon. Je me redresse, il me passe la ceinture autour du cou, elle est sur mon collier et il tire en arrière pour me faire venir à lui. Je me redresse et lui agrippe la jambe mais je me rends compte très vite que ce n'est pas la sienne, je la lâche et recule. Je ne sais pas comment j'ai fait pour m'en apercevoir mais j'en suis sûr, ce n'est pas sa jambe ! On tire sur la ceinture et je m'agrippe à une nouvelle jambe, cette fois, je le sens c'est la sienne. Je prends une caresse sur la joue puis un baiser, il s'est accroupi, j'engouffre ma tête entre ses genoux, je sens son torse, son odeur. Putain, il vient de faire de moi un chien... Et le plaisir que je ressens à ce moment-là est immense, il me protège, me caresse, je me sens bien. Je sens la chaleur de son torse au-dessus de moi, son odeur dont je m'enivre, ses mains sur ma peau, toutes mes crispations s'avanouissent et je le sens me retirer mon bâillon. Je respire fort lorsqu'il l'enlève mais je ne dis rien, je ne sais pas quelle heure il est mais je sens que la soirée n'est pas finie. Et pour cause, je sens qu'on tire sur la ceinture, je ne lutte pas et suis le mouvement, j'atterris contre un jean, on me choppe par les cheveux et ma gueule est frottée sur ce jean à hauteur de la braguette. Je comprends rapidement que c'est à moi de l'ouvrir alors je m'exécute, j'en sors une queue que je ne vois pas mais elle semble de belle taille au repos, instinctivement, le suceur de bites que je suis l'avale et quelques secondes plus tard, des jets chauds de pisse s'engouffrent dans ma gorge, j'avale sans rechigner parce que j'aime ça et en plus j'ai soif. La vessie vidée, je sens cette queue gonfler alors je la suce, lorsqu'elle est au maximum, ce n'est plus moi qui décide du rythme, on me prend la gueule à 2 mains et je me la fais limer avec force et virilité. Le mâle se termine et jouit, le sperme envahit ma gueule, j'ai comme une récompense, j'avale en silence et je me régale. La ceinture est défaite, je suis tiré par les cheveux sur le matelas, au milieu me semble-t-il, et je reçois encore des coups sur les fesses, je ne cherche pas à les esquiver, au contraire. Puis on me fait mettre à genoux et plus rien. Je ne bouge pas, j'attends, je n'ai plus aucune notion de temps. Les mâles se vident la vessie et les couilles dans ma gueule sans que je sache à combien d'intervalles et je reçois à chaque fois quelques coups, j'y prends goût...
Lorsque c'est la bite de Simon qui se présente devant ma gueule, je la reconnais aussi immédiatement et avant de l'engloutir, je couine comme un chien qui vient de retrouver son Maître. J'avale sa pisse et son foutre avec délectation, bien plus que pour les autres. Lorsqu'il a fini, il me retire mon bandeau, la lumière m'aveugle mais je finis par distinguer Simon entouré de 7 beaux beurs, torse nu, musclés, virils tous entre 25 et 35 ans. Simon rattache ma chaine au mur mais il laisse plus de longueur, je peux m'assoir sur le matelas et j'admire mon mâle, il me remet mon bâillon et se dirige vers son sac. Il en sort un autre bâillon identique ainsi qu'un bandeau et des bouchons. L'un des 7 beurs est poussé en avant, je le vois faire une mine désapprobatrice mais il se met nu et à 4 pattes. Simon l'équipe, les mâles défont leur ceinture et la pose sur le dos du jeune beur, on lui cale la tête entre mes jambes et il pose ses mains sur mes chevilles, on lui installe la barre que j'avais aux chevilles quelque temps avant. Quelques minutes plus tard, les mâles retournent autour d'une table.
Je vois qu'on distribue des cartes, j'en déduis qu'ils jouent au poker et que mon compagnon de matelas a perdu. Parfois un mâle se lève, encule le beau mec qui m'agrippe fermement les chevilles, il reçoit des coups de ceinture et le mâle repart avec à table. J'assiste à ce qu'on m'a fait vivre sur un autre. Je sens l'homme trembler entre mes jambes, je lui caresse discrètement la joue comme pour le rassurer, servir de vide-couilles c'est tellement bon, il va finir par en redemander. J'admire mon mâle qui trône en bout de table à distribuer les cartes, je suis tellement fier d'être sa pute et je ne sais pas ce qui m'attend pour la suite...
Yan
ftasm@yahoo.fr
Autres histoires de l'auteur : Mariage pour tous | Pisse and Love | Déclaration de dépendance | Faites vos jeux | Triangle à géométrie variable... | Mon Maître | Le chalet
